En mai 2015 et avril 2019, le boutique « Lola et ses Potes » a 2 établissements à Waremme:
- rue Joseph Wauters n° 19 (mode pour enfants de 6 mois à 7 ans)
- rue Joseph Wauters n° 42 (mode pour enfants de 8 à 16 ans)
En mai 2015 et avril 2019, le boutique « Lola et ses Potes » a 2 établissements à Waremme:
En mai 2015, la boutique de vêtements « Simplement pour Elle » est installée au n° 3 de la Place de l’Ecole Moyenne, à Waremme. Elle est exploitée par (?) Nathalie.
Le (?) 1940, lorsqu’ils rentrent dans leur maison de la rue Stanislas Fleussu à Waremme, après avoir fui devant l’arrivée des Allemands, les « LOMBART » constatent que leur habitation et leur boutique ont été cambriolées: sucre, café, farine, riz, sel, vêtements, chaussures, vaisselle, …, tout a disparu.
En août 1940, des colis de vivres non périssables et de vêtements sont préparés au Collège Saint-Louis de Waremme. Ils sont ensuite transportés au siège de la Croix-Rouge, à Liège. Enfin, ils sont acheminés vers les camps de prisonniers, en Allemagne.
En septembre 1944, HONLET Ernest exploite une boutique de vêtements et de tissus, au n° 20 de la rue Joseph Wauters, à Waremme.
Le 29 août 1944, les jeunes volontaires de « l’Aide et Reconstruction des Foyers Eprouvés par la Guerre » (ARFEG) transportent les meubles, objets de valeur, vêtements, vaisselle, … retirés des décombres des maisons touchées par le bombardement, à l’aide de charrettes à bras, dans l’ancienne centrale électrique de la rue Sous-le-Château.
Tous ces volontaires portent un brassard d’identification.
Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe à l’arrière de la maison de l’électricien PUTZEYS Louis (immeuble dans lequel se trouve également l’atelier de couture PERQUI), rue Gustave Renier à Waremme, JOIRQUIN Charles appelle sa fille, JOIRQUIN Dédée, sur les ruines de la maison. Après un moment, elle lui répond. Sa voix est faible. Il se faufile par le soupirail de la maison voisine, celle de l’architecte GONTHIER, pour accéder à la maison « PUTZEYS » par les caves. Mais la tâche s’avère compliquée, car la cave contiguë est partiellement effondrée et le plafond est incliné à 45°.
DELVELLE Fernand, ainsi qu’un « feldgrau » allemand le rejoignent. Le travail est difficile et épuisant. MOES Céléste, qui a travaillé dans des puits de phosphate, vient leur prêter main-forte. Il comprend qu’il faut étançonner le tunnel au fur et à mesure que l’on avance. Durant les travaux, le jeune fille répond aux appels, mais sa voix est de plus en plus faible. Aucune autre ne voix ne se fait entendre. A l’extérieur, les gendarmes DELVIGNE Louis et PIRLOT Firmin sécurisent les lieux.
D’autres secouristes viennent aider ceux qui sont déjà à l’oeuvre: DEGROOT Félix, DELVAUX Oscar et MAHIELS Joseph, dit « Li Vê ». Tous trois ont été mineurs. Ils parviennent à percer le mur mitoyen. Le plafond de la cave « PUTZEYS » est effondré. Les sauveteurs progressent lentement. Enfin, ils aperçoivent des vêtements. Ils arrivent près de la jeune fille.
En plus des débris de plâtras et de briques qui la recouvrent, elle est bloquée par une grosse solive. Les hommes entreprennent de la scier. JOIRQUIN Dédée s’évanouit à plusieurs reprises. Ils parviennent à la dégager et à la ramener dans la cave « GONTHIER ». Ils la sortent par le soupirail.
Son père, JOIRQUIN Charles, et le tailleur BRASSINE Roger l’emmènent sur une civière à la clinique Joseph Wauters. Le docteur EVRARD constate qu’elle n’est pas gravement touchée. La solive l’a protégée !
Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe, rue Joseph Wauters, devant le Café « Aux Sports », l’instituteur EVRARD Paul est transporté inconscient sur un brancard. Ses vêtements sont déchirés. Il a une profonde blessure à la tête. Du sang coagulé lui macule le visage.
Le 28 août 1944, une bombe explose devant le Café « Aux Sports » rue Joseph Wauters, à Waremme. Des occupants sont touchés:
Le 13 avril 1994, la SPRL « Hendytex » de Chaudfontaine ouvre une boutique de vêtements au n° 7 de la rue du Baloir à Waremme.