Le 16 mars 1478, DE BOULANT Marie rédige son testament, par lequel elle lègue à son neveu, DE BOULANT Jean, la Seigneurie de Jeneffe, la châtellenie et l’avouerie de Waremme.
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Marc Frères reprend la bijouterie Gonne (Waremme)
En 1988, FRERES Marc et son épouse (?) Christiane reprennent la bijouterie de sa tante GONNE Ninie, avenue Reine Astrid à Waremme. Il a effectué des études d’horlogerie en Suisse.
Elisabeth Delle Thour (Fize-le-Marsal)
Vers 1715, DELLE THOUR Elisabeth habite à Fize-le-Marsal avec sa nièce (?) Agnès.
Marie-Catherine Lejeune rédige son testament (Waremme)
Le 24 avril 1794, LEJEUNE Marie-Catherine signe son testament devant le notaire MELARD (de Waremme ?).
Les bénéficiaires sont:
- Sa belle-soeur, LHOEST Marie-Jeanne, à qui elle laisse une rente à Louvain; tout ce qui lui appartient en Brabant; sa part dans la maison « des Trois Harengs » à Waremme, touchant d’amont au cimetière, d’aval au chemin royal et vers le Geer à la ruelle qui tend au cimetière.
- Sa nièce (fille de la précédente), LEJEUNE Anne-Marie-Jeanne.
- Les autres enfants de son frère, LEJEUNE Jean-Michel (et de LHOEST Marie-Jeanne), se partagent le reste de ses biens.
Alexandre de Blochause hérite du château d’Otrange
En 1846, à la mort de Madame GRISARD Servais, son neveu DE BLOCHAUSE Alexandre hérite du domaine d’Otrange.
Pierre Ferette écrit à ses parents (Celles – France)
Le 5 juillet 1810, FERETTE Pierre-Joseph, journalier à Celles, fusilier au 5ème Bataillon de la 1ère Compagnie du 32ème Régiment d’Infanterie de Ligne, écrit à ses parents, de Paris:
« Mon très cher père et très chère mère,
En réponse à la vôtre datée du 30 mai dernier par laquelle j’ai eu la satisfaction d’apprendre que vous jouissiez d’une santé parfaite, espérant que la présente vous trouvera de même quoique de mon côté je me porte bien Dieu merci. Je souhaite une continuation parfaite de même qu’à vous tous, mon cher père.
C’est la seconde fois depuis peu mais l’argent que vous m’avez fait le plaisir de m’envoyer m’est arrivé avec votre lettre. Rien autre chose à vous marquer pour le présent que de vous faire mes compliments, de même qu’à ma mère et frères après vous avoir embrassé de tout mon cœur et désirant que Dieu nous donnera la grâce de nous revoir un jour.
Finissant la présente, je vous prie de faire mes compliments à M. HAMOIRE et à sa prétendue épouse et à toute sa famille. Vous leur direz de ma part que je leur souhaite toutes sortes de bonheur touchant leur mariage et que je me recommande à eux. Ce serait un effet de leur bonté que de m’envoyer un peu d’argent. Je leur serait infiniment obligé, je vous prie de faire mes compliments à M. GODECHAL et à sa famille et qu’il ait soin de me renvoyer ce qu’il m’a proposé et que je me recommande de sa personne. Je lui serai infiniment reconnaissant. Mes compliments à MARECHAL et à son épouse.
J’ai fini ma lettre en vous embrassant de tout mon coeur et suis pour la vie votre très humble et obéissant fils.
Mon père, je vous prie de faire mes compliments à HALAIN et à ses frères de la part de HALAIN François. Leur fils qui se porte bien et qu’il espère que la présente vous trouvera dans la même situation et qu’il fait ses compliments à ses oncles et tantes et à ses cousins, de même qu’à GOUGNAR Marie et que je les embrasse de tout mon cœur.
p.s.: je ne suis plus camarade de lit de FERETTE, mais je ne suis pas éloigné de lui. FERETTE couche avec un jeune homme de Thisnes. HALAIN a reçu une couronne et demie que son père lui a envoyée.
Son adresse dans le même bataillon et la même compagnie que moi.
Ecrivez-nous de suite.
