En 1912, ARNOLIS Jean travaille (?) au Collège Saint-Louis de Waremme. Il y reçoit du courrier.
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Quelques mots sur l’Histoire de Waremme
En juillet 1864, DE LAFONTAINE Léonce adresse à DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond un exemplaire de son travail « Quelques mots sur l’histoire de Waremme », par un élève du Collège Saint-Servais de Liège.
L’ouvrage a été imprimé par MOUREAU Albert. de Waremme.
Une école socialiste à Waremme
En juin 1912, la Fédération Socialiste de l’arrondissement de Waremme décide de fonder un Ecole Socialiste pour préparer les luttes futures par la connaissance des doctrines socialistes. Elle est à mi-chemin entre le Cercle d’Etudes Sociales et l’Extension Universitaire.
Elle donne des leçons sur les sujets suivants:
- Rapports entre le Capital et le Travail
- L’histoire du mouvement syndical
- Le socialisme agraire
- La lutte des classes
Patrick Etienne, dans de beaux draps (Waremme)
En juillet 2014, ETIENNE Patrick est le responsable du magasin « Planet Literie », situé au n° 174 de la Chaussée Romaine à Waremme. Il travaille dans la literie depuis 25 ans.
L’ASBL « Agence Locale pour l’Emploi » (Waremme)
En 2010, le siège de l’ASBL « Agence Locale pour l’Emploi » (ALE) est situé au n° 4 de la Place du Marché à Waremme.
Elle a pour but d’aider, principalement les chômeurs de longue durée, mais également les bénéficiaires d’allocations du CPAS, à renouer avec le monde du travail et à obtenir un complément de revenu à leurs allocations en réalisant des petits travaux et services à la population.
Le comité est composé de:
- VANDORMAEL Luc, président
- HANNOSSET Florent, secrétaire
- Madame THOMAS M., responsable
Léon Miévis commence à travailler (Lantremange)
En 1929, MIEVIS Léon, âgé de 13 ans, débute dans la vie professionnelle à la briqueterie de Lantremange.
Saint-Benoit rédige sa « Règle »
En 529, SAINT-BENOIT rédige sa « Règle », l’ensemble des instructions destinées aux communautés de moines. Il fixe le temps imparti à la prière et au travail. Il insiste sur l’obéissance et la nécessité d’étudier.
Cette règle va poser les bases de la vie monacale dans le monde chrétien tout entier.
Daniel François et Alain Michelet au Tribunal (Waremme – Liège)
Le 15 novembre 2013, la 8ème chambre du Tribunal Correctionnel de Liège examine le dossier à charge de FRANCOIS Daniel, chef de corps de la zone de police de Hesbaye, et de son adjoint, le commissaire MICHELET Alain, poursuivis pour faux en écritures, harcèlement, traitement dégradant et pour avoir involontairement causé la mort de KOCH Sandra. KOCH Sandra, agent de quartier au sein de la zone de police de Hesbaye, a tué sa fille et tenté de tuer son fils le 11 novembre 2011, avant de mettre fin à ses jours un an plus tard. Lors de ses interrogatoires, elle a affirmé avoir subi des pressions de la part de ses supérieurs.
L’audience est très suivie, la salle est comble et les journalistes sont en nombre. Les trois magistrats sont des femmes. L’instruction d’audience est menée par le juge DECOQ Isabelle. Le commissaire MICHELET cache son visage devant les caméras et l’avocat de FRANCOIS Daniel demande que celui de son client soit « flouté » dans les médias. Une dizaine de témoins ont été convoqués par le Ministère Public, mais tout le dossier ne sera pas abordé lors de cette première audience. Parmi les témoins convoqués, COEME Guy, ancien bourgmestre de Waremme et ancien président de la zone de police de Hesbaye, et GOFFIN Philippe, bourgmestre de Crisnée, où KOCH Sandra a travaillé, quelques jours avant le drame. Le mari de KOCH Sandra se constitue partie civile en son nom personnel et au nom de son fils. FRANCOIS Daniel est toujours en incapacité de travail.
Le Tribunal examine la procédure d’évaluation de KOCH Sandra, qui s’est soldée par une note négative. Cette procédure a-t-elle été respectée ? Le Tribunal constate qu’il n’y a pas eu d’objectifs fixés et qu’il n’y a pas eu d’entretien préalable avec KOCH Sandra. Son évaluateur, MICHELET Alain, lui a reproché de trop verbaliser et de le faire à mauvais escient. L’avocat de la défense précise qu’elle a, notamment, dressé 34 « PV » en 24 jours de travail. MICHELET Alain précise qu’il n’était pas possible de « discuter » avec KOCH Sandra.
Le responsable des agents de quartier a signalé des retards dans le travail de KOCH Sandra. En fait, elle a été en arrêt maladie durant 5 mois, à la suite d’une rupture des ligaments qui a nécessité de la plâtrer. MICHELET Alain déclare que c’est un peu dommage de prendre autant de temps pour une entorse. FRANCOIS Daniel ajoute que, pendant cette période d’arrêt de maladie, elle s’est rendue en vacances sur la Côte d’Azur. La Présidente du Tribunal remarque qu’elle avait l’autorisation des médecins de sortir de son domicile et de partir en vacances. FRANCOIS Daniel a enquêté pour savoir si la caravane de KOCH Sandra a été louée avant ou après son accident de travail. MICHELET Alain déclare que la voir se promener en ville avec ses enfants, pendant que les autres travaillent, a entraîné une tension énorme. FRANCOIS Daniel et COEME Guy ont parlé du « Cas Sandra Koch » à la buvette du stade de football et COEME Guy aurait déclaré qu’il ne voulait plus voir KOCH Sandra à Waremme.
Le 17 octobre 2011, MICHELET Alain remet à KOCH Sandra un document qui conclut à une évaluation négative, motivée par une problématique d’ambulance ! Pour mémoire, KOCH Sandra avait reçu une évaluation positive en 2010, établie par un autre évaluateur. FRANCOIS Daniel déclare que KOCH Sandra méritait cette évaluation négative, mais « qu’on » voulait lui donner une seconde chance. C’est pour cela qu’il l’a mutée à Crisnée et que le Collège de Police a entériné sa décision. Il a exposé aux deux bourgmestres les raisons qui ont motivé MICHELET Alain à conclure la procédure par une évaluation négative.
La veille du drame, KOCH Sandra a appris qu’elle devrait effectuer 3 prestations de garde, sur les 4 des fêtes de fin d’année, ce qui l’a dépitée. FRANCOIS Daniel précise qu’il manquait de personnel à ces dates, mais que personnellement, il n’ l’avait désignée que pour une de ces prestations et qu’il n’était pas au courant pour les deux autres.
La première journée d’audience se termine. Les autres témoins seront entendus le 7 février 2014. La prochaine séance est fixée à vendredi prochain.
Les ouvriers sont longtemps absents (Waremme)
Vers 1905, les ouvriers de la région de Waremme sont absents de leur domicile, une moyenne de 14 heures à 18 heures par jour, pour leur travail.

