En 1763, MENU Jeanne est veuve de MASY Nicolas, de son vivant tisserand.
Elle habite à Waremme avec:
- MASY Jean-François, son fils, tisserand, âgé de 24 ans
En 1763, MENU Jeanne est veuve de MASY Nicolas, de son vivant tisserand.
Elle habite à Waremme avec:
En 1620, LE TECHEUR Cochoul est tisserand à Hemricourt.
En 1762, Remicourt est essentiellement agricole. Le village est composé de 39 maisons. Certaines sont groupées à proximité de l’église. D’autres s’échelonnent le long de l’Yerne, à proximité de château entouré de sa ferme et de son moulin. D’autres, enfin, en bordure du Chemin du Presbytère.
La population s’élève à 205 habitants. Les chefs de famille sont:
Sur la rive gauche de l’Yerne
Sur la rive droite de l’Yerne
En bordure de ce qui deviendra la rue du Village
Côté gauche de ce qui deviendra la rue du Haut-Vinave
Côté droit de ce qui deviendra la rue du Haut-Vinave
En bordure du chemin qui deviendra la rue du Presbytère
Le commerçants et artisans sont donc peu nombreux:
Le Seigneur de Remicourt ne réside pas au village.
En 1763, quelques métiers de Waremme:
Le 31 octobre 1896, un recensement de l’industrie est réalisé dans l’arrondissement de Waremme:
Le 15 octobre 1846, un recensement de l’industrie est réalisé dans l’arrondissement de Waremme:
En 1763, les professions exercées par les hommes sont les suivantes :
En 1763, les journaliers et journalières waremmiens sont 143. Ils représentent 41,5% des travailleurs. Lorsqu’on parle de journalier, on entend traditionnellement l’ouvrier agricole à qui on confie les petits emplois les moins bien payés. Mais à Waremme, il n’y a que 12 cultivateurs recensés, qui ne peuvent employer une telle quantité de main d’œuvre. En fait, le journalier est un ouvrier payé à la journée dans n’importe quel domaine, sans attache avec un employeur particulier. Souvent sans qualification, il est d’une grande mobilité professionnelle. La plus grande partie des journaliers travaillent à domicile, chez un autre journalier disposant d’un plus grand local ou même dans une sorte d’atelier public, mis à sa disposition par un fabricant. Les journaliers louent leurs services au gré des demandes et des saisons. Ces journaliers « travailleurs à domicile » n’exécutent que la fonction technique, la fonction économique reste l’apanage du marchand dont ils dépendent pour obtenir les matières premières et les commandes. Ils sont donc économiquement subordonnés à ce marchand.
Le 12 juin 1485, BRIGGART Cloes (membre de la Cour des Tenants) transporte (vend) à CONRART Jean (fils naturel de DE BORDE Conrart), une maison avec dépendances et appartenances, située à Waremme, ayant appartenu à DE ALKEN Cloes. Cette propriété jouxte du bas à celle de GAYELIER Jean, du haut à celle de RIGAILHE Ernult et vers le Brabant au marché de Waremme.
La transaction s’effectue devant la Cour des Tenants de Waremme, composée de:
Le 4 janvier 1484, JOANNES Henri transporte (vend) à CIEYME Jean, tisserand demeurant à Waremme, une maison avec cour, jardin et assise, située à Waremme au lieu nommé « devant le hammede ». Ledit CIEYME Jean la rétrocède à FIRTOJUS Jean, prêtre, fils de GAYELIER Jean.
La transaction s’effectue devant la Cour des Tenants de Waremme, composée de:
Le 11 juin 1411, la cour des héritiers de Waremme donne en héritage à Henri, fils de dame Hehry de Waremme, la maison avec une pièce de terre, ayant appartenu à Liber Sureal, se trouvant en le Crompe Straye à Waremme. Le curé de Waremme THOMAS Jean a apposé son sceau.
La Cour des héritiers est composée de: