En novembre 1946, il reste des tronçons d’égouts à construire à Waremme:
- rue de Liège (au-delà du Vicinal)
- rue du Fonds d’Or
- Rue Champanette
- rue Wérixhas
- rue de Huy (depuis les usines Moës jusqu’au viaduc)
- rue Stanislas Fleussu
- rue Sous-le-Château
En novembre 1946, il reste des tronçons d’égouts à construire à Waremme:
En janvier 1940, STREIGNAERTS Roland est ouvrier aux Usines Moës, à Waremme.
En 1914, la famille MOES fait construire la « Villa MOES », rue de Huy à Waremme, à proximité des « Usines MOES ». (Plus tard, tout le site sera rasé. Une grande surface commerciale s’y installera, son parking occupant l’ancien emplacement de cette « Villa MOES »).
En août 1945, de retour à Waremme, les évacués dressent le bilan de l’occupation allemande:
Au total, 103 dossiers de demande d’indemnisation sont introduits.
La plupart des Waremmiens ont perdu beaucoup moins : leurs effets personnels et leur vélo ont disparu dans la cohue de l’exode, en Belgique et en France. Le plus souvent, leur bicyclette a été réquisitionnée.
Le 22 novembre 1944, le bourgmestre de Waremme signale à l’autorité américaine, casernée à Tongres, les locaux susceptibles d’abriter des troupes.
Les locaux disponibles sont les suivants :
Le 23 janvier 2006, les travaux de démolition des anciennes usines « Moes », rue de Huy à Waremme, sont interrompus par la police de l’environnement. L’entrepreneur ne prend pas les précautions nécessaires pour éviter la propagation des particules d’amiante.
Le 3 juin 1941, une collecte au profit des prisonniers de guerre est réalisée aux usines « MOES » à Waremme. On récolte 852 francs.
Vers le 16 juin 1940, les usines « MOES » de Waremme rouvrent leurs portes. MOES Edouard, MOES Auguste et MOES Paul, administrateurs-directeurs, ont suivi l’exode en mai.
L’occupant oblige SALMON Joseph, le comptable de la firme, d’embaucher, sous peine de mettre l’affaire sous séquestre. La Banque Générale est forcée d’avancer les fonds.
MOES Edouard et MOES Paul étant rentrés, l’usinage des pièces brutes en stock continue, ainsi que celles en commande chez les différents fournisseurs, mais il ne s’agit pas de monter des moteurs en ordre de marche !
En 1936, les « Usines Moës » de Waremme étudient un moteur diesel à quatre-temps, avec dispositif anti-déflagrant, en vue d’une utilisation sur les locomotives des mines, pour éviter les explosions dues à la présence de grisou.