Les habitations de Waremme

En 1841, il y a 300 habitations à Waremme, réparties comme suit:

  • ville proprement dite: 202
  • Longchamps: 50
  • Petit-Axhe: 20
  • Hartenge: 13
  • Mouhin: 12
  • Froidbise:1
  • Saint-Eloi: 1
  • Walkin: 1

Elles sont pour la plupart construites en pierre et briques, à l’exception de quelques-une en bois et en argile. Elles sont couvertes d’ardoises ou de tuiles, mais quelques-unes  le sont de paille.

Entretien de l’église (Bergilers – Oreye)

En juillet 2019, l’entrepreneur de Bergilers (Oreye), NIHON Christophe, aidé de deux de ses ouvriers, nettoie à ses frais les corniches bouchées de l’église du village et remplace les tuiles endommagées. L’édifice est fermé depuis une vingtaine d’années.

Les Toitures Jean Hayen (Remicourt)

En mars 2022 et mai 2024, l’entreprise de toiture « HAYEN Jean » est installée à Remicourt:

  • tuiles, ardoises,
  • toitures plates
  • travaux d’isolation
  • carports
  • pavillons de jardin

Découverte d’une villa romaine (Waremme)

En juin 1836, à l’occasion de la construction du chemin de fer, les vestiges d’anciennes constructions romaines (gauloises ?) en pierre de marne, cimentées de chaux et recouvertes d’énormes tuiles plates à rebord de 4 doigts d’épaisseur, sont mises au jour à Waremme.

Les Toitures Hesbignonnes (Geer)

En mars 2014, PERET Serge exploite l’entreprise « Toitures Hesbignonnes », au n° 16 de la rue du Baulet à Geer:

  • Ardoises, tuiles, Eternit, roofing
  • Plastification de corniches
  • Zinguerie
  • Recouvrement de pignons
  • Charpentes
  • Placement de Vélux

La SPRL Abri-Toit Herck (Waremme)

En décembre 2013, l’entreprise de travaux de toitures, la SPRL « Abri-Toit HERCK » est installée au n° 29 C de la rue Joseph Noville à Waremme:

  • Tuiles, ardoises, zingueries
  • Charpentes
  • Bardage de pignons
  • Dépannages

Le mur du potager du château (Longchamps)

Le 29 avril 1881, des tuiles sont placées sur le mur du potager du château de Longchamps.

Hodeige en 1903

En 1903, Hodeige en Hesbaye est une commune de la Province de Liège, bornée au Nord par Grandville et Lens-sur-Geer, au Nord-Est par Fize-le-Marsal, à l’Est par Momalle, au Sud par Lamine et à l’Ouest par Pousset. Elle est à un quart de lieue de Lamine, une demi lieue de Lens-sur-Geer et Momalle, à une lieu de Waremme et à quatre lieues de Liège.

Hodeige fait partie de l’arrondissement administratif de Waremme, de l’arrondissement judiciaire de Liège, du canton de justice de Paix de Waremme, du 45ème canton de milice, du district militaire de Seraing, du canton militaire de Waremme. Le bureau de Poste desservant Hodeige est Remicourt. La paroisse relève (et a toujours relevé) de l’Evêché de Liège. Hodeige est traversé par l’Yerne, affluent du Geer, dont la source est à Yernawe, près de Saint-Georges.

Hodeige comprend 142 habitations, construites pour la plupart en briques et pierres, quelques-unes en bois et en argile, couvertes en tuiles ou en ardoises. On y cultive froment, seigle, orge, betteraves, pommes de terre, fourrage, légumes et fruits. On y élève chevaux, vaches, moutons et porcs.

Sa superficie est de 425 hectares 70 ares. Il y a une tombe romaine (tumulus) aux confins de Hodeige et de Fize-le-Marsal. Il y a une école mixte avec instituteur et sous-instituteur. L’église est dédiée à Saint-André apôtre, ancienne paroissiale, filiale de celle de Lamine, puis auxiliaire, et enfin succursale en 1842. Cette église, de style gothique, est rangée dans la 3ème classe des édifices monumentaux du culte.

La ferme d’Otrange

En 1981, au Nord de l’imposant château d’Otrange du 18ème siècle, principalement de Style Mosan, toujours entouré de douves, et lui faisant face dans un très beau site de prairies boisées traversées par le Geer, se trouve une vaste ferme en U, en brique et calcaire, sur soubassement en moellons, couverte de bâtières de tuiles. Datant du 17ème siècle, la plupart de ses bâtiments ont été remaniés (essentiellement au 19ème siècle).

L’aile Est de cet ensemble comprend le logis, le porche non saillant et des étables qui se prolongent dans l’aile centrale.

L’aile Ouest est réservée à la grange.

L’accès à la cour semi-pavée se fait à l’Est par le porche formé d’un arc en anse de panier, doublé d’un rouleau de brique, sur piédroits chaînés et protégé par des chasse-roues. Ce porche est couvert d’un plafond plat en bois. Il jouxte le logis en L, dont la partie la plus courte déborde de l’alignement de l’ensemble des bâtiments et baigne dans les douves du château. Un beau pignon débordant à épis, portant la date de 1646, forme l’angle de ce logis d’un niveau et demi. Il est divisé en cinq travées et éclairé de larges baies rectangulaires, probablement percées au 19ème siècle.

Les étables, couvertes de plafonds plats en bois, sont percées de portes à linteau droit avec un arc de décharge en brique sur piédroits chaînés, alternant avec des fenêtres du même type. Elles sont surmontées de fenils, s’ouvrant par des baies gerbières cintrées sur piédroits harpés, cantonnées de petites ouvertures à linteau droit. A l’origine, la bâtière de tuiles devait être débordante vers la cour et reposait sur des jambes de force en bois prenant appui sur des consoles de pierre encore visibles.

Un pigeonnier couvert d’une bâtière de tuiles s’élève au-dessus du volume constitué par l’aile centrale du U. Il porte la date de 1830, qui s’applique certainement à diverses transformations effectuées aux percements de cette partie.

La grange en double-large s’ouvre vers la cour par deux portails protégés d’un auvent de tuiles prolongeant la bâtière et reposant sur des jambes de force en bois. Le portail gauche a été transformé; celui de droite est en plein cintre, doublé d’un rouleau de brique sur piédroits harpés. Des percements récents altèrent légèrement l’aspect de cette grange, dont l’intérieur a été réaménagé pour l’élevage des vaches laitières. Deux annexes couvertes de tuiles s’y appuient. La plus vaste était peut-être utilisée comme manège à battre le grain.

Un appentis de tuiles sur piliers de brique est adossé au revers des étables de l’aile droite, servant de remise à matériel.

En dehors du quadrilatère, face au logis, un petit bâtiment, aujourd’hui transformé en garage, aux pignons débordants à épis, abritait probablement le four à pain.