Le 26 novembre 1973, le site formé par les 2 châteaux, la chapelle « Notre-Dame » et les terrains avoisinants, à Saives (quartier de la nouvelle commune de Faimes), est classé par la Commission Royale des Monuments et Sites.
En 1950, 1.002 hectares de céréales sont exploités à Celles.
En 1834, 1.047 hectares de céréales sont exploités à Celles.
En 1950, 247 hectares de terre sur un total de 275 sont exploités à Aineffe.
En 1834, 268 hectares de terre sur un total de 275 sont exploités à Aineffe.
En 1092, l’abbaye Saint-Laurent de Liège cède à l’abbaye Saint-Jacques (contre d’autres biens) tous les biens qu’elle possède à Aineffe, y compris ses droits sur l’église du village.
En 1830 (?), à Remicourt, 7 grosses fermes détiennent 420 bonniers de terres cultivées, alors que les petits exploitants, ensemble, n’en détiennent que 57 bonniers.
En 1750, BRASSINNE Pascal (Paschal ?), dit « Le Vieux », fils de BRASSINNE Jean, possède 38 bonniers de terres à Remicourt.
En 1854, des monnaies d’or (gallo) romaines et le fragments d’une statue en bronze sont découverts dans des terrains de culture, à Braives.
En (?), en Hesbaye, le fermier d’un village, qui termine en premier les travaux de moisson, fabrique un mannequin de paille, appelé « Dj’Han l’nahi » (Jean le fatigué), coiffé d’un chapeau de moissonneur, vêtu d’un sarrau, muni d’un râteau édenté, portant en bandoulière une besace et un bidon. Il va ensuite le planter dans le champs d’un voisin qui n’a pas encore terminé. Le mannequin passe ainsi des terres d’un agriculteur à celles d’un autre, au fur et à mesure de l’avancement des travaux. Le dernier cultivateur qui en hérite, doit payer à boire aux autres et à leurs ouvriers. Enfin, le mannequin est livré aux flammes dans la liesse générale.