Le 3 octobre 1947, le Conseil Communal de Waremme tente d’obtenir le classement de Waremme parmi les villes de 5.000 à 6.000 habitants.
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La meunerie dans la région de Waremme
Vers 1912, il y a deux types de meuneries dans le canton de Waremme:
- La meunerie locale, de détail: Il y a 7 à 8 fermiers qui possèdent un moulin, conjointement avec leur ferme. Il y en a 3 à vent et 4 à eau, le long du Geer. Leur matériel n’est pas très important: une meule ou deux, quelques tamis, … Le meunier gagne un salaire de 400 à 500 francs, en plus du logement et de la nourriture. C’est toujours un homme de confiance. Il est chargé d’aller de ferme en ferme, prendre le grain qu’il doit moudre et reconduire plus tard la farine et le son. Il tient la comptabilité.
- La grande meunerie ou minoterie: Il y a 4 grands moulins mécaniques, à Waremme, à Oleye, à Bergilers et à Limont. Ils travaillent sur de grandes quantités de grains. Leur clientèle se trouve dans les villes, les coopératives et à l’étranger. Un exemple des salaires versés dans un de ces moulins: chef (6 à 7 francs par jour); conducteur de moulin (4 à 6 francs par jour); machinistes et ouvriers (2,5 à 3 francs pour 14 heures); conducteurs de charrettes (7 à 8 francs pour 17 heures).
Buffalo Bill en Belgique (Etats-Unis)
Création de la SNCV (Belgique)
Le 9 juin 1884, la Société Nationale des Chemin de fer Vicinaux (SNCV) est créée en Belgique.
Ce second réseau ferré est destiné à relier les villes aux villages environnants et à assurer des correspondances avec les trains pour les voyageurs et les marchandises.
Il faudra installer une pompe à incendie (Waremme)
La Confrérie des arbalétriers organise une rencontre de tir (Waremme)
En 1463, Waremme possède une confrérie d’arbalétriers, placée sous la protection de Saint-Sébastien. La fonction de cette confrérie est d’aider à défendre les libertés communales et de maintenir l’ordre.
Cette année, elle organise dans la ville une fête de tir à laquelle les arbalétriers d’autres villes sont invités. Ceux de Maestricht, entre autres, s’y rendent en grand nombre.
Les Vikings font des incursions meurtrières en Hesbaye
A partir de 881, les Vikings s’attaquent aux contrées hesbignonnes et à leurs riches campagnes. Ils remontent la Meuse en été, dans leurs drakkars et, surtout à partir de 884, sévissent dans les villes et les villages hesbignons.
Un chroniqueur rapporte : « Après leur passage, il ne reste même plus un chien pour aboyer après eux ». Dans les églises, on prie : « De la fureur des Normands, délivrez-nous, Seigneur ! ».