Le 15 Floréal de l’An VI (le 4 mai 1798), BOUX Guilleaume habite à Berloz. Il est maréchal-ferrant. Il est âgé de 27 ans. Il mesure 5 pieds 2 pouces (1m57). Ses cheveux et ses sourcils sont noirs. Il a les yeux noirs. Il a le menton rond, le front bas et le visage ovale.
Le 6 Germinal de l’An VI (le 26 mars 1798), PAQUAY Jean-Louis habite à Bovenistier. Il est âgé de 33 ans. Il mesure 5 pieds 3 pouces (1m60). Ses cheveux et ses sourcils sont châtains. Il a les yeux gris. Il a un nez pointu, une bouche assez grande, le front haut et le visage ovale. Il est le fils de PAQUAY Louis, bricteur à Bovenistier.
Le 3 Nivôse de l’An VII (le 23 décembre 1798), FROIDCOEUR Jaspar « Fils » habite à Bovenistier. Il est cultivateur. Il est âgé de 44 ans. Il mesure 1m74. Ses cheveux et ses sourcils sont châtains. Il a les yeux gris, nez pointu et un visage ovale.
En septembre 1798, JACQUES Joseph-Isidore-François habite à Waremme. Il est marchand. Il est âgé de 37 ans. Il mesure 5 pieds 3 pouces (1m60). Il a les cheveux et les sourcils blonds. Il a un visage ovale. Il sait écrire (signer).
En Floréal de l’An VI, mai 1798, THIBO Henri habite à Waremme depuis 5 mois. Il est brandevinier (fabricant d’eau-de-vie). Il est âgé de 30 ans. Il mesure 5 pieds 3 pouces (1m60). Ses cheveux et ses sourcils sont châtains. Il a les yeux bleus, un nez moyen, une bouche assez grande, un menton « fourchu », le front bas et un visage ovale. Il sait écrire (signer).
En Germinal de l’An VI, mars 1798, GIROUL Jean-François est frère Récollet à Waremme. Il est âgé de 58 ans. Il mesure 5 pieds 5 puces et demi (1m66). Il a les cheveux et les sourcils châtains. Il a les yeux gris, un nez retroussé, une bouche petite, un menton rond, un front haut et un visage ovale. Il sait écrire.
Le matin du 10 novembre 2024, HOUILLET Ethan, un enfant de 4 ans est retrouvé sans vie, dans sa chambre, par son père, HOUILLET Grégory, rue Willine à Berloz. Celui-ci appelle les secours. L’enfant présente des plaies au visage, faites par un objet tranchant. L’autopsie révèlera qu’il est mort par étouffement. La mère, CHOJNACKI Emilie, enseignante, n’est plus au domicile.
Elle est retrouvée vers 13 heures, près du « Pont des Suicidés » de Cheratte (à un cinquantaine de km de la maison du drame). Elle déclare dans un premier temps avoir fait une « grosse bêtise » en trompant son mari ! et qu’elle se préparait à en commettre une autre. Les deux parents sont interrogés plus avant par la police. La mère ajoute qu’elle s’est disputée avec son compagnon, le soir précédent lorsqu’il a appris qu’elle le trompait. Il aurait décidé de rompre avec elle. Il aurait dormi au rez-de-chaussée, alors qu’elle aurait dormi dans la chambre au 1er étage. Elle dit s’être levée vers 6 heures du matin et avoir constaté que son fils était décédé. Elle ajoute avoir eu un « trou noir » et ne se souvenir de rien. Elle déclare avoir quitté le domicile sous le coup de l’émotion. Elle présente des plaies à la main, faites par un objet tranchant. Les déclarations du père sont cohérentes et ne permettent pas, à priori de la mettre en cause. A ce stade, le père est relâché et la mère est placée sous mandat d’arrêt pour assassinat.
Le couple est originaire de Grez-Doiceau et s’est installé à Berloz il y a 5 ans. Les parents n’ont aucun antécédent judiciaire et n’ont jamais attiré l’attention du voisinage.
Le 17 mai 1852, DE SELYS-LONGCHAMPS Marguerite-Emilie-Valentine, fille de DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond, est inhumée à Waremme, dans une fosse derrière le chœur de l’église, le visage tourné vers l’Orient.
En (?), durant la Première Guerre Mondiale, DELHALLE Victor, de Remicourt, est blessé au visage. Il conservera une balafre sur la joue.
En 1921, THIBEAU Beauduin-Louis-Joseph est domicilié à Waremme. Son épouse est WOLFF Maria-Catharina, native de Gulpen, en Hollande. Il est employé.
Il a un visage ovale, des yeux brun-foncé et des cheveux grisonnants noirs.