Une toiture s’effondre (Waremme)

Le 2 décembre 2024, la toiture d’une maison en rénovation s’effondre rue Zénobe Gramme à Waremme. Il n’y a pas de victime.

Fuite de gaz (Waremme)

Le 28 février 2025, une voiture percute une pompe LPG à la station de l’aire d’autoroute à Waremme, entraînant une fuite de gaz. Le périmètre est rapidement évacué et les secours colmatent la fuite. Il n’y a aucune victime.

Médecin condamné pour viol (Waremme – Liège)

Le 2 mars 2018, un médecin de Waremme, âgé de 61 ans, est condamné, par la Tribunal Correctionnel de Liège, à 8 ans de prison ferme et d’une mise à disposition du Tribunal d’Application des Peines de 10 ans, pour le viol de sa petite-fille de 5 mois. Les faits se sont déroulés en février 2017.

Dans son jugement, le Tribunal souligne l’extrême gravité des faits: le prévenu a abusé de sa propre petite-fille pour assouvir ses pulsions et il ne lui a donné aucun soin après les faits, alors que la petite victime présentait des blessures sévères aux organes génitaux et malgré qu’il est médecin.

Bombardement de la râperie (Viemme)

En 1940, la râperie de Viemme est bombardée par les Allemands. Il y a une victime.

Mort de Léon Berger (Waremme)

Le 29 août 1944, BERGER Léon décède à 19h. Il est la douzième victime du bombardement. Hospitalisé à la clinique Notre-Dame, il a été blessé durant le bombardement, de la veille, du centre de Waremme.

Gaston Nélis au chevet de Léon Berger (Waremme)

Le 29 août 1944, bien qu’il se sait recherché par les Allemands, le bijoutier NELIS Gaston, membre de l’Armée Secrète (A.S.), se rend au chevet de BERGER Léon, blessé lors du bombardement du centre de Waremme de la veille, hospitalisé à la clinique Notre-Dame, rue Joseph Wauters à Waremme.

BERGER Léon décède à 19h. Il est la douzième victime du bombardement.

Mort de Richard Orban (Viemme)

richard orban

richard orban

Dans la nuit du 5 au 6 juin 1944, un transport d’armes est effectué par la Résistance, de Viemme vers le quartier général de Les Waleffes. En traversant la grand-route « Huy – Waremme », le convoi est intercepté par une patrouille allemande. Une fusillade éclate. Un soldat allemand est tué et un autre blessé. Dans les rangs de la Résistance, ORBAN Richard, dit « Omer », de Berloz, lieutenant à la 423ème Compagnie de la Résistance Hesbignonne, est touché par une balle en pleine tête. Il est âgé de 45 ans et père de 2 enfants. Il est la première victime du Groupe « Otarie », le jour du Débarquement.

Dans l’autre camp, UNFRIED Paul, blessé, est emmené à la clinique de Huy.

Une croix (stèle ?) sera plantée sur le talus de la route Huy – Waremme, entre Aineffe et Viemme, pour rappeler ce tragique évènement.

Daniel François et Alain Michelet, coupables (Waremme – Liège)

Le 26 mars 2015, la Cour d’Appel de Liège (1) confirme la peine que le Tribunal Correctionnel a prononcée à l’encontre de l’ancien chef de la zone de police de Waremme, FRANCOIS Daniel, et de son adjoint, MICHELET Alain, pour harcèlement et traitement inhumain et dégradant, mais (2) en sus, déclare que ces attitudes coupables sont à l’origine de la mort de KOCH Sandra et de sa fille, et des graves blessures de son fils.

RAPPEL DES FAITS

Le 11 novembre 2011, la policière de Waremme KOCH Sandra, récemment mutée à Crisnée, se rend dans les bois de Stoumont en voiture, avec ses enfants Emilie (17 mois) et Bastien (4 ans). Elle prépare un petit « bûcher », s’asperge, ainsi que ses enfants, d’alcool et y met le feu. Ils sont gravement brûlés, mais ne décèdent pas. Elle s’empare alors d’un couteau, tue sa fille et inflige de profondes blessures à son fils (qui conservera toute sa vie d’importantes séquelles). Elle appelle alors les secours. Elle explique avoir été la victime de harcèlement de la part de ses supérieurs hiérarchiques. On la retrouvera pendue dans sa cellule le 6 décembre 2012.

Comme en première instance, FRANCOIS Daniel est condamné à 12 mois de prison avec sursis, et MICHELET Alain à 10 mois également avec sursis, pour harcèlement au travail et traitement inhumain et dégradant.

Mais de plus, la Cour déclare que c’est ce harcèlement moral, ce traitement inhumain et dégradant, qui ont involontairement poussé KOCH Sandra à blesser gravement son fils, à tuer sa fille et à se suicider. Pour les juges d’Appel, c’est bien le comportement malveillant des deux commissaires qui est à l’origine du drame. Les juges précisent que les deux policiers ont créé un climat hostile qui a plongé leur subalterne dans un état psychologique fragile. Les magistrats considèrent que ces deux supérieurs hiérarchiques auraient du prévoir que cet état psychologique pouvait entraîner des conséquences tragiques.

Si la peine de prison avec sursis est maintenue, l’élargissement de la responsabilité des deux hommes amène la Cour à les condamner, en sus, à payer des dommages et intérêts provisionnels de 75.000 euros à la famille. Cette somme servira, notamment, à payer les frais très lourds du traitement du fils de KOCH Sandra.

Une telle condamnation devrait avoir d’importantes conséquences sur la carrière de FRANCOIS Daniel et MICHELET Alain à la police.

Les avocats des deux condamnés annoncent leur intention de se pourvoir en Cassation de l’arrêt de la Cour d’Appel. Pour rappel, la Cour de Cassation ne se prononcera pas sur le fond de l’affaire, en l’occurrence la culpabilité des deux hommes, mais sur la forme de l’arrêt de la Cour d’Appel et le respect des règles de procédure et de droit.

Les « profiteurs » et « collabos » au pilori (Waremme)

Les 23 et 24 novembre 1918, la population de Waremme traque les « collabos » et les « profiteurs », ceux qui sont perçus comme s’étant compromis avec l’ennemi ou ayant bâti leur fortune sur le dos de la population.

Cette justice populaire se déchaîne alors que la gendarmerie ne s’est pas encore réinstallée dans la ville. Des maisons sont pillées et du mobilier détruit. Elle ne fera cependant pas de victime.

10 dossiers seront introduits au tribunal des dommages de guerre pour obtenir des indemnités, dont le dossier « DOYEN »

Premier entartrage du « Gloupier » (Belgique – France)

Le 11 décembre 1969, l’agitateur anarcho-humoristique belge, GODIN Noël, dit « Le Gloupier », procède à son premier « entartrage ». Sa victime est DURAS Marguerite.

noël godin dit le gloupier

noël godin dit le gloupier