Mort de Sophie Buntinx (Corswarem – Berloz)

Le 23 décembre 2024, vers 19h30, BUNTINX Sophie, de Berloz, décède à Corswarem à l’âge de 39 ans. Son mari veuf est VAN MULLEM Vincent. Elle était native de Liège. Son urne funéraire sera déposée au columbarium du cimetière de Berloz.

Sa voiture est percutée par un train au passage à niveau situé rue de la Station à Corswarem. Elle est éjectée de la voiture. Il s’agit peut-être d’un suicide (?); elle a laissé un mot à son mari. Elle était mère de 2 enfants. Elle était passionnée de chevaux et d’équitation.

Mort de Marie-Hélène Wertz (Fexhe-le-Haut-Clocher)

Le 11 mai 1940, WERTZ Marie-Hélène, dite « Maria », décède à l’âge de 71 ans, entre sa fille et son beau-fils, dans le mitraillage d’un train de réfugiés, à Fexhe-le-Haut-Clocher. Elle était veuve de HAGELSTEIN Joseph. Elle est enterrée le jour même à Waremme.

Accident de chemin de fer (Groenendael)

Le 3 février 1889, un terrible accident de chemin de fer se produit à Groenendael. Le train déraille et un pont s’écroule sur le convoi. Il y a de 50 à 60 victimes.

Visite de Paul Janson à Waremme

Le 3 mai 1891, JANSON Paul vient à Waremme par le train, pour y donner une conférence sur le suffrage universel, à l’invitation de la Jeune Garde Libérale de Waremme, en la salle de la Centrale, devant une foule énorme (de 1.100/1.200 personnes).

Il participe ensuite à un diner avec 22 autres convives, au coin de la rue de la Station.

Evacuation des pensionnaires de l’hospice (Remicourt – France)

En 1940, à la déclaration de guerre, les pensionnaires de l’hospice Jules Mélotte, à Remicourt, sont évacués et dirigés en train vers Arcachon où MELOTTE Alfred possède un domaine.

Déraillement à Remicourt

En octobre 1900, un train de marchandises déraille en gare de Remicourt et sème l’émoi dans le quartier.

Une chaudière pour le Baron (Waremme – Liège)

Le 29 août 1882, le Baron DE SELYS-LONGCHAMPS se fait envoyer à Waremme, par chemin de fer, une chaudière en fonte, 46 tuyaux de fonte, une chaise, des paniers, …, pour un poids total de 3300 kilos, de la société d’horticulteurs « L. JACOB-MAKOY & Cie » de Liège.

Les ouvriers waremmiens

Vers 1895 (?), les ouvriers de la région de Waremme qui travaillent dans les centres industriels et les charbonnages du bassin liégeois, se lèvent à 3h30 ou à 4h du matin, font à pied les 5 ou 7 kilomètres qui les séparent d’une gare. Certains ont la chance d’attendre le convoi dans un vieux wagon qui peut servir d’abri à une vingtaine de personnes (il y a 300 abonnés dans la région). Lorsqu’ils montent dans le train, ils s’efforcent d’y récupérer 1/4 h de sommeil.

Ils portent généralement les vêtements de la veille, qui n’ont pu être ni brossés, ni séchés, de semaines en semaines. Leur casquette devient de plus en plus loqueteuse et luisante. Lors des grands froids, ils portent une écharpe sur leur costume de velours roux ou de coton chiffonné.

Les ouvriers ne peuvent se payer le train (Waremme – Liège)

Jusqu’en 1869, il n’est pas possible pour un ouvrier waremmien de faire quotidiennement les trajets de Waremme à Liège, vu le prix du ticket. En effet, le trajet aller-retour coûte 2 francs, soit le salaire de 2 journées de travail sans nourriture. C’est pourquoi il n’utilise que très rarement ce moyen de transport.

Le train « des spectacles » (Waremme – Liège)

A partir de 1957, un train, dit « des spectacles », démarre de Liège à minuit cinq pour rejoindre Waremme.