Le 11 juillet 1942, l’aviateur natif de Lantremange, KINET Joseph, quitte clandestinement la Belgique pour rejoindre l’Angleterre. Mais il sera d’abord arrêté et interné en France quelques jours plus tard. Il traversera la ligne de démarcation et les Pyrénées. Il sera encore interné en Espagne, au sinistre camp de Miranda (il y restera jusqu’au 19 avril 1943), avant de s’embarquer au port d’Algésiras.
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Il y a peu de résistance à Waremme
Le 12 mai 1940, vers huit heures du matin, des motocyclistes et des fantassins allemands traversent Waremme, en rang par trois, entrecoupés, de temps à autre, par un autre véhicule motorisé ou tiré par des chevaux. Dans la rue Joseph Wauters, une rafale éclate, tirée vers le bas de l’avenue Reine Astrid. Une autre rafale est tirée vers la gare.
Pris au piège par la progression foudroyante de l’ennemi, de nombreux soldats qui ont passé la nuit chez l’habitant, sont faits prisonniers et sont rassemblés dans la rue Joseph Wauters, avant d’être emmenés en colonne, vers Oreye et Tongres.
Lindbergh franchit l’Atlantique (Etats-Unis)
Un Zeppelin traverse l’Atlantique (Allemagne – Etats-Unis)
Des troupes allemandes transitent par Waremme
Le 18 août 1914, tôt dans la matinée, des troupes allemandes défilent dans Waremme. Cela va durer toute la journée.
Des soldats des deux camps passent à Waremme
Entre le 9 août et le 15 août 1914, pendant quelques jours, des soldats des deux camps vont passer par Waremme.
Le Titanic appareille (Grande-Bretagne)
Gustave Renier, malade (Waremme – Afrique – France)
En juin 1894, le lieutenant waremmien, RENIER Gustave Ferdinand, contracte une hématurie, lors de la traversée qui le ramène d’Afrique. Il doit être soigné à Marseille.
La bataille de Neerwinden
Le 28 juillet 1693, à la veille de la bataille de Neerwinden, l’avant-garde de l’armée française traverse Waremme. Les officiers de LOUIS XIV, dont le Maréchal DE JOYEUSE, Monsieur DE LUXEMBOURG, Monsieur DE CHARTRES, le Prince DE CONTI, Monsieur DE SAINT-SIMON, utilisent comme observatoire, pour apercevoir les troupes ennemies dont le camp se trouve en deçà de la Gette, un moulin à vent qui s’élève dans l’actuelle rue des Champs, à peu près en face de la Plate-Tombe.
Ce moulin était très ancien. Il portait autrefois le nom de moulin de l’Evêque. Son existence est déjà mentionnée dans un texte de 1348. (Il sera détruit peu avant 1889).
Cette bataille ponctue une guerre de 9 ans. La moitié de l’Europe est liguée contre le Roi de France LOUIS XIV, dont l’armée est commandée par le Maréchal DE LUXEMBOURG. Une partie des toupes françaises passe à Berloz et à Corswarem, de part et d’autre du « Moulin Blanc ». La route est difficile, il y a des orages violents. Les soldats de LOUIS XIV et surtout les « piotes » (c’est-à-dire ceux qui sont à pied) sont harassés par la marche et la fatigue. Ce n’est que le lendemain, vers 4h15 du matin, qu’ils seront en mesure d’attaquer et de défaire les armées alliées, conduites par D’ORANGE Guillaume.