Salle pour l’instituteur (Jeneffe)

Le 29 août 1911, la salle communale de Jeneffe est aménagée pour l’usage de l’instituteur du village.

Les habitants dotent leur église (Hodeige)

En 1259, les fidèles de Hodeige dotent leur église de 9 bonniers de terre, qui doivent servir à l’usage du curé, ainsi que d’une rente annuelle de 4 muids d’épeautre. (Le bonnier étant calculé comme rapportant annuellement 3 muids, avec 9 bonniers, le curé aura donc un revenu annuel de 27 muids, plus 4 muids de rente annuelle, soit un total de 31 muids).

En outre, il percevra les oblations des fidèles et le « casuel » qui consiste dans la perception des droits d’étole à l’occasion de services religieux pour les défunts et les offrandes que l’on fait à l’occasion de la réception de certains sacrements ou d’autres cérémonies de l’Eglise.

Augmentation de productivité (Hesbaye)

A partir de 1880, l’agriculture connait une véritable révolution en Hesbaye grâce à l’emploi intensif d’engrais artificiels de grande valeur, favorisant la productivité.

Modification des fermes (Waremme – Hesbaye)

Au 20ème siècle, l’évolution constante de la mécanisation aboutit à une transformation radicale de la structure des fermes dans le canton de Waremme. Les bâtiments anciens voient leurs installations transformées:

  • l’emploi du tracteur entraîne la suppression d’écuries;
  • l’emploi de la moissonneuse-batteuse qui effectue rapidement un travail qui, autrefois, durait tout l’hiver, favorise la reconversion de granges en étables.

Crisnée doit participer aux frais de Fize-le-Marsal

Le 13 septembre 1324, LI BLAVENIES Renier et HANOTIAS Jean, mambours de l’église et de la paroisse de Fize-le-Marsal, demandent à l’archidiacre de Liège de convaincre les habitants de la paroisse de Crisnée, filiale de celle de Fize-le-Marsal, de payer leur quote-part dans les frais de réparation de la tour et des murs de l’église de Fize-le-Marsal, puisque tel est l’usage.

Le sceau scabinal de Thys

En 1652, le sceau scabinal, dont use la cour de justice de Thys, représente Saint-Pierre et Saint-Paul, patrons de la paroisse.

Le poinçon de le Principauté (Liège – Waremme)

En 1774, le Prince-Evêque de Liège, DE VELBRUCK François-Charles, impose à toutes les Bonnes Villes de la Principauté, l’usage d’un poinçon de la Principauté, complété d’une ou deux lettres distinctives (W. pour Waremme), pour les pièces d’orfèvrerie qui y sont réalisées. Ce règlement sera abrogé dès 1776.

Disparition du cheval (Braives – Noville)

Vers 1920, les élevages de chevaux de Braives et de Noville disparaissent, en raison de l’usage croissant du tracteur, au détriment de la traction animale.

Une « loi linguistique » passe mal (Belgique – Pays-Bas)

roi guillaume 1er

roi guillaume 1er

Le 15 septembre 1819, GUILLAUME 1er signe une loi qui stipule, qu’à partir du 1er janvier 1823, le néerlandais deviendra la seule langue administrative, judiciaire, financière et militaire dans la partie flamande du pays. 

Cette loi linguistique provoque le mécontentement des « provinces belges », dont l’attachement à la langue française a été renforcé par 20 ans d’occupation française.

Waremme concède des biens à la confrérie des archers

Le 6 janvier 1656, par un acte signé devant le notaire BOUX, la ville de Waremme concède des terrains communaux à la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme. Contre l’usage de ces terrains, ainsi que de celui d’un local à l’étage de l’hôtel de ville de Waremme, la Confrérie s’engage à restaurer, en temps opportuns, les toitures de la maison communale et de ses dépendances.