Une troisième explosion. Le centre est touché (Waremme)

Le 28 août 1944, à 18h15, une bombe percute le sol face à la Pharmacie « Gielen », à l’angle de la rue Zénobe Gramme et de la rue Joseph Wauters. Etant équipée d’un détonateur à retardement d’une dizaine de secondes, elle n’explose pas immédiatement. Elle rebondit le long de la rue Joseph Wauters, puis commence à tourbillonner au milieu de la chaussée. Elle glisse vers le trottoir, entre le Café « Aux Sports » et la Banque de Bruxelles.  Elle explose …

MARCEL Mottard, qui était dans la rue, est projeté dans la vitrine de l’ébéniste « LALLEMAND ». BERGER Léon, qui était sur la Place Albert 1er, est soulevé de terre et projeté la tête la première contre le soubassement en pierre du Monument aux Morts de 1914 – 1918. CLOOTS Gustave est soulevé de terre et retombe lourdement sur une bordure de trottoir. Le Café « Aux Sports » est dévasté.

Un aviateur anglais blessé (Waremme – Braives)

Le 12 mai 1940, le Hurricane de l’aviateur anglais, le sergent TOWNSEND Kenneth, est pris sous le feu de canons antiaériens allemands, au-dessus d’Omal. Un projectile atteint le réservoir principal. Le cockpit s’embrase. L’avion s’abat durement près du Carrefour Duchâteau à Braives. Gravement brûlé au visage et aux mains, le pilote souffre également de sérieuses blessures à la jambe, à la cheville et à la tête. Il reçoit les premiers soins dans un poste de secours installé à Lens-Saint-Remy. Ensuite, il sera successivement emmené à l’antenne médicale installée au Collège Saint-Louis, avenue Reine Astrid, à Waremme, à la Citadelle de Liège, à l’hôpital Saint-Laurent, dans des hôpitaux allemands et, enfin, dans un camp de prisonnier de guerre.

Mort de Marie de Jeneffe l’épouse du « Butor » (Jeneffe)

Le 30 novembre 1279, DE JENEFFE (?) Marie (Maroie ?) décède à (?). Elle était l’épouse du chevalier DE JENEFFE Libert, dit « Butor ».

Elle sera inhumée dans l’église de Jeneffe.

Sa dalle funéraire la représente vêtue d’une tunique sans ceinture, retombant en longs plis jusqu’aux pieds. Ses mains sont jointes en prière, présentées de 3/4 et non de profil. Un long manteau descend de ses épaules. Il est doublé de fourrure. La tête est couverte d’un voile qui descend jusqu’aux épaules.

La figure est placée sous un portique au dessin bien construit. Une arcade ogivale, qui s’inscrit dans un triangle équilatéral, repose sur deux colonnes engagées. L’intrados en est divisé en trois lobes, tandis que son extrados est chargé d’un gâble aux rampants ornés de crochets et se terminant par un fleuron.Le gâble est orné d’une rosace inscrivant un quadrilobe. Les rampants du gâble se terminent latéralement par un profil de retour, derrière lequel émergent de hauts pinacles.

L’inscription est gravée, entre deux filets pleins, en onciales, les mots séparés par des points. La gravure du texte est plus profonde que celle de la figure et du portique:

« LAN . DEL / INCARNATION . NOSTRE . SANGNOR . M . CC . LXXIX / II . KL . DE . DECEMB / RE . MORUT . DAME . MAROIE . DAME . DE . GENEFFE . FEMME . SANGNOR . BUTOR »

Georgette Jonckers accuse son fils et sa belle-fille (Waremme)

Fin février 2008, lors de son audition, JONCKERS Georgette accuse son fils, GILLOT Pascal, et sa belle-fille, VAN KESSEL Nathalie, d’avoir tué VANHAEREN Henri.

Elle déclare même que c’est son fils qui aurait placé l’oreiller sur la tête de son père.

Mort de Martin Freson (Waremme)

Le 21 septembre 1736, le jeune FRESON Martin, de Waremme, s’est cassé la tête en courant. Il décède sans avoir reçu les sacrements. Il est enterré dans le cloître du Couvent des Récollets.