En décembre 2011, TIHON Dany et DRUGMAND Didier travaillent chez Hexapoda à Longchamps – Petit-Axhe (Waremme).
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Madame Renkin (Jeneffe)
Vers 1950 (?), Madame RENKIN travaille à la ferme DANS à Jeneffe.
Bagarre à Hodeige
En 1759, lors de la fête paroissiale à Hodeige (à la Saint-André, patron de l’église), une rixe éclate entre jeunes gens. L’un d’eux est blessé « à sang coulant » et sera empêché de travailler plusieurs jours. Les proches de la victime s’adresseront au curé de la paroisse, l’abbé VILLEGIA, pour trouver une juste compensation.
Des volontaires civils à Remicourt
En 1945, des habitants de Remicourt travaillent comme « volontaires civils » dans les entrepôts américains installés près du village:
- BLEUS Alphonse
- BLEUS José
- SAAL Nicolas
- SALLES Victor
- WARNOTTE Alphonse
- WARNOTTE Marcel
- WARNOTTE Paschal (père)
Un calvaire pour le chœur (Remicourt)
Le 17 septembre 1921, profitant de la présence des échafaudages des peintres qui travaillent dans l’église, le curé de Remicourt installe un calvaire dans le choeur. Il a été offert par quelques familles du village.
Restauration des orgues (Remicourt – Tongres)
Le 27 juin 1921, HUBERT P. et WESTPHALEN R., de Tongres, réparent les orgues, vétustes, de l’église de Remicourt. La pension et le logement des ouvriers qui effectuent le travail sont pris en charge par les familles HALLEUX et GRUTMAN. Le coût de l’opération sera de 850 francs pour 8 jours.
Modification des fermes (Waremme – Hesbaye)
Au 20ème siècle, l’évolution constante de la mécanisation aboutit à une transformation radicale de la structure des fermes dans le canton de Waremme. Les bâtiments anciens voient leurs installations transformées:
- l’emploi du tracteur entraîne la suppression d’écuries;
- l’emploi de la moissonneuse-batteuse qui effectue rapidement un travail qui, autrefois, durait tout l’hiver, favorise la reconversion de granges en étables.
Les ouvriers waremmiens
Vers 1895 (?), les ouvriers de la région de Waremme qui travaillent dans les centres industriels et les charbonnages du bassin liégeois, se lèvent à 3h30 ou à 4h du matin, font à pied les 5 ou 7 kilomètres qui les séparent d’une gare. Certains ont la chance d’attendre le convoi dans un vieux wagon qui peut servir d’abri à une vingtaine de personnes (il y a 300 abonnés dans la région). Lorsqu’ils montent dans le train, ils s’efforcent d’y récupérer 1/4 h de sommeil.
Ils portent généralement les vêtements de la veille, qui n’ont pu être ni brossés, ni séchés, de semaines en semaines. Leur casquette devient de plus en plus loqueteuse et luisante. Lors des grands froids, ils portent une écharpe sur leur costume de velours roux ou de coton chiffonné.
L’Horeca (Waremme)
En 1947, 24 personnes travaillent dans le secteur des hôtels – restaurants – cafés, à Waremme.
L’agriculture et l’élevage (Waremme)
En décembre 1947, 77 hommes et 13 femmes travaillent dans le secteur de l’agriculture et de l’élevage, à Waremme.