Remise des prix sportifs (Waremme)

En octobre 1988, des trophées et prix récompensent les sportifs waremmiens qui se sont distingués au cours de la saison 1987 – 1988.

  • Le Trophée Sportif est attribuée à PAQUAY Eddy, jeune pilote de rallye de 33 ans.
  • Le prix du Mérite Sportif est attribué au président de la Société Royale  » Les Francs Tireurs », PARATE Louis. Les archers de la société doivent abattre un oiseau (aujourd’hui artificiel) fixé sur une perche à une hauteur de 28 mètres.
  • Le prix du Fair-Play est attribué à BODEN Théo. Bien qu’il ne pratique aucun sport, il est toujours présent au complexe sportif pour renseigner ceux qui en ont besoin et pour surveiller le matériel.

Des animaux empoisonnés à Waremme

En janvier 2005, plusieurs animaux domestiques du quartier de Hartenge à Waremme, meurent empoisonnés. La police effectue une discrète surveillance de nuit pour surprendre les coupables de ces actes malveillants.

« Le Grand Paul » de Waremme (Autriche – Allemagne)

En juillet 1944, la Kommandantur de Waremme est dirigée par le « Stabsfeldwebel » UNFRIED Paul, dit « le Grand Paul ».

C’est un sous-officier d’origine autrichienne plutôt raisonnable, qui ne s’évertue pas à chercher noise à ses « administrés ». Plutôt bel homme, très distingué et « connaissant les manières ». Malheureusement, il a comme adjoint un certain « Max », sous-officier nazi. Il est probable que la hiérarchie allemande ait chargé ce dernier de surveiller l’Autrichien.

Emile Brose, résistant (Waremme – Huy)

En 1942, la Résistance s’organise. BROSE Emile est responsable d’un service de sécurité du Front de l’Indépendance, qui englobe Huy – Waremme – Andenne. Il s’agit de surveiller ses propres camarades résistants, car leurs confidences imprudentes peuvent être dangereuses pour toute l’organisation.

C.C. HUBAR nommé médecin-chirurgien à l’Administration (Waremme)

Le 31 novembre 1858, HUBAR C.C. de Waremme est nommé médecin-chirurgien, chargé du service de santé de l’Administration des Chemins de Fer, Postes et Télégraphes, sous la haute surveillance de l’Inspecteur Général du Service de Santé de l’armée.

Le Service de Santé des Chemins de Fer (Waremme – Belgique)

Le 2 avril 1838, JACQUES Ch. A. de Waremme est nommé médecin-chirurgien, chargé du service de santé de l’Administration des Chemins de Fer, Postes et Télégraphes, sous la haute surveillance de l’Inspecteur Général du Service de Santé de l’armée.

Le Premier Concordat (France – Vatican)

 

concordat de 1801

concordat de 1801

Le 15 juillet 1801, le Premier Concordat est signé entre le Premier Consul BONAPARTE et le Pape PIE VII, il règle les rapports entre l’Eglise et l’Etat.

napoléon bonaparte

napoléon bonaparte

Il vient mettre un terme à toutes les tracasseries des autorités républicaines et le culte peut, à nouveau, s’exercer librement. Cependant, le clergé est placé sous la surveillance du pouvoir civil : les Evêques sont nommés par l’Empereur ; les curés sont nommés par l’Evêque parmi les personnes agréées par le gouvernement. Ils doivent prêter serment de fidélité et d’obéissance au gouvernement. Chaque commune est autorisée à reprendre les cloches qui avaient été retirées des églises en 1797. Celles du canton de Waremme avaient été stockées dans l’ancien couvent des Récollets, notamment, parmi les plus anciennes, une cloche de 1353 de l’église paroissiale Saint-Pierre, une de 1314 du village de Marlinne, une autre de 1371 du village de Bleret.

pape pie vii

pape pie vii

La nouvelle organisation de l’Eglise est copiée sur celle de l’administration civile:

  • Chaque diocèse doit correspondre à un département.
  • Chaque doyenné doit correspondre à un canton.
  • Chaque paroisse doit correspondre à une commune.

C’est ainsi qu’une ou deux paroisses sur trois est supprimée et est rattachée comme « chapellenie » à une paroisse voisine. 

Certaines dénominations changent:

  • Le doyenné devient cure.
  • Le doyen devient curé.
  • La paroisse devient succursale.
  • Le curé devient desservant.

Le Concordat va ramener la paix religieuse dans la région de Waremme et apaiser les consciences. Toutefois, les biens de l’Eglise, qui ont été confisqués et vendus, ne lui sont pas restitués.

(Un certain nombre d’acquéreurs de ces biens sont des citadins de Liège)

Les prêtres doivent prêter serment de fidélité à la République (Waremme – France)

Le 5 septembre 1797 (19 fructidor de l’An V), un décret du Directoire impose aux ecclésiastiques un « serment de haine à la royauté et de fidélité à la République ». Les réfractaires feront l’objet d’une répression brutale.

Cette exigence divise le clergé waremmien. Le vicaire, DANGLEUR Michel, qui est aussi curé de Berloz (?), refuse de prêter ce serment, alors que le curé DESHAYE Gérard-Joseph accepte. Une chasse aux prêtres non assermentés est organisée dans le canton de Waremme. Ainsi, les curés de Crenwick, de Boëlhe, de Rosoux, de Darion, d’Omal, de Geer, de Grand-Axhe, de Bovenistier, de Donceel, de Hodeige, de Pousset, de Bleret, de Bergilers, de Hollogne-sur-Geer, de Limont et de Viemme.

Beaucoup de prêtres réfractaires se cacheront pour éviter la déportation. Néanmoins, 8000 d’entre-eux ne pourront y échapper et seront envoyés à Oléron, à l’île de Ré ou en Guyanne. Cependant, s’ils sont âgés ou infirmes, ils seront simplement mis sous surveillance

Deux jurés surveillent les poids et les mesures (Waremme)

Un acte de 1494 apprend qu’il y a à Waremme 2 jurés :

  • l’un nommé par le conseil
  • l’autre nommé par le mayeur.

Ils surveillent les marchandises apportées aux marchés et la fixation du prix de pain. Ils vérifient également les poids et mesures. Le tiers des amendes et confiscations qu’ils prononcent leur appartient. Le mayeur et la ville se partagent les deux tiers restants.