En 1939, le chef de la police de Waremme est HARDY Camille. C’est un homme de haute taille, à la carrure impressionnante.
Lors de la Première Guerre Mondiale, il a refusé de travailler sous la férule de l’occupant allemand.
En 1939, le chef de la police de Waremme est HARDY Camille. C’est un homme de haute taille, à la carrure impressionnante.
Lors de la Première Guerre Mondiale, il a refusé de travailler sous la férule de l’occupant allemand.
En 1773, le Seigneur de Hemricourt, DE GRUMSEL Pierre, Chevalier du Saint-Empire, donne en location pour un an, à DESTAVE Gille d’Antheit, maître-ouvrier des moulins:
Il recevra 50 florins brabant tous les trois mois, soit une somme annuelle de 200 florins, libres et affranchis de toutes tailles et autres impositions, lesquelles sont à charge du preneur.
Le Seigneur est propriétaire foncier. Son château-fort lui sert de résidence, ainsi qu’à ses homme d’armes. A côté de celui-ci, une imposante ferme exploite les nombreuses terres, qui constituent sa réserve seigneuriale. Non loin de là, en bordure de l’Yerne, au lieu-dit « le Vivier », son moulin à eau est fréquenté par la population soumise aux bannalités. Aux environs de cet ensemble, se trouvent les maisons et les huttes de la population. Elles sont établies le long du « Mont » (qui deviendra, bien plus tard la rue du Presbytère), à la « Maikèse » (qui deviendra la rue du Haut-Vinave) et près du pont jeté sur l’Yerne.
La population vit dans un état voisin du servage. Elle ne peut quitter le village, ni se marier au-dehors, sans le consentement du Seigneur.
Elle est soumise à un ensemble de redevances et d’obligations, dont certaines ont un caractère personnel et d’autres sont inhérentes à la nature du bien mis en oeuvre. C’est ainsi que cette population:
Les « serfs » sont soumis aux exigences arbitraires du Seigneur. Ils sont « Taillables et corvéables à merci ».
Le 18 octobre 1712, le Seigneur de Lantremange confirme que les tailles de Lantremange sont versées au pouvoir liégeois.
En 1752, DUME François remarque que le village de Lantremange ne paie plus les tailles au Pays de Stavelot, mais à celui de Liège.
La Principauté ardennaise ne possède pas de force armée capable de défendre ses droits contre ses voisins.
En 1545, aux termes de la « Décision de Spire », la Principauté de Stavelot-Malmedy paie une taille de 2.688 florins du Rhin, pour continuer la guerre contre les Turcs.
Selon cette décision:
Le 12 février 1985, un cycle de cours postscolaires de fruticulture est entamé à l’IPES de Waremme. Il s’étendra jusqu’à l’été. Le programme est le suivant:
En 1698 et 1699, les Etats du Pays de Liège décident de ne lever aucune taille.
En 1785, des listes de défaillants aux « 400 tailles » sont dressées par les autorités communales de Waremme.
En 1747, BOUX G., secrétaire du Magistrat de Waremme, adresse une lettre au Prince-Evêque de Liège, se plaignant du fait que les habitants de communautés voisines d’Hartenge, d’Oleye, de Bettincourt, de Bleret et de Bovenistier, ont renoncé à plusieurs reprises de venir payer les tailles imposées à Waremme, pour les frais de cette Guerre, alors qu’un règlement du Prince-Evêque de 1686 les y obligerait.