Vers 1985 (?), le château de Limont, qui est resté longtemps inoccupé, héberge un centre pour anciens toxicomanes. (Il sera ensuite acquis par la S.A. « Espace Plantain », en assez mauvais état).
Le 24 janvier 2005, le ministre de l’intérieur, DEWAEL Patrick, annonce qu’il prolonge les contrats concernant le « Plan Drogue » avec 29 communes. Sur le subside total de 1.260.000 euros, Waremme recevra 41.646 euros.
Ce « Plan Drogue » vient compléter le service « Génération Assuétudes », géré par VANDORMAEL Luc. Ce service gère les dossiers d’une centaine de toxicomanes de Waremme et des environs.
Le 25 avril 2002, la ville de Waremme vise la transparence et s’engage contre la drogue. Le bourgmestre de Waremme, CHABOT jacques, annonce le lancement du programme destiné à mettre fin aux conduites violentes de certains jeunes et au fléau de la toxicomanie qui hante la cité hesbignonne depuis quelque temps. Ce programme préventif et d’information est le résultat d’une collaboration entre les écoles, les parents, les élèves, les services sociaux associés au plan drogue et la nouvelle police.
Le 22 février 2002, la commune et le CPAS de Waremme invitent les différents acteurs sociaux de la ville à une table ronde, afin de promouvoir une approche préventive de la lutte contre la toxicomanie.
En 1999, la police de Waremme recense une cinquantaine de toxicomanes dans la commune. Au début des années nonante, ils étaient plus de 300.
Début 1993, un Centre d’Aide aux Toxicomanes est mis sur pied à Waremme. Madame BAVCEVIC y est toxicothérapeute.