Jules Driesmans au Secours d’Hiver (Momalle)

En 1942, DRIESMANS Jules est occupé au « Service d’Hiver », à la commune de Momalle.

Félix Lucas à la sucrerie (Lamine – Oreye – Allemagne)

En 1942, LUCAS Félix, de Lamine, travaille à la sucrerie d’Oreye. En plus des rations alimentaires de sucre qu’il reçoit, il dispose d’un certificat de la direction de l’usine qui lui permet d’échapper au Service de Travail Obligatoire (STO) en Allemagne. Il épousera VANDERBEMDEN Irma.

Les Allemands veulent inciter les chômeurs à se rendre en Allemagne (Hesbaye)

travail en allemagne

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En 1941, les Allemands tentent d’amadouer les chômeurs esbignons pour qu’ils acceptent de travailler volontairement en Allemagne. Ils leur promettent des mesures sociales et une indemnité de 750 francs (une fortune !).

Plus tard, vu le manque de succès de ce volontariat, les chômeurs seront obligés de partir travailler en Allemagne.

travail en allemagne

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Marie Putzeys au Pensionnat (Waremme)

En juillet 1909, PUTZEYS Marie travaille au pensionnat des Religieuses, à Waremme. (Sa cousine est HALLET Léonie)

Les femmes de la FN en grève (Herstal)

Le 16 février 1966, plus de 3.000 ouvrières de la Fabrique Nationale d’armes, de Herstal, décident d’arrêter spontanément le travail. Elles font grève pour dénoncer l’inégalité salariale entre les femmes et les hommes, avec le slogan « A travail égal, salaire égal ».

Réduction du temps de travail (France)

pierre mauroy

pierre mauroy

Le 13 janvier 1982, le gouvernement de MAUROY Pierre réduit la durée du temps hebdomadaire de travail à 39 heures, en France.

Jules Polard, travailleur forcé (Waremme – Allemagne)

En 1943, POLARD Jules habite au n° 13 de la rue Champanette à Waremme. Il est conduit en Allemagne, pour travailler dans une usine d’armement, près de Hanovre.

Il faut mettre les biens des sinistrés à l’abri (Waremme)

Le 28 août 1944, après le bombardement de Waremme, les jeunes de la section locale de l’Aide et Reconstruction des Foyers Eprouvés par la Guerre (ARFEG) travaillent sous la surveillance de WEBER Jean-Baptiste.

Il décide d’entreposer les meubles et les objets de valeur, des immeubles touchés par les explosions, dans les locaux de l’ancienne centrale électrique. En raison de la tombée de la nuit, ce travail sera surtout effectué le lendemain.

En attendant, des gardes-champêtres et des gendarmes surveillent la zone sinistrée.

Le sauvetage de Dédée Joirquin (Waremme)

Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe à l’arrière de la maison de l’électricien PUTZEYS Louis (immeuble dans lequel se trouve également l’atelier de couture PERQUI), rue Gustave Renier à Waremme, JOIRQUIN Charles appelle sa fille, JOIRQUIN Dédée, sur les ruines de la maison. Après un moment, elle lui répond. Sa voix est faible. Il se faufile par le soupirail de la maison voisine, celle de l’architecte GONTHIER, pour accéder à la maison « PUTZEYS » par les caves. Mais la tâche s’avère compliquée, car la cave contiguë est partiellement effondrée et le plafond est incliné à 45°.

DELVELLE Fernand, ainsi qu’un « feldgrau » allemand le rejoignent. Le travail est difficile et épuisant. MOES Céléste, qui a travaillé dans des puits de phosphate, vient leur prêter main-forte. Il comprend qu’il faut étançonner le tunnel au fur et à mesure que l’on avance. Durant les travaux, le jeune fille répond aux appels, mais sa voix est de plus en plus faible. Aucune autre ne voix ne se fait entendre. A l’extérieur, les gendarmes DELVIGNE Louis et PIRLOT Firmin sécurisent les lieux.

D’autres secouristes viennent aider ceux qui sont déjà à l’oeuvre: DEGROOT Félix, DELVAUX Oscar et MAHIELS Joseph, dit « Li Vê ». Tous trois ont été mineurs. Ils parviennent à percer le mur mitoyen. Le plafond de la cave « PUTZEYS » est effondré. Les sauveteurs progressent lentement. Enfin, ils aperçoivent des vêtements. Ils arrivent près de la jeune fille.

En plus des débris de plâtras et de briques qui la recouvrent, elle est bloquée par une grosse solive. Les hommes entreprennent de la scier. JOIRQUIN Dédée s’évanouit à plusieurs reprises. Ils parviennent à la dégager et à la ramener dans la cave « GONTHIER ». Ils la sortent par le soupirail.

Son père, JOIRQUIN Charles, et le tailleur BRASSINE Roger l’emmènent sur une civière à la clinique Joseph Wauters. Le docteur EVRARD constate qu’elle n’est pas gravement touchée. La solive l’a protégée !

Albert Héraly, prisonnier (Waremme – Allemagne)

En novembre 1940, HERALY Albert est prisonnier au Stalag IX C à Lager-Bezeichnung, en Allemagne. Son numéro de prisonnier est le 40.234. Il travaille dans une ferme.

Ses parents habitent au n° 3 de la rue Zénobe Gramme à Waremme.