Le 30 août 1944, la dépouille du dentiste LAMBERT Charly, décédé lors du bombardement de la ville, est ramenée dans la grande salle du Collège Saint-Louis de Waremme.
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Le corps de Léon Berger chez sa maman (Waremme)
Le 29 août 1944, vers 20 heures, la dépouille de BERGER Léon est transportée de la clinique Notre-Dame, située rue Joseph Wauters à Waremme, au domicile de sa mère, GIHOUSSE Marie, au n° 45 de la rue Hubert Stiernet.
L’ARFEG au travail (Waremme)
Le 29 août 1944, les jeunes volontaires de « l’Aide et Reconstruction des Foyers Eprouvés par la Guerre » (ARFEG) transportent les meubles, objets de valeur, vêtements, vaisselle, … retirés des décombres des maisons touchées par le bombardement, à l’aide de charrettes à bras, dans l’ancienne centrale électrique de la rue Sous-le-Château.
Tous ces volontaires portent un brassard d’identification.
Les funérailles d’Eugénie Baltazar (Grand-Axhe)
Le 30 août 1944, à 10 heures, la dépouille de BALTAZAR Eugénie est ramenée du Collège Saint-Louis de Waremme, situé avenue Reine Astrid à Waremme, à Grand-Axhe.
Ses funérailles sont célébrées en l’église Saint-Denis de Grand-Axhe, par le curé de la paroisse, l’abbé COLLINS Julien. Elle est ensuite inhumée dans le cimetière du village.
Funérailles de victimes du bombardement (Waremme)
Le 30 août 1944, à 10h45, dix cercueils de victimes du bombardement sont amenés sur des chariots du Collège Saint-Louis à l’église Saint-Pierre de Waremme. Les scouts les transportent à la croisée du transept.
La cérémonie est célébrée par le doyen AANDEKERK Guillaume, assisté de l’abbé RIGO Marcel, curé de la paroisse de Longchamps et du vicaire BRANDT Léonard.
A l’issue de celle-ci, les cercueils sont transportés au cimetière de la ville, par la rue Hubert Stiernet et la rue du Pont. Ils sont suivis par un interminable cortège. Chaque cercueil est dirigé vers la sépulture familiale. Certains, comme celui de BIERNA Henri, sont placés dans un caveau provisoire (celui-ci sera exhumé en 1945).
Des blessés transportés à Liège (Waremme)
Le 28 août 1944, après le bombardement de Waremme, le docteur BOURMANNE Louis décide de faire transporter LANGE Félix et MOTTARD Marcel, atteints d’éclats aux yeux, chez l’ophtalmologue WEEKERS, à la clinique Sainte-Rosalie à Liège.
C’est PEETERMANS Willy qui les emmènera dans son camion. Pour cela, il obtiendra un laisser-passer, signé par le stabsfeldwebel de Waremme, UNFRIED Paul.
LANGE Félix perdra l’usage de l’oeil droit et MOTTARD Marcel restera définitivement aveugle.
Mort d’Eugénie Balthazar (Grand-Axhe – Waremme)
Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe tombée à l’arrière de la maison de GASPAR Léon, à Grand-Axhe, et la découverte de BALTAZAR Eugénie dans les décombres, PEETERMANS Willy arrive de Waremme avec son camion. Malgré le peu de chance de survie de la victime, on décide de la transporter à Waremme. Elle décède durant ce transport.
Paul Evrard, blessé (Waremme)
Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe, rue Joseph Wauters, devant le Café « Aux Sports », l’instituteur EVRARD Paul est transporté inconscient sur un brancard. Ses vêtements sont déchirés. Il a une profonde blessure à la tête. Du sang coagulé lui macule le visage.
Léon Berger, gravement blessé (Waremme)
Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe, rue Joseph Wauters, devant le Café « Aux Sports », BERGER Léon est étendu le long du parterre de fleurs qui entoure le Monument aux Morts de 1914 – 1918, de la Place du Roi Albert 1er. Son visage est tourné vers le ciel. Il est immobile, le yeux mi-clos. Une mare de sang se répand sous sa tête. Il respire faiblement.
BRONCKAERS Marcel et VRANKEN Marie-Louise le conduisent chez le docteur HONLET, rue Joseph Wauters. Tout le matériel du médecin étant brisé, il conseille de la transporter à la Clinique Notre-Dame, toute proche.
Il faut aussi secourir Grand-Axhe (Waremme)
Le 28 août 1944, après le bombardement de Waremme, MUSCHART Marie-Louise envoie PROESMANS Jean chez PEETERMANS Willy pour que ce dernier se rende à Grand-Axhe avec son camion, car il y aurait des victimes à transporter.