Vers 1210, il y a une seigneurie laïque à Oreye, avec un cour de justice. Celle-ci cohabite avec la cour de justice que l’abbé de Saint-Trond a établie dans le village.
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Réquisitions à Viemme
En 1636, le village de Viemme doit souffrir de réquisitions de toutes sortes, lors du passage de troupes étrangères.
Incendie de Waleffe-Saint-Georges
Après 1204, le Duc DE BRABANT Henri 1er conteste la donation du Comté de Moha au Prince-Evêque de Liège, DE PIERPONT Hugues. Il s’attaque au Pays de Liège et à Tongres. Ses soldats incendient le village de Waleffe-Saint-Georges, également appelé « Waleffe-le-Château ».
Bauduin Leclercq, secrétaire communal (Celles)
En 1837, l’instituteur de Celles, LECLERCQ Baudauin-Hubert-Joseph, est nommé secrétaire communal du village. Il exercera cette fonction jusqu’en 1867.
La chapelle incendiée (Saives)
En 1672, la chapelle « Notre-Dame » de Saives est incendiée par les troupes françaises et hollandaises. Elle est totalement détruite. Les fidèles du hameau se rendront à l’église de Celles ou à celle de Grand-Axhe.
Le Seigneur de Grand-Axhe
Vers 1710, le Seigneur de Grand-Axhe perçoit la grande-dîme du village, soit 100 muids d’épeautre.
Le curé de Grand-Axhe
Vers 1710 (?), le curé de Grand-Axhe perçoit les petites dîmes du village, soit 3 pains par famille. Il reçoit également 7 oeufs de chaque communiant. Pour un bénéfice fondé à Saives, il reçoit environ 25 muids.
Celles en 1847
Le 20 septembre 1847, un rapport décrivant le village de Celles est lu en séance du conseil communal:
Il y a:
- 942 habitants (475 hommes et 467 femmes)
- Un instituteur et un sous-instituteur
- Un desservant de la paroisse
- Un cimetière clos par un mur entourant l’église
Les décanteurs de Hollogne-sur-Geer
Depuis fin 2011, le site des décanteurs de Hollogne-sur-Geer est la propriété de la société « Hesbaye Frost » et est géré par NATAGORA.
Initialement, il a été aménagé pour décanter les eaux de lavage des betteraves sucrières traitées par la râperie de Hollogne-sur-Geer (qui a été active jusqu’en janvier 2009). 16 bassins de différentes dimensions ont été creusés en 2 zones couvrant 41 hectares. Au fil des années, les différentes retenues se sont comblées et ont formé une mosaïque d’étangs de profondeur variable et de friches plus ou moins humides. On peut y trouver une roselière à phragmites et massettes, ainsi que des saulaies. Bien que situé non loin du village, le site est entouré de champs, de prairies et de peupleraies. Il constitue un refuge idéal pour les oiseaux, dont on y a recensé plus de 350 espèces.
Cependant, l’arrêt des activités de la râperie entraîne un déséquilibre des bassins. La circulation des eaux de lavage des betteraves est interrompue, diminuant d’une part les ressources alimentaires provenant des matières organiques et asséchant d’autre part certains bassins, qui tendent à se reboiser rapidement. Le site est réellement mis en péril.
En septembre 2011, une solution apparaît pour la sauvegarde du site ornithologique. le nouveau propriétaire et NATAGORA se lancent dans une vaste opération pour préserver les 33 hectares de cette oasis hesbignonne.Une partie des bassins, à haute valeur écologique,
Poème à la chapelle du Grand Bon Dieu (Borlez)
En mars 1977, l’auteur dialectal COLPIN Arthur consacre un poème à la chapelle du Grand Bon Dieu de Borlez, son village natal.