Réélection de Jules Jacquemotte (Crisnée)

Après la Libération, JACQUEMOTTE Jules, bourgmestre de Crisnée pendant la Deuxième Guerre Mondiale, est réélu au Conseil Communal du village. Il fera également partie de l’ Fabrique d’Eglise de la Paroisse.

Des rues rebaptisées (Crisnée)

Le 3 mai 1960, afin d’honorer la mémoire de personnes ayant rendu de grands services à la commune, le conseil communal de Crisnée décide de rebaptiser 3 artères du village:

  • la rue de l’Eglise devient la rue de l’Abbé Coopmans (1864 – 1936)
  • la rue de Kemexhe devient la rue Sylvain Panis (1910 – 1959)
  • la rue Charlevaux devient la rue François Gilon (1890 – 1918)

La statue de la Vierge de Banneux à Crisnée

Le 26 mai 1954, la statue de « Notre-Dame des Pauvres », venant de Banneux à travers toute la Province de Liège, s’arrête à Crisnée.

Le curé de la paroisse, l’abbé RIGO, vient à la rencontre du chariot qui la transporte, avec de nombreux paroissiens, à la sortie de Thys. Dans le village, elle s’arrête sous l’Arc de Triomphe érigé devant chez PIRSON. Elle est ensuite amenée à l’église.

Elle repartira ensuite vers Odeur.

Prévention des inondations à Crisnée

Le 1er juillet 1910, le conseil communal de Crisnée décide de faire creuser des rigoles pour prévenir le retour de l’inondation des maisons situées dans le fond longeant le Chemin de Lowaige, et en Sart. La clôture entre les divers propriétaires riverains se fera au moyen de fils de fer, disposés sur 3 rangées. Le travail sera effectué par le cantonnier du village.

Mort du bourgmestre (Crisnée)

Le 26 mai 1905, le conseil communal de Crisnée, réuni d’urgence, décide que l’école du village sera fermée les 27 et 29 mai, en raison du décès et des obsèques du bourgmestre KERSTENNE Jacques. Il sera remplacé par KERSTENNE Louis.

KERSTENNE Jacques était âgé de 64 ans. Il était célibataire (?). Ses parents étaient KERSTENNE Jean-Jacques et COHEUR Marie.

Vente de terrains pour le vicinal (Crisnée – Thys)

Le 27 juillet 1889, le conseil communal de Crisnée autorise le Conseil de Fabrique de la paroisse du village à vendre, aux concessionnaires de la ligne de tramway d’Ans à Oreye, 3 ares 50 d’une terre située à Thys, au prix de 525 francs.

L’abbé Janssen refuse d’enseigner à la commune (Crisnée)

Le 18 août 1870, l’abbé JANSSEN Guillaume, curé de Crisnée, informe le conseil communal du village qu’il refuse désormais de prodiguer l’enseignement religieux à l’école communale.

Cet enseignement sera confié à l’instituteur RUTTEN Henri-Joseph.

Du fourrage et de l’avoine pour les soldats (Crisnée)

Le 10 février 1793, LOUETTE Mathias, de Crisnée, livre 3 rations de fourrage et d’avoine aux soldats française logés dans le village.

Des soldats chez la veuve Coheur (Crisnée)

Le 9 mars 1793, trois soldats impériaux sont logés chez la veuve COHEUR, à Crisnée (la plus grosse ferme du village).

Les combattants de la Deuxième Guerre sur le Monument (Crisnée)

Le 1er mai 1953, le conseil communal de Crisnée décide de placer, sur le monument à la mémoire des combattants du village lors de la Première Guerre Mondiale, une plaquette sur laquelle MOUHA Alexis grave le nom des combattants, prisonniers, déportés et réfractaires de la Deuxième Guerre Mondiale. Il est à noter que le nom des Résistants n’apparaît pas sur cette plaquette.