En 1706, HAPPART Ottelet possède des terres à Thys.
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Vente de terres (Thys)
Le 10 avril 1706, la communauté de Thys vend 8 grandes verges et 9,5 petites verges de terre au Seigneur du lieu, DE WANZOULLE Berthold (Barthold ?), pour 300 florins brabant.
Cession de terres (Thys)
Le 11 mai 1699, pour éteindre une rente, la communauté de Thys doit céder une pièce de terre au Seigneur du lieu, D’EYNATTEN Charles.
Vente de terres (Thys)
Le 26 mai 1698, pour éteindre une rente, la communauté de Thys doit céder une pièce de terre à D’EYNATTEN Herman.
Le bourgmestre veut ouvrir une sucrerie (Omal)
Le 26 septembre 1870, le conseil communal d’Omal examine la demande de son bourgmestre, POLET Jean-Baptiste, (via sa société « Jean-Baptiste Polet et Cie »), qui sollicite l’autorisation d’établir une fabrique de sucre à Omal, sur une terre de 3 ha lui appartenant, située à l’entrée du village le long de la Chaussée Romaine. Il désire également y construire une maison.
Prix de terrains (Liège)
En 1837, un m2 de terrain coûte 2,75 francs en Outremeuse, à Liège.
La villa Mahy (Oreye)
En 1908, le notaire MAHY Armand fait construire une grande villa, rue de la Westrée à Oreye, à côté de la ferme BAILLIEN – MANS, sur un terrain acheté au marchand LAHAYE Hubert (dont l’épouse se nomme MARNEFFE ?)
Joseph Nicolas, briquetier (Oreye – Bovenistier)
En 1946, NICOLAS Joseph, de Bovenistier, (père de l’institutrice NICOLAS Alix, épouse LAHAYE), exploite la parcelle de terrain « La Briqueterie » à Oreye, pour confectionner des briques.
Gérard Botty, locataire (Oreye)
En 1613, D’ALKEN Henri met en location à BOTTY Gérard, des terres provenant de la cense d’Oreye.
Un château à Oreye
En mars 1261, le chevalier DE MONFERANT Adan, Seigneur d’Oreye, et son épouse D’OREYE Elisabeth prennent en location, à perpétuité, 6 bonniers de terres , près de Tis (Thys ?), auprès de l’abbé de Saint-Trond, contre une rente annuelle de 26 muids d’épeautre. Ils ne pourront vendre ce bien sans le consentement de l’abbaye (Leurs successeurs payeront cette rente jusqu’à la Révolution française et l’abolition du régime féodal).
Sur ces terres, ils construiront un château féodal. Cet édifice comprendra une cour haute et une cour basse, flanquées de 4 tours carrées situées à chacune des extrémités. Une maison seigneuriale et un quartier des serviteurs et domestiques y seront adjoints. Des écuries et des étables complèteront l’ensemble. Une seule entrée permettra l’accès à ce château. Elle sera surmontée d’un donjon, précédé par un pont-levis. Des étangs, alimentés par le Geer, entoureront cet ensemble.