Le 14 septembre 1915, le conseil communal de Fize-le-Marsal décide la perception d’une taxe de 3 francs sur les chiens (sauf pour les chiens d’aveugle).
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Taxe Cimetière (Fize-le-Marsal)
A partir du 1er janvier 1923, le conseil communal de Fize-le-Marsal décide l’instauration d’une taxe annuelle « Cimetière » de 5 francs par m2 de concession au cimetière du village.
Taxes à Remicourt
En 1958, le conseil communal de Remicourt vote une taxe sur la force motrice et le personnel occupé.
La TSF en Belgique
En 1933, 286.000 détenteurs de TSF ont payé la taxe en Belgique.
La taxe sur les places de cinéma (Waremme)
En 1949, la commune de Waremme prélève une taxe sur les places de cinéma:
- 8,10% sur les places ne dépassant pas 5 francs
- 8,70% sur les places de 5 à 8 francs
- 15,50% sur les places de 8 à 12 francs
- 18,60% sur les places de 12 à 20 francs
- 23,25% sur les places de plus de 20 francs
Taxe sur les chiens de luxe (Crisnée)
En 1917, le conseil communal de Crisnée décide de porter de 2 francs 50 à 5 francs la taxe à percevoir sur les chiens de luxe.
Les dégradations de la sucrerie (Hollogne-sur-Geer)
Le 14 mars 1867, le conseil communal de Hollogne-sur-Geer débat sur le montant de la subvention à payer par la société « NAVEAU et LEDOCTE » pour les frais d’entretien des chemins, suite aux dégradations extraordinaires occasionnées par le transport de betteraves à destination de son usine de sucre.
La société accepte de payer 1.360 francs pour l’achat de pierres destinées à la réparation du chemin de grande communication « Waremme – Lens-Saint-Remy ».
Maintien de l’imposition des sucreries (Waremme)
Le 18 mai 1867, le Conseil Communal de Waremme constate que les péages perçus sur les voiries de la commune ne suffisent pas à la réparation des dégradations causées à celles-ci par les charrois des sucreries. Il décide donc de maintenir les impositions établies à leur charge, malgré leur réclamation.
Réclamation contre l’imposition communale (Waremme)
En mars (?) 1867, les sucreries LAURENTY et MOMMENS introduisent une réclamation contre l’imposition mise à leur charge par la commune de Waremme, pour la réparation des voiries communales. Elles déclarent participer déjà à ces réparations par les droits de péage qu’elles acquittent lors de leurs transports.
La réparation des voiries coûte cher (Waremme)
Le 7 mars 1867, le Conseil Communal de Waremme constate, qu’en 1866, la voirie empierrée de la commune et les chemins de grande communication qui traversent son territoire, ont été fortement dégradés par:
- le charroi des transports de briques nécessaires à la construction de la sucrerie « MOMMENS »;
- par le transport des betteraves vers les sucreries de Waremme et des environs;
- par le transport du charbon nécessaire au fonctionnement de ces entreprises .
La commune a supporté une augmentation des frais d’entretien des chemins empierrés et pavés de la commune pour un montant de 427,45 francs en 1865 et de 448, 63 francs en 1866. Cette augmentation étant causée par l’augmentation du charroi vers les sucreries de Waremme, le Conseil Communal décide de les taxer comme suit:
- Sucrerie LAURENTY: 427, 45 francs pour 1865 et 348,63 francs pour 1866
- Sucrerie MOMMENS: 100 francs pour 1866
Ces impositions prennent en considération les droits de péage payés par ces entreprises.
La commune a supporté une augmentation des frais d’entretien des chemins de grande communication traversant son territoire, pour un montant de 1.220,80 francs en 1865 et de 1.464,96 francs en 1866. Cette augmentation étant causée par l’augmentation du charroi vers les sucreries de la région, le Conseil Communal de Waremme décide de les taxer comme suit:
- Sucrerie de Les Waleffes: 404 francs pour 1865 et 485 francs pour 1866
- Sucrerie de Hollogne-sur-Geer: 816 francs pour 1865 et 980 francs pour 1866