Le 7 août 1941, NOVILLE Joseph est désigné agent patrouilleur temporaire à Jeneffe, pour surveiller les récoltes la nuit.
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La Mense des Pauvres
Au Moyen-Age, à côté de la charité monastique existe une charité paroissiale. Chaque paroisse a le devoir de secourir les indigents de sa communauté. Ce devoir est rempli par la « Table des Pauvres » ou « Table du Saint-Esprit ». L’administration de ce « bureau de bienfaisance » paroissial partage dans l’Histoire le sort de la Fabrique d’Eglise, à laquelle il est annexé. Le clergé paroissial en surveille les opérations et les laïcs de la paroisse (ordinairement les magistrats municipaux) font partie du Conseil en qualité de mambours.
Le curé Ista refuse de prêter serment (Hodeige)
En (?), suite à la Révolution Française, le curé de Hodeige, l’abbé ISTA Lambert, refuse de prêter le serment d’allégeance à la République et de haine à la Royauté. Vu son grand âge, il échappe à la déportation et à l’exil, mais est seulement placé sous la surveillance de l’Etat.
Dans ces jours sombres, il voit son église fermée et profanée; la croix du clocher est descendue. Il continuera à dire la messe et à administrer les sacrements, tantôt dans une grange, tantôt dans une cave.
L’administration militaire allemande en Belgique
Pendant la Deuxième Guerre Mondiale, l’administration militaire allemande en Belgique comporte:
- des Oberfeldkommandantur, (dont une à Liège), dont dépendent des feldkommandantur
- des Orstkommandantur (qui appliquent les directives dans les provinces et les arrondissements)
- des feldgendarmerie (Ses membres portent un collier à plaque. Ils sont chargés de la discipline, de la surveillance, d’arrêter les travailleurs obligatoires réfractaires, …. A Waremme, la feldgendarmerie est installée place du Roi Albert 1er)
- la Geheine Feldpolizei (la police secrète militaire)
- l’Abwehr (le service de sécurité et de renseignement de l’armée)
- la Sicherheitspolitzei (service policier civil, police d’Etat du IIIe Reich)
- la Gestapo
Il faut curer les rigoles et fossés (Crisnée)
Le 30 septembre 1920, le conseil communal de Crisnée demande à la râperie de Fexhe que ses ouvriers, préposés à la surveillance de l’écoulement des eaux de lavage des betteraves, continuent leur travail de curage des rigoles et fossés, depuis Kemexhe, jusqu’au-delà du territoire de Crisnée.
Les caméras de surveillance ne fonctionnent pas (Waremme)
Le 29 avril 2019, en réunion du Conseil Communal de waremme, interpellé par le conseiller communal HENRION Lionel, le bourgmestre CHABOT Jacques reconnaît que le système de caméras de surveillance du centre-ville ne fonctionne plus depuis 2 ans. Le système de visualisation des images, par fibres optiques, installé au commissariat de police, est défectueux. Pourtant la ville continue à payer une redevance annuelle de 18.000 euros par an pour ce système.
Le curé sous surveillance (Hollogne-sur-Geer)
Vers 1793, l’abbé POLLET Cornélis, curé de Hollogne-sur-Geer, est mis sous surveillance comme « sexagénaire ». (Il ne reprendra pleinement ses fonctions qu’en 1805, sous le Régime Napoléonien).
Le curé sous surveillance (Omal)
Vers 1793, l’abbé PERILLEUX Bauduin, curé d’Omal, est mis sous surveillance comme « sexagénaire ».
Le curé sous surveillance (Darion)
Vers 1793, l’abbé QUIRINY Henri-Adrien, curé de Darion, est mis sous surveillance comme « infirme ».
Lambert Istas, curé sous surveillance (Hodeige)
Vers 1800, le curé de Hodeige, l’abbé ISTAS Lambert, est mis sous surveillance par le Régime Français, pour avoir refusé de prêter le serment constitutionnel d’allégeance. Il n’est pas exilé car dit « sexagénaire ».