Félix Lucas à la sucrerie (Lamine – Oreye – Allemagne)

En 1942, LUCAS Félix, de Lamine, travaille à la sucrerie d’Oreye. En plus des rations alimentaires de sucre qu’il reçoit, il dispose d’un certificat de la direction de l’usine qui lui permet d’échapper au Service de Travail Obligatoire (STO) en Allemagne. Il épousera VANDERBEMDEN Irma.

L’usine « Beneo-Orafti » (Oreye)

En 2016, la sucrerie d’Oreye est exploitée par la société « Beneo-Orafti ». Elle a élargi ses activités et s’est lancée dans la production d’inuline, une substance produite à partir de racine de chicorée, possédant une valeur diététique remarquable dans l’alimentation.

Mathieu Smeets (Momalle – Oreye – Welkenraedt)

En 1940, SMEETS Mathieu, de Welkenraedt, vient s’installer rue du Chêne à Momalle, avec son épouse GRAEVEN Anne et leurs cinq enfants. Il travaillera à la Sucrerie d’Oreye.

Des grévistes arrêtés (Oreye)

Le 31 décembre 1960, une vingtaine de grévistes sont mis à la disposition du Parquet de Liège, après une manifestation devant la sucrerie d’Oreye.

Fin de la Sucrerie d’Oreye

En 1901, la S.A. « Sucrerie d’Oreye » est mise en liquidation. Elle avait été fondée par les frères CARTUYVELS de Waleffe. Son activité sera reprise par la Sucrerie Notre-Dame, dirigée par ROBERTI Auguste. Il a été directeur de la Sucrerie de Remicourt. Il restera administrateur-délégué jusqu’en 1936 (?).

Les administrateurs de la nouvelle société sont:

  • PERCY Arthur
  • PERCY Edgard
  • Mlle PERCY Florence
  • ROBERTI Auguste
  • SEVERIN Auguste
  • SPILLAERDT Pierre

Durant cette année, la raffinerie va produire 3.300 tonnes de sucre.

Le nom de « Sucrerie Notre-Dame » est donné en souvenir reconnaissant de la guérison « miraculeuse » à Lourdes, en 1898, de son directeur ROBERTI Auguste.

Le Vicinal supprimé vers Oreye

Le 1er juin 1959, le trafic « marchandises » vicinal vers la sucrerie d’Oreye est supprimé.

Des bus remplacent certaines lignes vicinales à Waremme

Le 10 septembre 1949, le trafic vicinal pour voyageurs est supprimé sur la ligne de Huy (Waremme – Statte). Il est remplacé par des bus vicinaux.

Le trafic marchandise vers la sucrerie d’Hollogne-sur-Geer est maintenu, à ses frais, jusqu’en juillet 1957 et le trafic vers la sucrerie d’Oreye est maintenu jusqu’en 1959.

Le Château « Roberti » (Waremme)

villa roberti

villa roberti

En mars 1905, Monsieur ROBERTI Auguste, directeur à la sucrerie d’Oreye, rachète la grosse villa construite à l’angle des rues Wérixhas et de la Porte de Liège, par DUMOULIN Jules. La villa prend alors le nom de « Château Roberti ». (Il en reste une aile en 2013). Le parc qui entoure le « château » est ceint d’un haut mur.

Devant l’entrée du parc se trouve une aubette où les passagers peuvent attendre le tram vicinal de la ligne Waremme – Oreye.

Création de la Sucrerie Notre-Dame à Oreye

En 1901, la Sucrerie d’Oreye est dissoute. Elle avait été fondée par les quatre frères CARTUYVELS, de Waleffe.

Les activités de la sucrerie sont reprises par six investisseurs :

  • SPILLAERDT Pierre
  • SEVERIN Auguste
  • PERCY Edgard
  • PERCY Arthur
  • PERCY Florence
  • ROBERTI Auguste

Le groupe rebaptise la société « Sucrerie Notre-Dame », en souvenir de la guérison miraculeuse à Lourdes, en 1898, du directeur, ROBERTI Auguste.

Fondation de la Sucrerie d’Oreye

Le 15 juin 1889, les quatre frères CARTUYVELS, de Waleffes, fondent la S.A. « Sucrerie et Raffinerie d’Oreye »:

  • CARTUYVELS Alfred
  • CARTUYVELS Hyacinthe
  • CARTUYVELS Oscar
  • CARTUYVELS Zénon

Elle transformera en sucre brut, 300 tonnes de betteraves par jour.