Les réverbères de Momalle

En 1906, le conseil communal de Momalle nomme les demoiselles, JAMART Marie et LENOIR Louise, pour allumer et entretenir les réverbères de l’éclairage public du village.

Nicolas Lejeune, président (Momalle)

Entre 1914 et 1918, LEJEUNE Nicolas est président du Bureau de Bienfaisance de Momalle et responsable de la commission chargée du ravitaillement de la population du village.

Soins gratuits (Momalle)

Le 20 octobre 1829, le docteur BOURDOU, de Momalle, est chargé de donner gratuitement des soins médicaux aux indigents du village, inscrits sur la liste générale du Bureau de Bienfaisance. Il recevra, pour cela, un traitement annuel de 65 florins.

Des médicaments gratuits pour les indigents (Lamine – Momalle)

En janvier 1888, le conseil communal de Lamine mandate le pharmacien JACO de Momalle, pour distribuer gratuitement des médicaments aux indigents du village.

La commune remplace la ville, le bourg, le village (France)

Le 31 octobre 1793 (10 Brumaire de l’An II), un décret français supprime les appellations de « ville », « bourg » et « village », et les remplace par celle de « commune ».

Charles Jamblin, curé desservant (Momalle)

En 1834, l’abbé JAMBLIN Charles est désigné curé desservant de la paroisse de Momalle. Il n’y a plus de presbytère dans la paroisse. Dès lors, il partage le logement de l’instituteur du village.

Une école au presbytère (Remicourt)

En 1805, une école est ouverte au presbytère de Remicourt, à l’initiative du maire du village, WARNOTTE Nicolas.

Ambiorix attaque César (Momalle)

En (?), les Eburons d’AMBIORIX attaquent les légions romaines de CESAR, au « Fond Neva », à l’endroit où s’élèvera plus tard le village de Momalle (?)

« Dj’Han l’nahi »

En (?), en Hesbaye, le fermier d’un village, qui termine en premier les travaux de moisson, fabrique un mannequin de paille, appelé « Dj’Han l’nahi » (Jean le fatigué), coiffé d’un chapeau de moissonneur, vêtu d’un sarrau, muni d’un râteau édenté, portant en bandoulière une besace et un bidon. Il va ensuite le planter dans le champs d’un voisin qui n’a pas encore terminé. Le mannequin passe ainsi des terres d’un agriculteur à celles d’un autre, au fur et à mesure de l’avancement des travaux. Le dernier cultivateur qui en hérite, doit payer à boire aux autres et à leurs ouvriers. Enfin, le mannequin est livré aux flammes dans la liesse générale.

Ecole dans un local du presbytère (Viemme)

En 1928, à l’initiative du curé de Viemme, un local jouxtant le presbytère du village est affecté à un enseignement libre maternel.