Jean Pagnard, couvreur (Fize-le-Marsal)

Vers 1790, PAGNARD Jean est couvreur en paille (poseur de chaume sur le toit des habitations et des granges) à Fizele-Marsal.

Un toit de hangar s’effondre (Faimes)

Le 12 janvier 2025, le toit du hangar, qui abrite le foin destiné à nourrir les animaux de l’ASBL « Animal Sans Toit » à Faimes, s’affaisse sous le poids de la neige. Le président de l’ASBL est RENARD Fabrice.

La foudre à Longchamps

Le 23 juillet 1899, à 10h du soir, la foudre s’abat sur un coin du toit de la ferme de Longchamps. Elle arrache une soixantaine d’ardoises, mais les dégâts sont limités.

Travaux à l’église (Jeneffe)

En 1963, le toit de l’église de Jeneffe est réparé.

Le toit de la salle du TTC Bovenistier s’envole

Vers 1975 (?), par grand vent, la toiture de la salle du club de tennis de table « TTC Bovenistier », attenante au « Café des Sports » du village, s’envole, rendant le local inutilisable.Le club doit s’expatrier dans la salle des fêtes de l’ancienne école moyenne, à Waremme.

Description de la Tour-Colombier (Omal)

En 1932, le Bulletin de la Société d’Art et d’Histoire du Diocèse de Liège publie une description de la Tour-Colombier d’Omal.

 » … Couvrant un rectangle de 7,28 mètres de large, sur une profondeur de 7,67 mètres, elle présente sa façade au N-E. Sa hauteur maximale est de 13 mètres.

Sur un soubassement en moellons de calcaire, haut de 2 mètres, au-dessus duquel court un cordon de même matière, s’élèvent les murs en briques se terminant, à la façade antérieure et à la partie postérieure en pignon dépassant le niveau du toit à deux versants, recouvert de tuiles.

Les murs latéraux ont été élevés avec une inclinaison visible à l’oeil, ce qui a eu pour résultat de leur conférer plus de résistance.

Les angles du bâtiment, du côté de la grand-route, sont garnis sur toute leur hauteur d’un chaînage en calcaire; les deux autres angles ne sont pourvus d’un chaînage analogue que sur leur moitié inférieure.

C’est de calcaire aussi que sont formés l’encadrement de la porte en plein cintre, ceux des fenêtres et les quatre meurtrières percées dans les murailles.

Les rampants des deux pignons montrent un dispositif très caractéristique: les joints des briques sont perpendiculaires à l’inclinaison de ces rampants.

De petits arcs de décharge , en briques, surmontent les linteaux des fenêtres, tandis qu’un double cintre, également en briques, suit la voussure en pierre de la porte.

Ces détails constructifs concourent à la parure de la maçonnerie et sont complétés par des ancrages décoratifs en fer, dont quatre dans le mur longeant la route, forment la date « 1625 ».

Dans la façade, est encastrée une dalle de calcaire portant les armoiries des époux MOLLIN et MENJOYE qui firent édifier le bâtiment.

La porte s’ouvre à une certaine hauteur dans le soubassement. Le seuil se trouve à 1m20 du sol (Le talus, supportant quelques blocs de grès en guise de marches qui y donnent accès, a été établi par après. A l’origine, on devait y parvenir par une sorte d’échelle que l’on pouvait retirer en cas de nécessité).

La porte est composée de planches garnies d’une petite moulure, clouées sur des barres. Ces planches ne sont pas d’égale largeur: les deux planches qui se trouvent au milieu mesurent 11 cm, tandis que de part et d’autre, sont des planches de 24 cm. Cette porte est pendue sur deux pentures en fer forgé, attachées vers l’intérieur. La pièce où elle débouche occupe toute la surface du bâtiment.

Le mur de refend (mur intérieur de séparation), qui s’y voit, a été élevé à une époque plus récente pour supporter les poutres du plafond, qui menaçaient de s’écrouler. Ces poutres, au nombre de quatre, sont posées sur angle, de manière à soutenir les voussettes en briques.

