Albert Leburton, apprenti-cimentier (Oreye)

Vers 1926, LEBURTON Albert, dit « Boldje », d’Oreye, commence à travailler chez ORY Joseph, comme apprenti-cimentier.

Félicien Lucas, phosphatier (Lamine – Momalle – Allemagne)

En 1944, LUCAS Félicien travaille à l’extraction de phosphate, entre Lamine et Momalle, pour échapper au travail obligatoire en Allemagne.

Rénovation de l’église (Celles)

En 1584, de nombreux corps de métiers travaillent à la rénovation de la tour carrée de l’église Sainte-Madelberte de Celles.

Des ouvriers travaillent hors de leur commune (Waremme)

En 1896, 50% des ouvriers de l’arrondissement de Waremme travaillent dans une autre commune que celle où ils habitent.

Victoire Tombeur travaille chez le notaire (Waremme)

En (?), TOMBEUR Victoire travaille pour le Notaire SENY Léon, de Waremme. Elle y travaillera de nombreuses années.

Florent Pressia, manutentionnaire (Lantremange – Remicourt)

En janvier 1945, PRESSIA Florent de Lantremange, travaille à la gare de Remicourt, lieu de transit pour les armes et les munitions qui arrivent du port d’Anvers.

Il décharge les lourdes caisses des wagons de chemin de fer et les recharge sur des camions GMC de l’armée américaine. Pour ce travail, il est payé 1000 francs par semaine.

Le ferme Bernard (Momalle)

En septembre 1944, la ferme BERNARD est installée rue des Béguines, à Momalle. GOREUX Joseph y travaille.

Des Spadois à Waremme

En 1918, les Allemands déportent à Waremme des ouvriers et employés spadois des chemins de fer vicinaux ont décidé de cesser le travail. Ils disposent d’un immeuble, rue de Sélys-Longchamps, à côté de la Siroperie LAMBERT. Cet immeuble est appelé « L’Auberge Spadoise ».

Ferdinand Gilet, chez Fremal (Waremme)

Au début du 20ème siècle, GILET Ferdinand travaille chez le fabricant de cigarettes FREMAL, à Waremme.

Antoine Boeker, Résistant (Momalle – Hesbaye)

Le 16 mars 1943, BOEKER Antoine, de Momalle, est convoqué au bureau de la Werbestelle, à Huy. Il est déclaré apte au Travail Obligatoire et est affecté à la région de Cologne.

Il descendra en cachette du train qui doit l’y emmener et entrera dans la clandestinité. Il prendra le pseudonyme de « Constant » et deviendra le chauffeur de DERWA Arthur.