En avril 2010, le Club de Tennis « Longchamps Tennis Club » de Waremme reçoit un subside de 109.420 euros de la Région Wallonne, pour rénover ses deux terrains couverts et pour construire un terrain en « French Court ».
Le 29 novembre 2008, la Région Wallonne refuse d’attribuer un subside pour financer l’aménagement du nouveau stade de football de Waremme. Le projet, trop ambitieux, de 3.600.000 euros, devra être revu à la baisse. Le terrain synthétique pourrait être abandonné ; la taille des vestiaires et des tribunes pourrait être rabotée.
Le 26 janvier 2004, Waremme décide d’acheter une balayeuse, d’un coût total de 140.000 euros, dont 50.000 seront subsidiés par la Région Wallonne.
En juillet 2003, l’abattage des 800 peupliers, sur le site de la future « Maison de Hesbaye », est en cours. Certains riverains sont choqués par les conséquences que cela entraîne sur la nidification des oiseaux qui fréquentent cette peupleraie. Pour l’échevin et initiateur du projet, MEUREAU Robert, il n’était pas possible de modifier la période d’abattage, en raison de délais liés à l’obtention des subsides.
Le 18 juin 2003, le chantier de la future piste d’athlétisme, qui entourera le terrain de football de l’IPES, est inauguré par le député-bourgmestre de Waremme, CHABOT Jacques, et par les députés permanents, GERARD Gaston et PIRE Georges.
Le coût de ces travaux s’élève à 373.000 euros, subsidé à 60% par la Région Wallonne, la Province prenant en charge les 40% restants.
Le 18 juin 2003, le nouveau revêtement du hall omnisport du Centre Sportif et Culturel Edmond Leburton, à Waremme, est enfin installé. Le directeur du centre sportif, SOLEIL Georges, annonce que dans les semaines qui viennent, deux nouveaux vestiaires seront aménagés. Le coût des aménagements est d’environ 130.000 euros, subsidiés à 50% par Infrasport.
Le 4 novembre 1994, après trois mois de travaux, les nouvelles installations de la piscine communale de Waremme sont inaugurées à la rue des Prés : un bain à bulles et un hammam, une rénovation de la toiture. Les travaux ont coûté sept millions de francs belges pour la toiture et cinq millions pour le bain à bulles et le hammam, subsidiés à 60% par la Région Wallonne.
En 1989, la ville de Waremme lance une opération de développement rural, afin d’améliorer les conditions de vie de la population rurale. Elle postulera pour cela les subsides de la Région pour réaliser divers projets:
Le 15 avril 1951, suite à un avis favorable de l’inspection scolaire de l’Etat, l’Institut Saint-Laurent de Waremme est agréé dans la catégorie A3 Mécanique.
Cette agréation permet à l’Institut de recevoir des subsides et des frais de fonctionnement alloués par l’Etat. Jusqu’à ce moment, l’école fonctionnait grâce à des dons de personnes généreuses et aux collectes que l’abbé GEBOORS va faire dans les paroisses des environs.
Le 9 mai 1914, une loi rend l’enseignement obligatoire, en Belgique, pour les enfants de 6 à 14 ans. En outre, elle répartit uniformément les subsides de l’Etat entre les différents types d’écoles.