Au fond de la pièce, à l’opposite de la porte, le vaste manteau de cheminée porte sur des pilastres en briques, surmontés d’une tablette en calcaire. On a, postérieurement, éventré le contre-coeur de l’âtre, pour donner ouverture à la gueule d’un four qui a été construit en appendice.

A droite de la porte, un escalier à vis en bois, fort délabré, conduisait à l’étage et se se continuait jusqu’au grenier, dont le plancher s’est effondré et qu’éclairaient deux oculus en briques, aujourd’hui bouchés. Les murs à l’intérieur du dernier niveau sont percés de trente alvéoles pour protéger les pigeons.

Les deux autres pièces prenaient jour chacune par quatre petites fenêtres du type courant dans les constructions liégeoises de l’époque.

Les murs sont, au rez-de-chaussée, percés de quatre meurtrières, dont deux commandaient la grand-route et deux le chemin latéral. Leur présence et le fait que la porte n’était point directement accessible, de même que l’existence aux fenêtres de barreaux de fer garnis de pointes, de volets (qui ont d’ailleurs disparus), donnent à penser que cette construction constituait un refuge établi en vue de résister à un coup de main.

Au cours des guerres du XVIIe siècle, les villageois devaient pouvoir se protéger contre les tentatives de bandes de maraudeurs ou de pillards, soldats licenciés ou mal payés, malandrins en tout genre, que les armées traînaient à leur suite. Le bâtiment se présente sous l’aspect d’une petite forteresse destinée à être utilisée lors du passage de ces bandits. … »

Inauguration du « Pôle Ballons » (Waremme)

Le 23 novembre 2017, l’infrastructure provinciale « Pôle Ballons » est inaugurée au n° 67 de la Chaussée Romaine à Waremme. Elle jouxte le terrain de football, entouré de la piste d’athlétisme. Un petit-déjeuner est offert à environ 200 personnes. Ensuite, 240 enfants des écoles primaires de la ville sont invités à s’initier au Volley-Ball. Des ateliers techniques et une conférence-débat complètent cette journée. Durant le premier week-end, 42 matches de jeunes seront organisés et les équipes A de basket-ball et de Volley-ball s’y produiront également.

D’une superficie de plus de 2.000 m2 de surfaces sportives, disponibles au même moment, elle abrite un ensemble de terrains de basket-ball et de volley-ball, dans un grand hall et un petit hall, de sorte que plusieurs équipes peuvent s’entraîner en même temps. Elle est également dotée d’une salle de musculation de 220 m2 et de 8 vestiaires modernes. Elle dispose également d’une cafétaria panoramique sur les terrains. Elle peut accueillir 500 spectateurs. Elle est équipée d’un éclairage « Led » performant et 450 m2 de panneaux solaires photovoltaïques sont disposés sur le toit.

C’est un outil majeur de formation, qui offre des perspectives d’entraînement idéales pour les élèves du « Sport Etudes » (L’IPES propose 5 sections de Sport Etudes: Volley-Ball, Basket-Ball, Football, Athlétisme et Natation). Outre les élèves du « Sport Etudes », le Pôle Ballons accueille également les équipes sportives de l’ « ABC Waremme » en basket et du « VBC Waremme » en Volley (dont le président est PERIN Vincent)

Les travaux ont duré un an et ont coûté un peu plus de 5 millions d’euros.

MEUREAU Robert est le Député Provincial en charge des sports.

Réparation de l’école (Celles)

Le 1er décembre 1827, le Conseil Municipal de Celles décide de remplacer (réparer ?) le toit en paille de l’école. Le coût des travaux est estimé à 3.864 florins.

La chapelle Notre-Dame (Saives)

Le 25 septembre 1643, lors d’une visite, il est constaté que la chapelle « Notre-Dame » de Saives est dans un piteux état. Les murs, les toits et le pavement doivent être réparés. Toutes ces dégradations sont dues à la pluie.

Le toit de l’église (Remicourt)

En 1977, le conseil communal de Remicourt décide de faire réparer la toiture de l’église du village, pour un montant de 2.236.463 francs.