François Halain écrit à son père (Celles – France)
Le 22 avril 1810 (?), HALAIN François, laboureur à Celles, soldat au 32ème Régiment d’Infanterie de Ligne, écrit à son père, HALAIN Pierre, depuis Paris:
« Mon très cher père,
Je vous écris pour vous faire savoir que je suis en bonne santé, espérant que vous êtes de même et toute la famille et pour vous faire savoir que j’ai reçu l’argent que vous m’avez envoyé, une couronne et demie et je suis bien content de ce que vous m’aviez envoyé et, Mon très cher père et mes trois sœurs, je vous fait beaucoup de compliments et à mes cousins et à mes cousines et à mes tantes et parents et amis et je vous écris pour une nouvelle que j’étais au mariage de l’empereur le 2 avril et il y avait beaucoup de monde et (toute la qu’il est feu en fans me ?) et le plus vieux de mes frères y m’est bon. Je lui fais beaucoup mes compliments et on parle de partir bientôt et nous sommes tous les deux ensemble avec FEROIT Joseph et je finis ma lettre en vous embrassant de tout mon coeur.
André-Bernard Delvaux écrit à son oncle (Remicourt – Dalmatie)
Le 20 février 1808, DELVAUX André-Bernard, journalier à Remicourt, soldat au 1er Bataillon de la 4ème Compagnie du 23ème Régiment d’Infanterie de Ligne, écrit à son oncle de Cattaro (Kotor) en Dalmatie (Montenegro).
« Mon cher oncle, je vous écris ce message pour répondre à votre lettre qui m’a fait sensible plaisir d’apprendre de vos nouvelles et je souhaite que la présente vous trouve en bonne santé. Quant à moi, je me porte bien, Dieu merci.
Mon oncle, vous me demandez un certificat pour mon frère. Je suis surpris que vous ne l’avez pas demandé plus tôt parce que vous me marquez que c’est pour le premier de janvier. Sitôt reçu votre lettre, je mets la main à la plume pour vous obliger car je ne saurais que faire pour vous et pour mon frère et je souhaite de tout mon coeur que le certificat puisse lui servir. Cela me ferait le plus grand plaisir du monde, mon cher oncle.
Je vous dirai que nous sommes partis de Raven le 16 octobre pour aller en Dalmatie. Je vais vous dire que nous avons été deux mois en route et que nous avions bien de la peine et du mal en route parce que nous avons passé dans les plus mauvais pays que l’on puisse voir. Je vous dirai que je ne suis plus dans le troisième Bataillon. Je vous dirai que nous sommes dans l’Albanie, la Turquie, qui est un mauvais pays car nous sommes obligés de coucher sur des lits de camp. Tout est très cher et l’on ne peut rien avoir qu’à force d’argent car la mer est bouchée par les Anglais.
Et voilà, pas d’autre chose à vous marquer pour le présent. Bien des compliments à mes frères et sœurs que j’embrasse du plus profond de mon cœur. Je finis en vous embrassant tous, mon oncle et ma tante, mes frères et sœurs et ainsi que ma famille et je suis pour la vie votre neveu DELVAUZ. Je vous prie de me faire réponse de suite. »
François-Alexandre de Seraing, Seigneur (Hollogne-sur-Geer)
Le 7 novembre 1725, DE LA BRIQUE Odile, veuve du Seigneur de Hollogne-sur-Geer DE SERAING Ernest-Dominique, donne la Seigneurie à son neveu, le Baron DE SERAING François-Alexandre, fils de DE HOLLOGNE (?) Alexandre et de DE ROLAND Marie..
François Debouny, sellier (Waremme)
En 1763, DEBOUNY François est sellier, à Waremme. Son épouse est PETERS Jeanne-Anne.
Il habite avec:
- DEBOUNY Guilleaume, son fils, manouvrier à journée, âgé de 22 ans
- DEBOUNY Anne-Françoise, sa fille, âgée de 19 ans
- DEBOUNY Balthasar, son fils, âgé de 14 ans
- MARECHAL Marguerite, jeune fille (célibataire), travaillante à journée, âgée de 75 ans
- MARECHAL Anne, soeur de Marguerite, travaillante à journée, âgée de 70 ans
- GHISET Marguerite, nièce des soeurs MARECHAL, travaillante à journée, âgée de 47 ans