En 1965, DUBOIS Georges est gérant d’un magasin de vêtements. Il habite au n° 52 de la rue Joseph Wauters à Waremme. Il est membre de la section de Waremme de la Fédération Nationale des Anciens Prisonniers de Guerre (F.N.A.P.G).
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La maison de confection Aerts-Renier (Waremme)
En 1965, le magasin de tissus, de confection et de vêtements sur mesure « AERTS-RENIER » est installé au n° 10 de la rue Gustave Renier à Waremme.
Le tailleur Fernand (Waremme)
En 1965 et septembre 1969, le tailleur « Fernand » est installé au n° 60 de la rue Joseph Wauters à Waremme. Il propose des vêtements sur mesure et de la confection.
Les vêtements Robert (Waremme)
En 1965, la Maison « ROBERT J. » de vêtements de prêt-à-porter et sur mesure pour dames est installée au n° 6 de la rue Gustave Renier à Waremme (face à la gendarmerie).
Les vêtements et tissus Remacle-Sevenants (Remicourt)
En 1965, l’entreprise de lainages et confection « REMACLE-SEVENANTS » est installée à Remicourt.
Les revenus des Communs Pauvres (Hodeige)
Vers 1730 (?), les revenus des « Communs Pauvres » s’élèvent à 91 muids, à Hodeige. Ces revenus sont de deux types:
- Les revenus des Communs Pauvres proprement dits. Ils s’élèvent annuellement à 49 muids et 6 setiers, qui se distribuent aux seuls pauvres. On fait la distribution de ces revenus soit en grains, soit en argent, soit en secours en nature. Les secours en argent varient entre 3 patars et 10 florins. On donne aux malades de la viande, du vin, du pain blanc. On distribue des vêtements et de la houille. L’entretien des aliénés incombe à la caisse des Communs Pauvres, ainsi que la fourniture des drogues aux malades et des cercueils pour les défunts.
- Les autres revenus, qui s’élèvent à 42 muids, s’appellent les « Revenus des Miches ». Ils sont distribués indistinctement (peut-être par abus !) à tous les habitants. Cette distribution de miches se fait pendant le Carême. Le curé lui-même y participe (pour cela, il reçoit 3 muids), mais par contre, il doit chanter, chaque vendredi de Carême, une grand-messe de requiem pour les défunts pauvres; Sur les revenus des Miches, on paie 4 setiers au marguillier pour les anniversaires de Carême, 6 setiers à l’église et 4 aux sonneurs. Le registre des Miches contribue également au paiement du prêtre qui doit dire la première messe les dimanches et les jours de fête (de 6 à 10 muids). Annuellement, l’instituteur reçoit 8 muids pour son salaire, ainsi que pour le chauffage des enfants en hiver, et le loyer de la maison servant d’école et de grenier. Le registre des Miches rétribue également l’habitant du village, dit « gardien » ou « herbier », qui conduit tous les porcs (élevés par chaque habitant du village) à la pâture sur les bois communaux. Pour cela, il reçoit 2 muids par an. Enfin, le mambour chargé de distribuer les secours et de faire les comptes (ordinairement le curé ou le prêtre prémissaire) reçoit comme salaire 8 muids chaque année.
L’association « Terre » (Oreye – Remicourt)
En (?), Monsieur FOLLON est délégué-animateur de l’association « Terre » à Oreye. Il recrute une équipe de bénévoles pour constituer un centre de collecte à Remicourt:
- HALLEUX André
- HERCKENS Jef
- MARTINOW Charles
- MOES Urbain
- PETITJEAN Paul
- PILET Charles
- PIROTTE Joseph
- RIHON André
Cette association récolte du papier, du métal, des vêtements et des objets divers, pour les vendre au profit des nécessiteux.
La commune emprunte (Remicourt)
Le 6 mars 1918, le Conseil Communal de Remicourt souscrit un emprunt de 26.500 francs, au Crédit Communal, pour rembourser les dépenses de première nécessité:
- le ravitaillement de la population
- l’aide au Bureau de Bienfaisance
- l’achat de vêtements
- la soupe générale et la soupe scolaire
- l’aide aux nourrissons
Les ouvriers waremmiens
Vers 1895 (?), les ouvriers de la région de Waremme qui travaillent dans les centres industriels et les charbonnages du bassin liégeois, se lèvent à 3h30 ou à 4h du matin, font à pied les 5 ou 7 kilomètres qui les séparent d’une gare. Certains ont la chance d’attendre le convoi dans un vieux wagon qui peut servir d’abri à une vingtaine de personnes (il y a 300 abonnés dans la région). Lorsqu’ils montent dans le train, ils s’efforcent d’y récupérer 1/4 h de sommeil.
Ils portent généralement les vêtements de la veille, qui n’ont pu être ni brossés, ni séchés, de semaines en semaines. Leur casquette devient de plus en plus loqueteuse et luisante. Lors des grands froids, ils portent une écharpe sur leur costume de velours roux ou de coton chiffonné.
Salles de spectacle à Oreye
En 1941, il y a deux salles de spectacle à Oreye:
- chez DESART
- chez DECHAMPS
On y organise des concerts, des représentations théâtrales, des concours de chant, … dont les bénéfices sont entièrement consacrés à la confection de colis destinés aux prisonniers belges (vivres, chocolat, matériel de couture, vêtements, …).