Le 5 décembre 2025, le Tribunal Correctionnel de Liège condamne un homme de 76 ans, de Donceel, à 30 mois de prison avec sursis, pour avoir posé des actes à caractère sexuel sur une fillette de 4 ans au début des faits, entre 1999 et 2007, et pour avoir été actif sur les réseaux sociaux entre 2008 et 2022, où il entretenait des conversations à caractère sexuel avec des jeunes filles âgées de 8 à 15 ans, devant lesquelles il s’exhibait et se masturbait.
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Coups de feu à Les Waleffes (Faimes)
Le 18 octobre 2005, KEPPENNE Joseph, fermier à Les Waleffes (Faimes), ouvre le feu à 4 reprises sur les pneus du tracteur de son cousin LARUELLE Paul, également fermier, qui traversait sa propriété pour éviter un long détour. Un des occupants du tracteur est blessé au bras. KEPPENNE Joseph sera condamné à une peine de 2 mois de prison avec sursis pour coups et blessures involontaires.
Nouvelle condamnation de Colin Borguet (Liège – Waremme)
Le 13 mai 2025, le tribunal correctionnel de Liège, en degré d’appel, condamne BORGUET Colin, d’Oupeye, à 4 ans de prison avec sursis probatoire de 2 ans, 5 ans de déchéance de conduite d’un véhicule motorisé et 8.000 euros d’amende avec un sursis probatoire pour la moitié, pour l’homicide involontaire de COLEMANS Thomas et JAMOYE Jean-François, à Waremme, dans la nuit du 13 au 14 avril 2024. Lors du prononcé de cette peine, les familles des victimes réagissent fortement et doivent être évacuées de la salle d’audience. Le condamné, accompagné d’un ami mineur d’âge, avait consommé une demi-bouteille de vodka, une boisson énergisante et fumé un joint. (Un premier jugement a fait l’objet de cet appel pour le prononcé d’une peine illégale)
Comme il a déjà purgé 13 mois de détention préventive, il demandera à être placé sous surveillance électronique et sera libéré le lendemain.
Un ancien cafetier condamné (Waremme)
En avril 2018, un Waremmien de 41 ans, ancien gérant d’un café de la ville tombé en faillite, est condamné à une peine de 15 mois de prison et à une amende de 2.400 euros, avec sursis probatoire pour ce qui excède la détention préventive, pour trafic de cocaïne et de cannabis.
Les peines de Daniel François et d’Alain Michelet sont définitives (Waremme)
Le 9 décembre 2015, la Cour de Cassation rejette les pourvois introduits par le Chef de la Zone de Police de Hesbaye, FRANCOIS Daniel, et par son adjoint, MICHELET Alain, contre la condamnation qu’ils ont encourue dans le cadre de l’affaire de suicide de leur subordonnée, la policière KOCH Sandra.
RAPPEL DES FAITS
Le 11 novembre 2011, la policière de Waremme KOCH Sandra, récemment mutée à Crisnée, se rend dans les bois de Stoumont en voiture, avec ses enfants Emilie (17 mois) et Bastien (4 ans). Elle prépare un petit « bûcher », s’asperge, ainsi que ses enfants, d’alcool et y met le feu. Ils sont gravement brûlés, mais ne décèdent pas. Elle s’empare alors d’un couteau, tue sa fille et inflige de profondes blessures à son fils (qui conservera toute sa vie d’importantes séquelles). Elle appelle alors les secours. Elle explique avoir été la victime de harcèlement de la part de ses supérieurs hiérarchiques. On la retrouvera pendue dans sa cellule le 6 décembre 2012.
Le Tribunal Correctionnel de Liège, statuant en première instance, a condamné FRANCOIS Daniel à 12 mois de prison avec sursis, et MICHELET Alain à 10 mois également avec sursis, pour harcèlement au travail et traitement inhumain et dégradant.
Ce jugement a été confirmé par la Cour d’appel de Liège, qui a ajouté que c’est ce harcèlement moral, ce traitement inhumain et dégradant, qui ont involontairement poussé KOCH Sandra à blesser gravement son fils, à tuer sa fille et à se suicider. Pour les juges d’Appel, c’est bien le comportement malveillant des deux commissaires qui est à l’origine du drame. Les juges ont précisé que les deux policiers ont créé un climat hostile qui a plongé leur subalterne dans un état psychologique fragile. Les magistrats ont considéré que ces deux supérieurs hiérarchiques auraient du prévoir que cet état psychologique pouvait entraîner des conséquences tragiques.
Si la peine de prison avec sursis a été maintenue par la Cour d’Appel, l’élargissement de la responsabilité des deux hommes a amené la Cour à les condamner, en sus, à payer des dommages et intérêts provisionnels de 75.000 euros à la famille. Cette somme servira, notamment, à payer les frais très lourds du traitement du fils de KOCH Sandra.
Cette sanction est maintenant définitive.
