Victoire Tombeur travaille chez le notaire (Waremme)

En (?), TOMBEUR Victoire travaille pour le Notaire SENY Léon, de Waremme. Elle y travaillera de nombreuses années.

Florent Pressia, manutentionnaire (Lantremange – Remicourt)

En janvier 1945, PRESSIA Florent de Lantremange, travaille à la gare de Remicourt, lieu de transit pour les armes et les munitions qui arrivent du port d’Anvers.

Il décharge les lourdes caisses des wagons de chemin de fer et les recharge sur des camions GMC de l’armée américaine. Pour ce travail, il est payé 1000 francs par semaine.

Le ferme Bernard (Momalle)

En septembre 1944, la ferme BERNARD est installée rue des Béguines, à Momalle. GOREUX Joseph y travaille.

Des Spadois à Waremme

En 1918, les Allemands déportent à Waremme des ouvriers et employés spadois des chemins de fer vicinaux ont décidé de cesser le travail. Ils disposent d’un immeuble, rue de Sélys-Longchamps, à côté de la Siroperie LAMBERT. Cet immeuble est appelé « L’Auberge Spadoise ».

Ferdinand Gilet, chez Fremal (Waremme)

Au début du 20ème siècle, GILET Ferdinand travaille chez le fabricant de cigarettes FREMAL, à Waremme.

Antoine Boeker, Résistant (Momalle – Hesbaye)

Le 16 mars 1943, BOEKER Antoine, de Momalle, est convoqué au bureau de la Werbestelle, à Huy. Il est déclaré apte au Travail Obligatoire et est affecté à la région de Cologne.

Il descendra en cachette du train qui doit l’y emmener et entrera dans la clandestinité. Il prendra le pseudonyme de « Constant » et deviendra le chauffeur de DERWA Arthur.

Jules Driesmans au Secours d’Hiver (Momalle)

En 1942, DRIESMANS Jules est occupé au « Service d’Hiver », à la commune de Momalle.

Félix Lucas à la sucrerie (Lamine – Oreye – Allemagne)

En 1942, LUCAS Félix, de Lamine, travaille à la sucrerie d’Oreye. En plus des rations alimentaires de sucre qu’il reçoit, il dispose d’un certificat de la direction de l’usine qui lui permet d’échapper au Service de Travail Obligatoire (STO) en Allemagne. Il épousera VANDERBEMDEN Irma.

Les Allemands veulent inciter les chômeurs à se rendre en Allemagne (Hesbaye)

travail en allemagne

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En 1941, les Allemands tentent d’amadouer les chômeurs esbignons pour qu’ils acceptent de travailler volontairement en Allemagne. Ils leur promettent des mesures sociales et une indemnité de 750 francs (une fortune !).

Plus tard, vu le manque de succès de ce volontariat, les chômeurs seront obligés de partir travailler en Allemagne.

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Marie Putzeys au Pensionnat (Waremme)

En juillet 1909, PUTZEYS Marie travaille au pensionnat des Religieuses, à Waremme. (Sa cousine est HALLET Léonie)