Le 1er juin 1950, le Ministre REY Jean inaugure officiellement la Maison de Cure de Sainte-Ode, pour anciens prisonniers de guerre et anciens prisonniers politiques, qu’il a subsidiée.
La fonction d’avoué n’est pas gratuite. Comme indemnité de ses frais, il perçoit ordinairement une part des amendes infligées par les Plaids Généraux et certaines redevances des habitants.
Mais plusieurs avoués ne se contentent pas de leur rétribution légitime. Ils extorquent des aides ou subsides aux habitants:
De plus, ils leur imposent des corvées. Souvent, ils s’emparent des revenus des biens des ecclésiastiques et parfois des biens eux-mêmes.
L’avouerie, avec ses dotations, deviendra un fief héréditaire qui passera de père en fils (et parfois même en fille); comme les autres fiefs, elle pourra faire l’objet de contrats.
Le Chapitre de Saint-Denis possédant la Seigneurie de Hodeige, elle y a constitué une avouerie. Elle aura plus d’une fois à se plaindre des procédés et des usurpations de l’avoué.
En novembre 1906, MELOTTE Jules propose à son personnel de fonder une caisse de retraite à Remicourt qu’il subsidierait.
Vers 1915 (?), il existe une mutuelle au sein de l’usine MELOTTE à Remicourt. Elle est d’inspiration patronale et est subsidiée sur la cassette de l’entreprise.
Le 14 janvier 1953, l’entretien des chemins empierrés étant couteux, le conseil communal de Crisnée décide la pose d’un revêtement plus efficace et durable.
Il charge l’architecte LONCIN Alphonse, d’Ans, du projet d’amélioration des chemins numéros 1 à 10, sur 7.650 mètres. Le revêtement sera en béton sur 5 mètres 50 de large, avec des bordures en saillie ou des rigoles en béton.
Le décompte final des travaux atteindra la somme de 9.983.000 francs, après obtention de subsides de l’Etat.
Le 21 janvier 1871, la Fabrique d’Eglise de Momalle est déchue de toute participation aux subsides communaux, provinciaux ou de l’Etat, pour défaut d’avoir soumis son budget pour l’exercice 1871.
Pour l’année scolaire 1912 – 1913, le budget de l’Ecole Ménagère Agricole, de l’Institut des Filles de la Croix de Waremme, s’établit comme suit:
Recettes
Total: 1.501 francs
Dépenses
Total: 1.531 francs
A partir d’août 1895, les classes primaires de l’Institut des Filles de la Croix, de Waremme, sont subsidiées par l’Etat.
En mars 2015, les travaux de rénovation de la piscine communale sont présentés, à Waremme. Ils s’effectueront en deux phases:
Premier dossier:
Pour ce dossier, il est prévu 180 jours de travaux. Le coût est estimé à 1.278.431 euros, subsidié à hauteur de 1.100.000 d’euros. L’architecte est VONECHE Benoit et l’entrepreneur AM « DIERDERICKX – Bâtisseurs ».
Deuxième dossier:
Pour ce dossier, le coût est estimé à 1.432.000 euros, subsidié à hauteur de 1.250.000 euros.
En mars 2015, la décision est prise, à Waremme, de construire une nouvelle salle destinée aux sports de ballons, comprenant 4 terrains de basket et 8 de volley, en bordure de la Chaussée Romaine.
Le coût prévu est de 5 millions d’euros, en partie subsidié par la Région Wallonne.
Les travaux seront lancés au printemps 2016. Cette nouvelle salle devrait être opérationnelle, lors de la rentrée scolaire 2017 – 2018.