Le 14 (15 ?) novembre 1880, LEUNUS Jean voit le jour à Oreye. Ses parents sont LEUNUS Pierre, électricien, et COUNE Elise. Il épousera MATERNE Marie. Il combattra durant la Première Guerre Mondiale et sera blessé sur l’Yser. Il installera une petite fabrique de limonade à Oreye, sera négociant en vins et conducteur de car.
En juin 1862, des ouvriers, qui extraient du sable de la carrière de THIRION-POLET Alexandre (beau-frère du bourgmestre) à Omal, découvrent une fosse funéraire gallo-romaine, à 2 mètres de profondeur, à 200 pas au sud de l’alignement des 4 tumuli d’Omal. Ils seront fouillés par l’archéologues SCHUERMANS.
Le dépôt très riche contient notamment:
En 1078, le desservant de l’église domaniale de Waremme doit acquitter chaque année une redevance d’un porc, six pains, deux setiers de vin et quatre chapons.
En 1954, le magasin d’alimentation « SULS – ROCK » (anciennement BRAINE) est installé au n° 78 de la rue de Sélys.
Il vend:
En 1954, le magasin d’alimentation « JOIE-DETHIER » est installé au n° 21 de la rue du Tumulus, à Waremme.
Il vend:
En 1954, la magasin d’alimentation générale « Adolphe DELHAIZE » est exploité par PLOMTEUX Henri et son épouse MORS Suzanne. Il est situé près de l’Hôtel de Ville de Waremme.
Il propose:
En 1954, le magasin d’alimentation générale « OLIVIER » est installé au n° 103 de la rue de Huy, à Waremme.
Il propose:
Il est également dépôt « Petrogaz » et atelier de menuiserie mécanique.
En 1954, NELIS Guillaume exploite un magasin d’alimentation générale au n° 16 de la rue Gustave Renier, à Waremme.
Il vend:
En février 1909, DISCRY Arthur est négociant en vins à Haneffe-Remicourt.
Le (?) 1940, lorsqu’il rentre dans sa maison de la rue de Mouhin, à Waremme, après s’être échappé d’une colonne de prisonniers près de Saint-Trond, STREIGNAERTS Roland constate que les portes de sa maison ont été fracturées et les fenêtres brisées. Les armoires sont grandes ouvertes, les tiroirs sortis des meubles. L’argenterie, les ustensiles de ménage, le linge, les outils, le contenu de sa cave à vins, … tout a disparu. Il estime son préjudice à plus de 20.000 francs.
Un voisin lui dira que les Allemands ont passé quelques nuits dans la maison et que des réfugiés s’y sont reposés.