Le 15 novembre 1884, le marchand-tanneur de Waremme, VANDENBOSCH Nicolas, fait donation à la Fabrique d’Eglise de la ville, d’une maison, située près de l’Hôtel de Ville, et d’un jardin, situé près des remparts. Il émet le vœu que la maison soit affectée au logement du vicaire de la paroisse et le jardin à son usage.
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Nicolas Vandenbosch, tanneur (Waremme)
En novembre 1884, VANDENBOSCH Nicolas est marchand-tanneur à Waremme.
Charles Vandervelpen, tanneur (Waremme)
En 1906, VANDERVELPEN Charles est tanneur à Waremme.
Emile Vandervelpen, tanneur (Waremme)
En 1954, la tannerie-corroierie « La Maison VANDERVELPEN – TOMSIN » est installée au n° 30 de la rue Emile Hallet, à Waremme.
Elle tanne à façon des peaux de mouton, de chèvres, …
Elle vend:
- des cuirs pour bourrellerie et sellerie
- des cuirs pour gants industriels
Emile Vandervelpen, tanneur (Waremme)
En janvier 1940, VANDERVELPEN Emile est tanneur à Waremme. Il a combattu durant la Première Guerre Mondiale.
La tannerie « Vandervelpen » (Waremme)
En août 1944, la tannerie « Vandervelpen » est installée rue Emile Hallet à Waremme.
Emile Vandervelpen s’illustre (Waremme – Ramskapelle)
En 1918, le tanneur de Waremme, VANDERVELPEN Emile, est l’un des premiers soldats du 6ème Régiment de Ligne à pénétrer dans la localité de Ramskapelle et à la reprendre aux Allemands. Il sera fait citoyen d’honneur de la ville.
Emile Vanden Velpen, tanneur (Waremme)
En février 1940, VANDER VELPEN Emile exploite une tannerie-corroirie au n° 28 de la rue Emile Hallet à Waremme. Il vend des cuirs pour bourreliers et selliers.
Le commerce a été créé en 1889.
Waremme doit rembourser une taxe indue
Le 28 avril 2003, la ville de Waremme doit rembourser, à 7 Waremmiens riverains de l’ancienne tannerie, une taxe qui les avait frappés pour financer la nouvelle percée qui relie la rue des Combattants à la rue du Moulin.
Le tanneur Vandervelpen (Waremme)
En 1907, le tanneur VANDERVELPEN exploite un magasin de cuir, rue de la Station (qui deviendra plus tard l’avenue Reine Astrid). C’est immeuble deviendra plus tard la maison de repos « Les Heures Paisibles ».