La ferme en carré de Les Waleffes

En 1981, la ferme en carré du hameau de Remikette est située à l’Ouest du village de Les Waleffes. Elle dessine un vaste quadrilatère datant en majeure partie du 18ème siècle et jouxtant une petite ferme accolée à un manoir.

Les bâtiments de brique et pierre calcaire sur soubassement de moellons, qui entourent la grande cour semi-pavée, sont couverts de bâtières de tuiles et de tôle ondulée.

L’entrée est prévue au Sud-Est par un portail en anse de panier à claveaux passants un sur deux, surmonté par un œil-de-bœuf.

Côté cour, un simple rouleau de briques, reposant sur des piédroits harpés, forme l’arc. Une bâtière de tuiles sur frise de briques dentées et des pignons débordants marquent le volume du porche.

Un deuxième porche situé dans l’axe du premier, et tout-à-fait semblable, s’ouvre vers les prairies à l’arrière de la ferme.

Occupant le côté du quadrilatère, l’imposante grange en double-large a fait l’objet d’importantes modifications, la toiture a totalement disparu et a été remplacée par de la tôle ondulée. Une porcherie récente est greffée sur son extrémité orientale.

Deux portes charretières, en arc surbaissé et claveaux passants un sur deux, donnent accès à la grange. Des étables en occupent une partie, ouvertes par trois portes à linteau déprimé qui alternent avec des petites fenêtres rectangulaires. Une pierre armoriée (abbesse DE WARNANT Isabelle, 1718), qui ornait la grange a été déplacée et encastrée à gauche du porche d’entrée.

Le logis faisant face à la grange domine l’ensemble des bâtiments par son volume légèrement plus élevé. De deux niveaux et demi sur cave, il est divisé en trois travées formant double-corps et couvert d’une bâtière de tuiles à coyau sur frise de briques dentées et en goutte, percée de deux lucarnes à croupes plus récentes. La porte à baie d’imposte rectangulaire et meneau (?) est surmontée d’une pierre armoriée (abbesse DE BOILEAU Lutgarde, 1733) et encadrée de larges baies à linteau droit. Le deuxième niveau est éclairé par trois fenêtres à meneau protégées par des barreaux. Une petite fenêtre à jambages chaînés s’ajoute à droite.

Accolée à la façade extérieure de ce logis, une imposante habitation du 19ème siècle et ses dépendances font saillie en dehors du quadrilatère.

Les nombreuses étables, couvertes de plafonds plats et de fenils, sont percées de portes à linteau déprimé et clé passante sur queue de pierres, de fenêtres à jambages chaînés et de baies gerbières rectangulaires.

Une belle écurie, couverte de voûtes en briques sur colonnes cannelées en pierre bleue, voisine avec un chartil (transformé en garage) et forme l’angle Sud de l’ensemble.

Enfin, à droite du porche d’entrée, des étables récentes, construites à front de route, nuisent à l’aspect extérieur du quadrilatère.

Travaux à la ferme en carré de Saives

Dans le courant de l’An VII, les toits d’ardoises de la ferme en carré de la Seigneurie de Saives, sont percés de toute part au point que la pluie retombe dans la grange, dans les fenils et sur les planchers.

Les travaux de restauration des toitures sont effectués par le maître-couvreur JAMOTTE F., pour la somme de 149 livres.

Le toit de la salle du TTC Bovenistier s’envole

Vers 1975 (?), par grand vent, la toiture de la salle du club de tennis de table « TTC Bovenistier », attenante au « Café des Sports » du village, s’envole, rendant le local inutilisable.Le club doit s’expatrier dans la salle des fêtes de l’ancienne école moyenne, à Waremme.

Agrandissement du château (Bleret)

Vers 1900 (?), une tour, coiffée d’une toiture surmontée d’un bulbe, est construite au château de Bleret, dit « La Pommeraie ». (Peut-être en remplacement d’une tour plus ancienne).

Chauffage central à l’administration communale (Crisnée)

Le 18 octobre 1972, la décision est prise de placer un chauffage central dans les locaux de l’administration communale de Crisnée. Les travaux seront effectués par UITDENBROECK, d’Oreye, pour la somme de 181.027 francs.

Des travaux complémentaires de menuiserie, de peinture et d’électricité, ainsi que quelques réparations à la toiture coûteront 123.266 francs.

La toiture de l’école (Crisnée)

En 1953, la commune de Crisnée remplace la toiture en ardoises de l’école du village et la remplace par une toiture en tuiles « Potelberg ».

Réparation du toit de l’église (Crisnée)

En 1957, la toiture et les corniches de l’église de Crisnée sont réparées par VAES Nicolas, pour un prix de 40.747 francs.

Réparation du toit de l’église (Crisnée)

En 1955, la toiture de l’église de Crisnée est réparée par l’entrepreneur de Bressoux LAUREYNS Henri, pour un prix de 32.270 francs.

Réparation de la toiture de l’église (Crisnée)

Vers 1960, des réparations sont effectuées à la toiture de l’église de Crisnée, d’après un projet de l’architecte ZILLES Lambert. Ces réparations coûtent 201.235 francs.

Réparation de la toiture de l’église (Crisnée)

Vers 1930, une importante restauration de la toiture de l’église de Crisnée est réalisée par le couvreur français PIET René. Pendant les travaux, il loge « Amon l’vî Markâ ».