Le 5 septembre 1944, des soldats allemands occupent la place de l’église à Viemme et y font éclater des obus qui occasionnent des dégâts à la tour de l’église, au clocher, aux fenêtres et aux vitraux.
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Les vitraux de l’église (Celles)
Le 18 avril 1851, l’abbé GELIN Emile, natif de Celles, offre un des grands vitraux (celui de gauche) du choeur de l’église Sainte-Madelberte du village.
L’église d’Aineffe, refuge des habitants
En 1746, durant la Guerre de Succession d’Autriche, les habitants du village d’Aineffe cachent leurs biens dans l’église du village, par crainte des « maraudeurs » de l’armée française, qui campe à Vinalmont. Mais ceux-ci briseront les vitraux de l’édifice pour s’emparer du butin.
L’église de Remicourt sera reconstruite
Le 13 juin 1909, un arrêté-royal autorise la construction d’une nouvelle église à Remicourt. Les plans en seront dressés par l’architecte CORTHOUTS. Les vitraux seront réalisés par le peintre-verrier BURY.
Les vitraux de la chapelle des Filles de la Croix (Waremme)
En 1956, les vitraux de la chapelle de l’Institut des Filles de la Croix sont changés.
L’église Saint-Denis, classée (Grand-Axhe)
L’église Saint-Laurent en flammes (Berloz- Crenwick)
Le 22 avril 1989, l’église Saint-Laurent de Crenwick (Berloz) est la proie des flammes. Les dégâts sont estimés à plus de 20 millions de francs. Elle sera complètement restaurée, notamment, au moyen de vitraux provenant du collège Saint-Louis de Waremme.
Modernisation de la chapelle des Filles de la Croix (Waremme)
En 1956, des travaux de modernisation sont entrepris à la Chapelle de l’Institut des Filles de la Croix : de nouveaux vitraux sont installés, peintures, dorures, réparation des statues, nouveau tabernacle, …
Les Vitraux de la salle des « pas perdus » de l’Hôtel de Ville (Waremme)
Le 12 août 1905, le conseil communal de Waremme vote un crédit spécial pour le placement de vitraux peints dans la grande fenêtre de la salle des pas perdus de l’Hôtel de Ville et d’une pompe aspirante et foulante, destinée à alimenter les réservoirs du service des incendies.
Reconstruction de l’église de Grand-Axhe
Entre 1870 et 1872, l’église de Grand-Axhe est reconstruite par les entrepreneurs YANS et BRICTEUX, d’après les plans de l’architecte BLANDOT-GRAYET Jean-Lambert, de Huy. Le curé de la paroisse est l’abbé GILIS (GILLIS ?) Emile.
L’ancien édifice datait de 1751.
Sous la première pierre du nouvel édifice posée le 12 décembre 1870, placée au fond des fondations sous le seuil du portail d’entrée, est placée une caisse en plomb renfermant des monnaies de l’époque, ainsi qu’un parchemin relatant les circonstances de la construction de l’église et les faits principaux de l’époque, notamment l’interruption du Concile et les victoires des Allemands en France.
Structure de l’église
Le nouvel édifice est de style gothique. Construit en briques et pierres. Il est composé d’une tour en façade, suivie d’une nef principale à 4 travées, s’ouvrant sur un chœur d’une travée droite à chevet semi-hexagonal. Des collatéraux de 6 travers flanquent la tour et le chœur, formant des chapelles et des annexes. Adossées aux collatéraux, des tourelles polygonales. La tour avec portail à voussures est surmontée d’un gâble fleuronné et de 2 baies en lancette. Un double cordon de pierre, chanfreiné, délimite la partie supérieure de la tour. Elle est terminée par des pignons couverts en bâtière, ouverts par des baies en arc brisé à remplage et abat-son. La flèche est octogonale.
L’intérieur de l’église
La nef est portée sur des colonnes à fût lisse stuqué et à chapiteau à crochets recevant la retombée des arcs brisés s’ouvrant sur les collatéraux. La voûte est à croisée d’ogives dont les formerets retombent sur 3 colonnettes accouplées avec chapiteau à crochets, engagées et portées par des culots à tête d’angelots.
L’extérieur et les fenêtres de l’église
La couverture est en bâtière à pente douce. Les bas-côtés en appentis et le chœur sont éclairés par des baies en arc brisé à remplages, séparées par des contreforts dégressifs à épaules en sifflet.
Le mobilier et la décoration de l’église
Le mobilier a été réalisé par les « Ateliers HOCKEN et JANSSEN » de Saint-Trond; les vitraux par DOBBELAERE de Bruges. Les parois sont entièrement recouvertes de peintures marouflées, réalisées par les peintres DEVAUX de Liège et DAMEN F. d’Ans, représentant des scènes de la vie du Christ et de Saints (Eleuthère, Valère, Materne), les mystères du Rosaire, des miracles (Saint-Antoine, Sainte-Claire, …), des scènes de la translation des reliques de Saint-Evergiste (décédé à Termogne), la mort de DE LONGCHAMPS Walter, …