Le marchand de vélos Evrard (Waremme)

En 1906, EVRARD A. est marchand de vélocipèdes à Waremme.

Le magasin de vélos et motos Orban (Waremme)

En 1954, ORBAN G. exploite un magasin de vente et de réparation de vélos et de motos, au n° 13 de la rue de Huy, à Waremme. Il vend les marques « Adler » et « NSU ».

Il propose également un service de taxi, pour cérémonies, en voiture 6 places.

Le garage à vélos Lhoest (Waremme)

Dans les années 1930, Madame LHOEST tient un garage pour vélos rue de Huy (qui deviendra plus tard la rue Joseph Wauters) à Waremme. Il est fréquenté par les élèves de l’Ecole Moyenne.

Création de Carbonbike

peter schroen

peter schroen

En 1988, l’ancien coureur cycliste professionnel SCHROEN Peter fonde la société « Carbonbike ». Elle s’installera plus tard à Waremme.

La société Carbonbike (Waremme)

En janvier 2017, la société « Carbonbike » est installée au n° 254 de la Chaussée Romaine, à Waremme. Elle distribue, notamment, la marque de vélos « Pinarello ».

La société Carbonbike (Waremme)

En février 2013, la société « Carbonbike » s’installe à Waremme, en bordure de la Chaussée Romaine. Le bâtiment n’est pas un magasin de cycles ouvert à tous, mais un show-room pour les professionnels et un hangar de stockage. Le patron de la société est SCHROEN Peter.

peter schroen

peter schroen

Les cyclistes à contre-sens (Waremme)

En mai 2015, les autorités de Waremme décident que certaines rues à sens unique de la ville pourront être empruntées à contre-sens par les cyclistes:

  • la rue sous-le-Château
  • la rue du Perron
  • la rue Visigath
  • la rue Hubert Krains
  • la rue Emile Hallet
  • la rue d’Elmette

La place devant la bibliothèque (Waremme)

En mars 2016, les travaux d’aménagement, de la petite place située devant la bibliothèque « Pierre Perret », sont entrepris à waremme.

Ces aménagements consistent en:

  • 17 places de parking, dont 2 pour les personnes à mobilité réduite.
  • Un parking pour vélos
  • Un espace piétonnier, en pavés colorés.
  • Un espace vert, avec des arbres, des haies et de l’éclairage.

Le coût de ces travaux est estimé à 120.000 euros, subsidié à hauteur de 57.000 euros.

Le café « Dawir » (Oreye)

En janvier 1940, le café de la gare, à Oreye, est exploité par la veuve de DAWIR Désiré, STAINIER Mathilde, et leur fille, DAWIR Maria. A côté, se trouve un garage où les voyageurs rangent leur vélo, avant de prendre le train.