Le 9 février 2017, vers 20h45, deux hommes cagoulés et armés attaquent l’agence de tiercé « Ladbrokes », située avenue Reine Astrid, à Waremme. Le gérant et deux clients se trouvent à l’intérieur. Un des malfrats surveille les clients pendant que l’autre se fait ouvrir le coffre-fort par le gérant, dans l’arrière-boutique. Il s’empare du contenu du coffre, puis vide le tiroir-caisse. Les deux individus s’enfuient à pied, avant de monter dans un véhicule.
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La rue du Baloir (Waremme)
Le nom « Baloir », de la rue du Baloir à Waremme, vient du mot « baladoir », sentier situé au sommet des remparts, permettant d’effectuer des rondes et de surveiller les alentours.
Le Résistants occupent les points stratégiques (Waremme)
Le 7 septembre 1944, vers 14 heures, une petite troupe de Résistants du Groupe « Otarie », commandée par NELIS Gaston, investit Waremme et occupe des points stratégiques:
- LEJEUNE René et SAUWENS André s’installent dans les ruines du coin de la rue Gustave Renier, pour surveiller le carrefour du Centre.
- THOMAS Jean-Baptiste, BOURS Jean, HERCKENS Jules et MISSOTTEN Hubert prennent position dans la pharmacie « GIELEN », de l’autre côté de ce carrefour.
- MOUREAU Edmond et GODBILLE Maurice pénètrent dans l’Hôtel de Ville.
- NELIS Gaston, dit « Joseph », et PAPY Justin s’introduisent dans la gare.
Accrochage à Omal
Le 5 septembre 1944, des hommes de la Compagnie 420 du Groupe « Otarie », commandée par CARTUYVELS Alfred, quittent le « Refuge » à Les-Waleffes et se dirigent vers Omal, pour y surveiller la Chaussée Romaine.
Composent, notamment, ce groupe:
- MOISSE Maurice
- GUSTIN Lucien
- DUCHATEAU Jean-Joseph
- DUCHESNE Léonard
- MARTIN Emile
- GEMIS Camille
- FAUVILLE Marcel
- DOLHEN Félicien
- ROSOUX Gustave
Un accrochage a lieu avec une colonne motorisée allemande. DUCHATEAU Jean-Joseph, FAUVILLE Marcel et MARTIN Emile y perdent la vie.
Il faut mettre les biens des sinistrés à l’abri (Waremme)
Le 28 août 1944, après le bombardement de Waremme, les jeunes de la section locale de l’Aide et Reconstruction des Foyers Eprouvés par la Guerre (ARFEG) travaillent sous la surveillance de WEBER Jean-Baptiste.
Il décide d’entreposer les meubles et les objets de valeur, des immeubles touchés par les explosions, dans les locaux de l’ancienne centrale électrique. En raison de la tombée de la nuit, ce travail sera surtout effectué le lendemain.
En attendant, des gardes-champêtres et des gendarmes surveillent la zone sinistrée.
Armand Demuynck, employé communal (Waremme)
En juin 1943, DEMUYNCK Armand est employé communal à Waremme. Il rédige, notamment, les ordres de réquisition d’habitants, pour la surveillance nocture des récoltes.
Jules Linotte, réquisitionné (Waremme)
Le 22 juin 1943, LINOTTE Jules-Désiré-Antoine reçoit l’ordre de réquisition, signé par le bourgmestre de Waremme, de se mettre à la disposition du commissaire de police, le 27 juin 1943 à 21 heures, pour surveiller les plantations de GERITS Albert.
Nicolas Missaire, sergent (Hemricourt)
En 1781, MISSAIRE Nicolas est sergent à Hemricourt.
Sa mission consiste à veiller aux biens d’autrui, à porter le convocations aux membres de la Cour de Justice et à maintenir l’ordre aux séances de cette Cour. Il est également garde-chasse, garde-pêche et forestier.
Jacques Tombeur, sergent (Hemricourt)
En 1760, TOMBEUR Jacques est sergent à Hemricourt.
Sa mission consiste à veiller aux biens d’autrui, à porter le convocations aux membres de la Cour de Justice et à maintenir l’ordre aux séances de cette Cour. Il est également garde-chasse, garde-pêche et forestier.
Le sergent Garnier (Hemricourt)
En 1747, GARNIER est sergent à Hemricourt.
Sa mission consiste à veiller aux biens d’autrui, à porter le convocations aux membres de la Cour de Justice et à maintenir l’ordre aux séances de cette Cour. Il est également garde-chasse, garde-pêche et forestier.