La réparation des voiries coûte cher (Waremme)

Le 7 mars 1867, le Conseil Communal de Waremme constate, qu’en 1866, la voirie empierrée de la commune et les chemins de grande communication qui traversent son territoire, ont été fortement dégradés par:

  • le charroi des transports de briques nécessaires à la construction de la sucrerie « MOMMENS »;
  • par le transport des betteraves vers les sucreries de Waremme et des environs;
  • par le transport du charbon nécessaire au fonctionnement de ces entreprises .

 

La commune a supporté une augmentation des frais d’entretien des chemins empierrés et pavés de la commune pour un montant de 427,45 francs en 1865 et de 448, 63 francs en 1866. Cette augmentation étant causée par l’augmentation du charroi vers les sucreries de Waremme, le Conseil Communal décide de les taxer comme suit:

  • Sucrerie LAURENTY: 427, 45 francs pour 1865 et 348,63 francs pour 1866
  • Sucrerie MOMMENS: 100 francs pour 1866

Ces impositions prennent en considération les droits de péage payés par ces entreprises.

 

La commune a supporté une augmentation des frais d’entretien des chemins de grande communication traversant son territoire, pour un montant de 1.220,80 francs en 1865 et de 1.464,96 francs en 1866. Cette augmentation étant causée par l’augmentation du charroi vers les sucreries de la région, le Conseil Communal de Waremme décide de les taxer comme suit:

  • Sucrerie de Les Waleffes: 404 francs pour 1865 et 485 francs pour 1866
  • Sucrerie de Hollogne-sur-Geer: 816 francs pour 1865 et 980 francs pour 1866

Grand-Axhe doit nourrir les troupes

En 1682, les habitants de Grand-Axhe « acceptent » de cotiser afin de procurer des rations à des troupes françaises traversant le territoire du village. Une semaine plus tard, il en sera de même pour des troupes hollandaises.

François Jadoul, chartier (Petit-Axhe)

En 1763, JADOUL François est chartier sur le territoire de la paroisse de Petit-Axhe, à Waremme. Son épouse est LISMONDE Marie-Catherine, travaillante à journée.

 

 

Les tisserands de Longchamps (Waremme)

En 1763, il y a de nombreux tisserands sur le territoire de la paroisse de Longchamps, à Waremme:

  • LISMONDE Guillaume
  • PAGNA Bauduin
  • PAGNA Jacque-Joseph
  • PIRSON Arnold
  • SALME Nicolas
  • SALMON Antoine

Guillaume Lismonde, tisserand (Waremme – Longchamps)

En 1763, LISMONDE Guillaume est tisserand sur le territoire de la paroisse de Longchamps, à Waremme. Son épouse est PIRLET Marie.

Il habite avec:

  • LISMONDE Nicolas, son fils, tisserand sous son père, âgé de 22 ans

Le « Pays de Liège » français

Le 1er (10 ?) octobre 1795, un décret de la Convention française réunit le « Pays de Liège » et la Principauté de Stavelot-Malmedy à la France.

Il soumet les habitants de ces régions aux droits et devoirs des citoyens français. Il divise ces territoires en départements. Il supprime les lignes de douane.

La Belgique est divisée en 9 départements. Une nouvelle administration est mise en place. Elle fait table rase de tous les privilèges et franchises des villes et bourgs. Les seigneuries disparaissent et avec elles, les seigneurs, les mayeurs et les échevins de l’Ancien Régime.

Le Pays de Liège fait partie du département de l’Ourthe (divisé en 6 arrondissements judiciaires).

Embellissement de ronds-points (Waremme)

En mai 2016, la ville de Waremme rénove et embellit plusieurs ronds-points sur son territoire.

De nouvelles éoliennes (Berloz – Geer)

En décembre 2014, les sociétés « EDF – Luminus » et « Eneco » entament les travaux de construction de 7 éoliennes supplémentaires: 4 sur le territoire de Geer et 3 sur celui de Berloz.

Les installations ferroviaires sont gardées (Waremme – Allemagne)

Durant la Seconde Guerre Mondiale, en raison de la multiplication des actes de sabotage sur le territoire de Waremme, les Allemands décrètent que des hommes âgés de 18 à 50 ans doivent être réquisitionnés pour monter la garde, la nuit, afin de garantir la sécurité des installations ferroviaires.

La Belgique prise dans un étau (Allemagne)

Le 31 juillet 1914, l’ambassadeur de France à Bruxelles, KOBLUKOWSKI, effectue une démarche spontanée: les Français ne commettront pas le premier acte d’hostilité envers la Belgique, même si les troupes allemandes se concentrent sur la frontière. Mais ils reprendront leur liberté d’action s’il y a violation effective du territoire belge.