Le 16 août 2025, GUEURTEN Daniel, de Waremme, y décède à l’âge de 71 ans. Sa veuve est JUMIAUX Christine. Il était natif de Richelle (Visé). Il a été pharmacien à Waremme. Il sera incinéré.
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Naissance de Charles Claes (Geer – Visé)
Le 15 avril 1946, CLAES Charles voit le jour à Geer. Il épousera VRIJENS Philippine. Il habitera à Visé.
Mort de Francis Timsonet (Visé – Donceel)
Le 10 mai 2024, TIMSONET Francis, de Donceel, décède à Visé à l’âge de 76 ans. Il était veuf de SEINE Chantal. Il était natif de Haltinne. Il sera incinéré.
Naissance de Philippe Charlier (Waremme – Visé)
Le 10 octobre 1962, CHARLIER Philippe voit le jour à Waremme. Il épousera CORBEAU Michèle. Il habitera à Visé.
La 6ème Moderne B du Collège (Waremme)
En 1973 /1974, la classe de 6ème Moderne B du Collège Saint-Louis de Waremme est composée de:
- COORNAERT Philippe, de Lens-Saint-Servais
- DECROUPETTE Eddy, de Huy
- DEWULF Baudouin, de Geer
- DUCHÊNE Joseph, de Hodeige
- DUPONT Philippe, de Waremme
- JOANNES Eric, de Ligney
- LELOTTE Patrick, de Waremme
- LUCAS Benoit, de Jeuk
- MARQUET Marie-Louise, de Villers-le-Bouillet
- MATTART Jean-Louis, d’Awans
- MERLAND Léon, de Visé
- OHN André, d’Ans
- PAQUAY Eddy, de Geer
- SOLHEID Daniel, de Lantin
- VANDEREYKEN Luc, de Waremme
- VANDEVELDE Thierry, de Waremme
- WITHOFS Maurice, de Hannut
- ZWANEPOEL Michel, de Berloz
La 1ère A3A de l’Institut Agricole (Waremme)
En 1973 / 1974, la classe de 1ère année A3A, de l’Institut Agricole – degré inférieur, du Collège Saint-Louis de Waremme est composée de:
- BARBE Josly, de Slins
- BOLKAERTS Bernard, d’Omal
- BORREMANS Raphaël, de Düren
- CHABOT François, de Faimes
- FAGARD Charles-Henri, de Glons
- GEORGE Christian, de Liège
- GERARD Michel, de Visé
- GREGOIRE Clément, de Walshoutem
- LACROIX Michel, de Noduwez
- MATERNE Michel, de Hodeige
- SCHALENBOURG Joseph, d’Oreye
- THONNARD Jean-Marie, de Villers-Saint-Siméon
- WARNOTTE Michel, d’Alleur
Mariage d’Arnould VI de Corswarem et Marie de Waroux
En (?), DE CORSWAREM Arnould VI épouse DE WAROUX Marie, en deuxièmes noces. Elle lui apporte les Seigneuries de Herck-Saint-Lambert et de Bois-Pollard.
Ils auront 4 enfants:
- DE CORSWAREM Wauthier, qui sera chanoine de Saint-Lambert, Doyen de Liège, abbé séculier de Visé et d’Amay (l’abbatialité d’Amay sera longtemps l’apanage de la famille DE CORSWAREM).
- DE CORSWAREM Jeanne, qui épousera HOENS Nicolas, Seigneur de Hoensbroeck. Veuve, elle mourra poignardée à Hannut.
- DE CORSWAREM Jean, qui épousera en premières noces DE MORIALMEZ Jacqueline, héritière de Landelies, et en deuxièmes noces DE STEVOORT Claire.
- DE CORSWAREM Libert, qui épousera KELLENEERS Marguerite, fille de KELLENEERS Art. (?) et de DE CHINY Marguerite.
Le moulin Lejeune déménage (Oleye)
Après 1925, la famille LEJEUNE, qui exploitait le moulin et la minoterie d’Oleye, transfère ses installations en bordure de Meuse, entre Liège et Visé.
Le professeur Quoilin à Visé ? (Waremme)
En septembre 1888, le professeur de l’Ecole Moyenne de Waremme, QUOILIN D., est menacé d’être transféré contre son gré à Visé.
Baudouin 1er de Jeneffe retrouve et arrête un meurtrier
Le 7 novembre 1225, le Comte D’ALTENA D’ISENBERG Frédéric, seigneur de Nienbrugge, avec une bande de ses gens, massacre lâchement, dans un guet-apens, au milieu d’un voyage, son cousin DE BERGHES Englebert, archevêque de Cologne.
Pour ce crime, le meurtrier est cité devant la Cour de HENRI, roi des Romains, fils de l’Empereur FREDERIC, où il est condamné (par contumace) par le jugement des princes de l’Empire. Les châteaux et maisons du condamné sont rasés de fond en comble et ses biens confisqués. Lui-même, errant et fugitif, est banni de la compagnie des fidèles. Le hasard de sa fuite l’amène à Huy où, sous des habits de marchands, il espère échapper aux recherches de ses juges.
Mais, en 1226 (?), DE JENEFFE Baudouin a vent de sa retraite et s’empare de lui et de 2 de ses complices. Il le conduit, enchaîné, à Visé où il le remet au souverain avoué de Cologne et aux autres barons, qui le gratifient de 2.100 marcs. Ceux-ci ramènent D’ALTENA D’ISENBERG Frédéric à Cologne, lié sur un cheval, à travers les bourgs et les villages. Après avoir avoué son forfait, il supporte avec courage les supplices qu’il a mérité: on lui brise bras et jambes; il est ensuite exposé sur une haute potence; enfin, il est roué (la roue d’airain est dressée sur une colonne, hors de la porte Saint-Sevrin).