Le 1er avril 2022, THEUWIS Mélanie et son compagnon, DOCTEUR Gianni, ouvrent la brasserie « La Casa del Pècket », au n° 70 de la rue Joseph Wauters à Waremme, sur la place Albert 1er, (à l’emplacement de l’ancien restaurant chinois le « Pavillon Chow »). Ils y servent principalement du pècket, mais aussi du vin, de la bière et des cocktails. Le loyer mensuel est d’environ 3.000 euros.
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Le vin de la Ferme des Hêtres (Rosoux – Berloz)
En 2024, la Ferme des Hêtres, de Rosoux (Berloz), produit 80.000 bouteilles de vins « effervescents » par an. Elle exploite 8 hectares de vignes. Le maître de chai est GOFFIN Nicolas.
Le marchand Renson (Otrange)
En 1896, RENSON B. (?) vend des denrées coloniales et du vin à Otrange.
Des vignes à Rosoux
Vers 2013 (?), la ferme GOFFIN de Rosoux-Crenwick plante des vignes. Elle va produire 4 vins blancs, 1 vin rouge et 1 vin rosé.
Le Salon du Vin (Bergilers)
En mars 2021, pour la deuxième année consécutive, le Salon du Vin de Bergilers est annulé, en raison de la pandémie de coronavirus.
En 1752, quelques prix (Waremme)
En 1752, quelque prix dans la région de Waremme – Hodeige:
- 1 setier de seigle: 44 sous
- 1 pain moitillon: 5 sous et de 18 à 21 liards
- 1 pain blanc: de 13 à 15 liards
- 1/2 pièce de vin de Bourgogne: 120 florins
- 1 flacon fin de Champagne: 44 sous
- 1 flacon de l’Hermitage: 35 sous
La dîme de Hodeige
En 1790, la dîme de Hodeige est levée sur:
- 168 bonniers et 2 petites verges et demi de durs grains;
- 159 bonniers 14 verges grandes et 10 petites d’avoine;
- 35 bonniers 16 verges grandes et 10 petites de fourrage.
Elle est vendue avec les droits pour 287 muids 1 setier (on a livré comme de coutume 8 muids 4 setiers à la marguillerie de Lamine, 200 gerbes de paille à la cure de Lamine évaluées à 19 florins 10 sols, 308 florins pour le vin de stuit, 250 florins pour « captiver » les repreneurs).
Le tout, sauf les frais, porte 4.053 florins 7 sous. (Les frais s’élèvent à 179 florins 9 sous. Ceux qui ont colligé (?) la dîme reçoivent 100 florins). Il faut donc 4.226 florins 6 sous 1 liard en argent pour payer la dîme de Hodeige.
Les revenus des Communs Pauvres (Hodeige)
Vers 1730 (?), les revenus des « Communs Pauvres » s’élèvent à 91 muids, à Hodeige. Ces revenus sont de deux types:
- Les revenus des Communs Pauvres proprement dits. Ils s’élèvent annuellement à 49 muids et 6 setiers, qui se distribuent aux seuls pauvres. On fait la distribution de ces revenus soit en grains, soit en argent, soit en secours en nature. Les secours en argent varient entre 3 patars et 10 florins. On donne aux malades de la viande, du vin, du pain blanc. On distribue des vêtements et de la houille. L’entretien des aliénés incombe à la caisse des Communs Pauvres, ainsi que la fourniture des drogues aux malades et des cercueils pour les défunts.
- Les autres revenus, qui s’élèvent à 42 muids, s’appellent les « Revenus des Miches ». Ils sont distribués indistinctement (peut-être par abus !) à tous les habitants. Cette distribution de miches se fait pendant le Carême. Le curé lui-même y participe (pour cela, il reçoit 3 muids), mais par contre, il doit chanter, chaque vendredi de Carême, une grand-messe de requiem pour les défunts pauvres; Sur les revenus des Miches, on paie 4 setiers au marguillier pour les anniversaires de Carême, 6 setiers à l’église et 4 aux sonneurs. Le registre des Miches contribue également au paiement du prêtre qui doit dire la première messe les dimanches et les jours de fête (de 6 à 10 muids). Annuellement, l’instituteur reçoit 8 muids pour son salaire, ainsi que pour le chauffage des enfants en hiver, et le loyer de la maison servant d’école et de grenier. Le registre des Miches rétribue également l’habitant du village, dit « gardien » ou « herbier », qui conduit tous les porcs (élevés par chaque habitant du village) à la pâture sur les bois communaux. Pour cela, il reçoit 2 muids par an. Enfin, le mambour chargé de distribuer les secours et de faire les comptes (ordinairement le curé ou le prêtre prémissaire) reçoit comme salaire 8 muids chaque année.
Un hiver rigoureux (Liège)
En décembre 1468, il gèle si fort et si longtemps, qu’à Liège, on coupe le vin en morceaux pour le distribuer aux soldats.
Joseph Nicolas « tempérant » (Bovenistier)
En 1895, la Société de Tempérance de Bovenistier décerne un diplôme d’admission à NICOLAS Joseph, qui s’est engagé à s’abstenir jusque l’âge de 20 ans, de genièvre et d’autres boissons fortes, et à faire un usage modéré de bière et de vin, et qui a tenu parole.