Photographie du Baron (Waremme – Belgique)

Le 5 août 1893, DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond se fait photographier en uniforme chez GERUZET, pour la collection des Constituants.

L’uniforme de l’Agrément de la Pédale (Waremme)

En (?), l’uniforme des membres du club cycliste « Le Royal Agrément de la Pédale », de Waremme, est taillé dans un tissu de flanelle grise, est composé d’une veste à col officier à poil bleu foncé garni de 2 lyres et munie de 4 poches à soufflet à patte boutonnée, d’un pantalon cavalier, aux pieds, de bas tricotés serrés sous les genoux, de souliers plats appelés « molières ». Un képi à la française à visière noire entourée d’un bandeau bleu portant en son milieu un insigne représentant une roue de vélo, complète la tenue.

Fusion des Sans Souci (Waremme)

En 1959, le groupe folklorique waremmien « Les Sans Souci » fusionne avec le Comité des Fêtes du Quartier de la Porte de Liège et devient « Les Sans Souci de la Porte de Liège ».

Ses membres sont vêtus d’une blouse blanche avec un col rouge, d’un pantalon rouge avec des grelots et d’une ceinture verte. Un shako blanc à fond rouge et des bottes blanches complètent le costume aux couleurs de Waremme.

Ils se réunissent au café « Au Berry ».

Un uniforme pour les musiciens (Oreye)

En 1967, l’Harmonie Sainte-Cécile d’Oreye offre un uniforme à ses musiciens, grâce à l’argent récolté à l’occasion de bals organisés dans les communes voisines.

Des armes au cimetière (Viemme)

En juin 1944, des armes et des munitions de la Résistance sont cachées dans un tombeau, au cimetière de Viemme ; ainsi que 450 salopettes en jute grise, destinées à vêtir les hommes d’un semblant d’uniforme.

Des mannequins parachutistes (Hesbaye – Liège – Allemagne)

Le 10 mai 1940, les Allemands parachutent des mannequins de paille, revêtus d’un semblant d’uniforme, sur la région liégeoise et sur la Hesbaye, pour simuler des opérations aéroportées et perturber les défenses belges.

Confrontation des Commissaires (Waremme)

Le 7 septembre 1944, l’ancien commissaire de police, HARDY Camille, en place avant le conflit, arrive à l’Hôtel de Ville de Waremme, en grand uniforme et bardé de ses décorations. Il s’en prend à son remplaçant, le commissaire PETERS Lucien, en hurlant à la foule: « Le Commissaire, c’est moi ! Celui-là, c’est un imposteur, un traitre qui a été le valet des Boches. Voilà ce que je fais de ceux qui ont trahi la Patrie … » Il lui arrache les insignes qu’il porte sur son uniforme et lui retire sa mitraillette, sous les applaudissements et les huées de la foule.

HARDY Camille accuse le bourgmestre, JOACHIM Guillaume, d’avoir procédé à son remplacement.

Pour calmer la situation, le représentant de l’Armée Secrète (A.S.), NELIS Gaston, conseille à PETERS Lucien de rentrer chez lui.

« Mettez en Cage Otarie ! » (Waremme – Les Waleffes)

Le 2 septembre 1944, au soir, le Résistant Waremmien RENSON René entend de message à la BBC: « Mettez en Cage Otarie ». C’est le signal pour les membres de l’Armée Secrète du Secteur IV de la Zone IV, de rejoindre, dès le lendemain, le refuge situé à la « Ferme BEGUIN », attenante au château de Les-Waleffes et de se préparer à entrer en action.

Il y seront équipés et armés. Ils y seront également habillés. En effet, pour montrer à l’adversaire qu’ils sont bien des soldats, et non des partisans, ils revêtiront une salopette en jute, avec l’écusson tricolore sur la manche.

Les mobilisés à la gare (Waremme)

Le 1er août 1914, au matin, les mobilisés de Waremme prennent le chemin de la gare, revêtus de leur uniforme. La plupart sont accompagnés de leurs proches.

En ce début de mois d’août, 101 hommes sont mobilisés à Waremme.

Création de « L’Agrément de la Pédale » (Waremme)

Le 20 juillet 1899, le club vélocipédique neutre « L’Agrément de la Pédale » est créé à Waremme, par des musiciens amateurs de vélo, dont:

  • BOURMANNE S.
  • CHARLIER Michel
  • DEBUISSON A.
  • HEYNE L.
  • LEONARD V.
  • NINANE J.
  • YANS A.
  • YANS L.

Il a pour but d’organiser des excursions et des fêtes cyclistes. Ses membres adoptent un uniforme rappelant celui des chasseurs alpins.

La fanfare répète la musique et les mouvements d’ensemble. Ses réunions se tiennent au café de CHARLIER Michel, à Longchamps.