En janvier 2009, la râperie de Hollogne-sur-Geer doit fermer ses portes.
Elle a été fondée en 1865 et est devenue trop vétuste. Elle est jugée trop « énergivore » par la Raffinerie Tirlemontoise qui l’exploite. Elle employait une quinzaine d’ouvriers permanents, qui seront recasés sur d’autres sites du groupe. Elle employait également une quarantaine de saisonniers. Les agriculteurs de la région devront parcourir plus de kilomètres pour décharger leur stock de betteraves.
En 1928, la sucrerie de Les Waleffes est absorbée par la sucrerie de Tirlemont.
En 1938, la Raffinerie Tirlemontoise prend une participation dans la Sucrerie Notre-Dame d’Oreye et participe à sa gestion.
Vers 1300, DE MOUMALE Wathy, dit « Le Bon Wafflar », devenu pauvre, malade et esseulé dans son château de Momalle, en cède l’avouerie à son petit-neveu, DE MOUMALE Wathy II, avant de se retirer dans l’ordre religieux des Frères Mineurs à Tirlemont, où il finira sa vie dans la pratique d’une grande dévotion.
Au printemps 1996, après 4 années d’immobilisme, la ville de Waremme prie la Raffinerie Tirlemontoise de respecter ses engagements et de présenter un programme d’assainissement du site désaffecté de l’ancienne râperie du Fond d’Or.
En 1989, la S.A. « Raffinerie Tirlemontoise » désire prendre des participations dans la Sucrerie « NAVEAU » de Hollogne-sur-Geer.
En septembre 1991, SUE Léon est administrateur-délégué de la S.A. « Raffinerie Tirlemontoise ».
Fin 1989, un accord est conclu entre la Holding « Raffinerie Tirlemontoise » et la « Südzuker » A.G., qui prend une participation de 75% dans la S.A. « Raffinerie Tirlemontoise », pour un montant de 32 milliards d’euros.
En mai 1987, la Raffinerie Tirlemontoise est introduite en Bourse de Bruxelles: 25% des actions dans le public et 75% dans le Holding « Raffinerie Tirlemontoise ».
En 1968, la Raffinerie Tirlemontoise confie à Hollogne-sur-Geer le traitement des Betteraves de Crisnée.