Paix entre le Prince-Evêque et les de Lamarck

Le 5 mai 1492, le Comte DE CORSWAREM Raes Ier et ses frères DE CORSWAREM Jacques et DE CORSWAREM Jean font partie des 80 membres de l’Etat Noble de la Principauté de Liège qui approuvent la Paix conclue entre le Prince-Evêque DE HORNES Jean et les DE LAMARCK.

Négociations entre la Principauté et les émigrés liégeois

Le 12 septembre 1458, DE CORSWAREM Arnould VI et son frère DE CORSWAREM Walter font partie de la délégation des lignages de la Principauté de Liège, chargée de conclure la Paix avec les émigrés liégeois, soutenus par le Roi de France LOUIS XI.

Ratification de la Paix des Douze Lignages

En 1354, le traité, dit « Paix des Douze », qui a mis fin à la Guerre des Awans et des Waroux, est ratifié par l’Empereur CHARLES IV.

La « Paix de Fexhe » (Liège)

Datée du 18 juin 1316, c’est l’une des plus importantes « Paix » liégeoises. En effet, elle énonce, parmi d’autres, trois grands principes qui formeront jusqu’en 1795 les bases du droit public liégeois :

– Les franchises et anciens usages des villes et du commun pays doivent être maintenus : née de l’usage, la coutume ne peut en principe être modifiée que par l’usage ; issues d’un accord entre le Prince qui les concède et les groupes sociaux qui en bénéficient, les franchises ne peuvent être abolies qu’avec l’aveu des deux parties contractantes.

– Chacun doit être jugé conformément à la loi, « par jugement des échevins et des hommes » : les Liégeois sont assujettis à la seule juridiction des tribunaux coutumiers. Il ne peut y avoir de tribunaux d’exception, émanation de la « justice retenue » du Prince.

– Si la loi et la coutume étaient trouvées « trop larges, trop raides ou trop étroites », elles pourraient être réformées par le Sens du Pays : le droit, même coutumier, peut être révisé par accord entre le Prince, le chapitre de Saint-Lambert (Etat primaire), les chevaliers (aux temps modernes l’Etat noble) et les mandataires des Bonnes Villes (Etat tiers).

Le document émane de l’Evêque DE LA MARCK Adolphe; l’Eglise est représentée par le Chapitre Cathédral de Saint-Lambert, la noblesse et les instances dirigeantes communales des villes de Liège, Huy, Dinant, Saint-Trond, Tongres, Maastricht, Fosses, Couvin et Thuin. Les signataires s’engagent en leur nom, au nom de leurs officiers, tout comme au nom de leurs successeurs.

Par ce texte, la Principauté de Liège se distingue institutionnellement des autres principautés territoriales. Cette « Constitution » dote la Principauté d’un « Sens du pays » formé du chapitre cathédral, des chevaliers, des bourgeois de Liège et des autres bonnes villes. Le « Sens du pays » règle toutes les affaires importantes de la Principauté. Il détient le pouvoir législatif, à l’exercice duquel le prince ne participe qu’en donnant mandement exécutif aux décisions des trois Etats. La dépendance politique du prince, par rapport au « commun Conseil du pays » fait de la Principauté de Liège un véritable Etat représentatif. De plus, la Confédération germanique ne dispose d’aucun droit d’intervention sur la constitution intérieure de la Principauté.

L’acte entérine le maintien des franchises et des « anciens usages » des villes et du « commun pays ». Il confie au Sens du Pays, c’est-à-dire à l’assemblée des trois Etats (Eglise, Noblesse et villes dotées de franchises) le pouvoir législatif. Hormis les cas relevant de la haute justice de l’Evêque, il garantit à tout un chacun d’être jugé selon les lois et les coutumes, par une instance habilitée à le faire, le tribunal des échevins notamment.

Ce texte est considéré comme un facteur fondateur de la conscience et de l’identité collective liégeoise.

Fin de la Guerre « russo-japonaise »

Le 5 septembre 1905, grâce à la médiation du président américain ROOSEVELT Théodore, le « Traité de Portsmouth » met fin à la « Guerre russo-japonaise ». La Russie cède Port-Arthur et une partie de l’île de Sakhaline au Japon.

Fin de la Guerre des Boers (Grande-Bretagne – Afrique du Sud)

Le 31 mai 1902, la signature de la « Paix de Vereeniging » marque la fin de la « Guerre des Boers » et consacre la souvereineté britannique.

François 1er et Charles Quint font la paix (France – Espagne)

roi françois 1er

roi françois 1er

Le 18 septembre 1544, le Roi FRANCOIS 1er et CHARLES QUINT signent un accord de paix à Crépy-en-Laonnais.

charles quint

charles quint

Bauduin de Monjardin mène des actions militaires pour le Prince-Evêque de Liège (Waremme)

En 1396, le châtelain de Waremme, DE MONTJARDIN Bauduin, se voit confier la mission de guerroyer contre l’armée de l’Archevêque de Cologne. En compagnie de DE PERWEZ Henri, il ravage les postes avancés des frontières de l’électorat allemand. Cette action est menée avec une telle énergie que l’Archevêque DE COLOGNE Frédéric, inquiet de l’allure que prennent les événements, sollicite une trêve auprès du Prince-Evêque de Liège, DE BAVIERE Jean. Cette trêve sera suivie du traité de la « Paix de Caster ». Le Châtelain de Waremme assumera par la suite d’autres missions difficiles.

jean de bavière prince-évêque de liège

jean de bavière prince-évêque de liège