Les Récollets, Ordre Mendiant (Waremme)

Aux 17ème et 18ème siècles, les Pères Récollets de Waremme, qui appartiennent à la classe des Ordres Mendiants, ne peuvent posséder au plus que:

  • un local pour les abriter;
  • une bibliothèque pour les instruire;
  • un four;
  • une brasserie;
  • un moulin;
  • un jardin pour les nourrir et leur fournir une certaine somme de travail manuel;
  • une église pour leurs offices;
  • un cimetière pour y reposer.

En dehors de cela, rien ! Aucune terre, aucune rente, avec l’obligation de mendier leur pain quotidien, en se fiant à la Providence.

A Waremme, quand chaque semaine ou chaque mois, ils parcourent les rues, les pieds nus, avec besace au dos, demandant humblement leur pain, jamais cette besace ne revient vide.

Mort d’Angeline Tillard (Crisnée)

En 1934, TILLARD Angeline décède à Crisnée, à l’âge de 52 ans. Son mari veuf est BENOIT Jules (qui travaille à la râperie ?).

Jean Arnolis (Waremme)

En décembre 1915, ARNOLIS Jean travaille (?) au Collège Saint-Louis de Waremme.

Remise pour matériel et abri des ouvriers (Crisnée)

Le 18 septembre 1979, pour remiser et mettre à l’abri le matériel de voirie (tracteur, grue, camion, faucheuse, épandeur, …) et offrir aux ouvriers communaux un local où ils pourront travailler en cas de mauvais temps, le conseil communal de Crisnée décide de faire construire, à l’emplacement de l’ancien jardin de l’école du village, un garage dont les plans sont réalisés par l’architecte ZILLES Lambert de Kemexhe.

Le devis s’élève à 705.925 francs pour la maçonnerie et à 603.455 francs pour la couverture, la zinguerie et les portes métalliques.

Monument aux combattants (Crisnée)

Le 20 mai 1976, le conseil communal de Crisnée décide de placer un monument sur la concession réservée aux combattants, dans le nouveau cimetière du village. Le travail sera effectué par BACUS, d’Oreye.

Il faut curer les rigoles et fossés (Crisnée)

Le 30 septembre 1920, le conseil communal de Crisnée demande à la râperie de Fexhe que ses ouvriers, préposés à la surveillance de l’écoulement des eaux de lavage des betteraves, continuent leur travail de curage des rigoles et fossés, depuis Kemexhe, jusqu’au-delà du territoire de Crisnée.

La commune emploie des chômeurs (Crisnée)

Le 6 mars 1915, vu le grand nombre d’ouvriers sans travail, le conseil communal de Crisnée décide d’employer tous les chômeurs à des travaux d’assainissement et d’amélioration de la voirie, au salaire de 2 francs la journée de travail de 10 heures, qui sera réglé chaque dimanche. Ce travail achevé, les chômeurs devront extraire, concasser, transporter du silex pour empierrer un chemin de terre. Ces chômeurs sont de 20 à 30.

Prévention des inondations à Crisnée

Le 1er juillet 1910, le conseil communal de Crisnée décide de faire creuser des rigoles pour prévenir le retour de l’inondation des maisons situées dans le fond longeant le Chemin de Lowaige, et en Sart. La clôture entre les divers propriétaires riverains se fera au moyen de fils de fer, disposés sur 3 rangées. Le travail sera effectué par le cantonnier du village.

Pas de remise pour Jacques Bolland (Crisnée)

Le 30 novembre 1907, le conseil communal de Crisnée décide qu’il n’y a pas lieu de faire, à BOLLAND Jacques, une remise de son imposition communale de 1907, car si un poulain de 2 ans ne figure pas au rôle, c’est qu’il ne travaille pas, tandis que celui du réclamant a fait, seul, en 1906, tous les travaux des champs.

Des habitants travaillent pour les Américains (Crisnée)

Pendant l’hiver 1944 – 1945, un groupe d’habitants de Crisnée travaille pour les Américains:

  • DENOMERENGE Pierre
  • HANAY Pierre
  • LEDUC Louis
  • RAYMACKERS Sylvain

Ils chargent des caisses de munition s sur des camions, à destination du front.