Travaux à Petit-Axhe

Le 29 avril 1891, une tranchée pour l’eau de Wachné doit être recreusée près du pont de Petit-Axhe, car la terre s’est éboulée.

Achat de terre par l’abbé Arnoul (Jeneffe – Hollogne-sur-Geer)

Le 29 mars 1268, la cour allodiale de Liège fait savoir que DE GINEFFE Lambert, bourgeois de Valenciennes, donne (vend ?) à ARNOUL, le prêtre de Jeneffe, 8 verges de terre allodiale à Hollogne-sur-Geer, pour 4 marcs de Liège.

Vente de la dîme de Waremme

En 1236, DE WAROUX DE LEXHY DE JENEFFE Bauduin, châtelain de Waremme, vend la dîme de Waremme au Châpitre Saint-Lambert de Liège et ajoute 135 bonniers de terre à sa seigneurie de Jeneffe.

Les revenus du curé (Hodeige)

En 1582, l’église de Hodeige possède 2 bonniers de terre qui rapportent 6 muids 7 setiers; le reste des revenus s’élève à 23 muids environ. Ils consistent en rentes, dont quelques-unes, étant litigieuses, ne se payent pas.

Les habitants dotent leur église (Hodeige)

En 1259, les fidèles de Hodeige dotent leur église de 9 bonniers de terre, qui doivent servir à l’usage du curé, ainsi que d’une rente annuelle de 4 muids d’épeautre. (Le bonnier étant calculé comme rapportant annuellement 3 muids, avec 9 bonniers, le curé aura donc un revenu annuel de 27 muids, plus 4 muids de rente annuelle, soit un total de 31 muids).

En outre, il percevra les oblations des fidèles et le « casuel » qui consiste dans la perception des droits d’étole à l’occasion de services religieux pour les défunts et les offrandes que l’on fait à l’occasion de la réception de certains sacrements ou d’autres cérémonies de l’Eglise.

Récolte de l’association « Terre » (Waremme – Remicourt – Fexhe-le-Haut-Clocher)

En 1965, une grande opération de collecte est organisée par l’association « Terre ». 30 camions quadrillent le canton de Waremme. 3 centres de chargement sont aménagés en gare de Waremme, de Fexhe-le-Haut-Clocher et de Remicourt.

Les camions qui parcourent le secteur dévolu à Remicourt sont mis à disposition par les firmes:

  • COLLIN
  • CORRIN
  • DELVENNE
  • GUFFENS
  • MEUNIER

L’association « Terre » (Oreye – Remicourt)

En (?), Monsieur FOLLON est délégué-animateur de l’association « Terre » à Oreye. Il recrute une équipe de bénévoles pour constituer un centre de collecte à Remicourt:

  • HALLEUX André
  • HERCKENS Jef
  • MARTINOW Charles
  • MOES Urbain
  • PETITJEAN Paul
  • PILET Charles
  • PIROTTE Joseph
  • RIHON André

Cette association récolte du papier, du métal, des vêtements et des objets divers, pour les vendre au profit des nécessiteux.

Le tumulus de Noville

En 1994, la Tombe de Noville, qui doit son nom à sa situation aux confins Nord du territoire de Noville, se dresse en bordure de la route « Tongres – Amay » dénommée « Chaussée des Romains » ou « Chaussée Verte », à son croisement avec la ligne de chemin de fer « Bruxelles – Liège ».

Elle est couverte d’arbres. Elle porte à son sommet la stèle funéraire de LESIEUR J.B.M., décédé en 1837. Suite à des enlèvements de terre, le Tumulus présente actuellement un plan quadrangulaire à sa base. Il a une hauteur de 7m50 et des axes de 31m sur 33m.

Fouille des tumulus n° 2 et n° 4 (Omal)

En 1850, SCHAYES A.-G.-B., conservateur au Musée Royal d’Armures et d’Antiquités de Bruxelles, fait fouiller les tumulus n° 2 et n° 4 à Omal.

Dans le tumulus n° 2, on trouve une couche de terre mêlée de charbon de bois et de cendres, et un caveau quadrangulaire renfermant quelques objets et débris (?).

Les fouilles du tumulus n° 4 sont interrompues, à la suite d’un éboulement.

Les tombes sous tumulus

Les tumulus sont des monticules de terre érigés au-dessus d’une sépulture parfois aménagée à la surface du sol ou, comme c’est presque toujours le cas en Hesbaye, creusée dans le sol.

En Belgique, les tumulus gallo-romains sont particulièrement nombreux sur le plateau hesbignons. Erigés durant le « Haut Empire » et en grande majorité au IIème siècle de notre ère, ils sont souvent implantés le long de routes et sur des hauteurs, pour être vus de loin. Ils sont l’expression matérielle du pouvoir social et économique détenu par les défunts qu’ils abritent, de riches propriétaires terriens dont l’habitation est souvent assez proche.

Beaucoup de ces tumulus ont été pillés. Des puits verticaux y ont souvent été creusés depuis le sommet, les marquant encore aujourd’hui d’une dépression en entonnoir.