MAIS DANIEL FRANCOIS N’EN A PAS TERMINE
Entre l’arrêt de la Cour d’Appel et la décision de la Cour de Cassation, MICHELET Alain a pris sa retraite, échappant ainsi aux sanctions administratives qui n’auraient pas manqué de s’abattre sur lui, à l’issue du rejet du pourvoi par la Cour de Cassation. Par contre, FRANCOIS Daniel (plus jeune), en arrêt maladie, depuis la condamnation en première instance (!), est dans l’attente des sanctions qui devraient découler de la procédure disciplinaire lancée contre lui par le Ministre de l’Intérieur (procédure gelée dans l’attente de la décision de la Cour de Cassation).
Les sanctions possibles sont (de la plus légère à la plus lourde):
- l’avertissement,
- le blâme,
- la retenue de traitement,
- la suspension par mesure disciplinaire (de maximum trois mois),
- la rétrogradation dans l’échelle de traitement,
- la démission d’office,
- la révocation (celle-ci fait perdre à l’intéressé sa qualité de membre du personnel, entraînant de lourdes conséquences au niveau de la pension).
Sursis prolongé pour Frudelco (Donceel – Liège)
Le 13 août 2013, le Tribunal de Commerce de Liège prolonge le sursis accordé à la SPRL « Frudelco » qui exploite un commerce de fruits et légumes au n° 37 de la rue Joseph Joirkin à Donceel.
Sursis prolongé pour la Résidence Baccara (Waremme – Liège)
Le 17 juin 2014, le Tribunal de Commerce de Liège prolonge le sursis accordé à la S.A. « Résidence Baccara » qui exploite une Maison de Repos pour personnes âgées au n° 6 de la rue des Combattants à Waremme.
Daniel François et Alain Michelet, coupables (Waremme – Liège)
Le 26 mars 2015, la Cour d’Appel de Liège (1) confirme la peine que le Tribunal Correctionnel a prononcée à l’encontre de l’ancien chef de la zone de police de Waremme, FRANCOIS Daniel, et de son adjoint, MICHELET Alain, pour harcèlement et traitement inhumain et dégradant, mais (2) en sus, déclare que ces attitudes coupables sont à l’origine de la mort de KOCH Sandra et de sa fille, et des graves blessures de son fils.
RAPPEL DES FAITS
Le 11 novembre 2011, la policière de Waremme KOCH Sandra, récemment mutée à Crisnée, se rend dans les bois de Stoumont en voiture, avec ses enfants Emilie (17 mois) et Bastien (4 ans). Elle prépare un petit « bûcher », s’asperge, ainsi que ses enfants, d’alcool et y met le feu. Ils sont gravement brûlés, mais ne décèdent pas. Elle s’empare alors d’un couteau, tue sa fille et inflige de profondes blessures à son fils (qui conservera toute sa vie d’importantes séquelles). Elle appelle alors les secours. Elle explique avoir été la victime de harcèlement de la part de ses supérieurs hiérarchiques. On la retrouvera pendue dans sa cellule le 6 décembre 2012.
Comme en première instance, FRANCOIS Daniel est condamné à 12 mois de prison avec sursis, et MICHELET Alain à 10 mois également avec sursis, pour harcèlement au travail et traitement inhumain et dégradant.
Mais de plus, la Cour déclare que c’est ce harcèlement moral, ce traitement inhumain et dégradant, qui ont involontairement poussé KOCH Sandra à blesser gravement son fils, à tuer sa fille et à se suicider. Pour les juges d’Appel, c’est bien le comportement malveillant des deux commissaires qui est à l’origine du drame. Les juges précisent que les deux policiers ont créé un climat hostile qui a plongé leur subalterne dans un état psychologique fragile. Les magistrats considèrent que ces deux supérieurs hiérarchiques auraient du prévoir que cet état psychologique pouvait entraîner des conséquences tragiques.
Si la peine de prison avec sursis est maintenue, l’élargissement de la responsabilité des deux hommes amène la Cour à les condamner, en sus, à payer des dommages et intérêts provisionnels de 75.000 euros à la famille. Cette somme servira, notamment, à payer les frais très lourds du traitement du fils de KOCH Sandra.
Une telle condamnation devrait avoir d’importantes conséquences sur la carrière de FRANCOIS Daniel et MICHELET Alain à la police.
Les avocats des deux condamnés annoncent leur intention de se pourvoir en Cassation de l’arrêt de la Cour d’Appel. Pour rappel, la Cour de Cassation ne se prononcera pas sur le fond de l’affaire, en l’occurrence la culpabilité des deux hommes, mais sur la forme de l’arrêt de la Cour d’Appel et le respect des règles de procédure et de droit.
Sursis prolongé pour « Energik » (Waremme – Liège)
Le 14 septembre 2010, le tribunal de commerce de Liège prolonge le sursis octroyé à la SPRL « JPV Coiffure » qui exploite le salon de coiffure « Energik » à l’avenue Reine Astrid à Waremme.
Un sursis « Energik » (Waremme – Liège)
Le 16 mars 2010, le tribunal de commerce de Liège octroie un sursis à la SPRL « JPV Coiffure » qui exploite le salon de coiffure « Energik » à l’avenue Reine Astrid à Waremme et autorise une procédure de réorganisation..