La commune emploie des chômeurs (Crisnée)

Le 6 mars 1915, vu le grand nombre d’ouvriers sans travail, le conseil communal de Crisnée décide d’employer tous les chômeurs à des travaux d’assainissement et d’amélioration de la voirie, au salaire de 2 francs la journée de travail de 10 heures, qui sera réglé chaque dimanche. Ce travail achevé, les chômeurs devront extraire, concasser, transporter du silex pour empierrer un chemin de terre. Ces chômeurs sont de 20 à 30.

Les Hameaux de Celles

Vers 1810, les hameaux de Celles, Labia, Saint-Anne, La Folie, … ne sont pas reliés entre eux par des chemins empierrés, mais par des chemins de terre. Durant les mois d’hiver, la neige et la pluie les rendent impraticables. 

Un cimetière gallo-romain à Noville

En 1895, les vestiges d’un cimetière gallo-romain sont découverts à Noville, à proximité de la route reliant Momalle à Jeneffe, à l’occasion de travaux de réfection de la voirie.

La réparation des voiries coûte cher (Waremme)

Le 7 mars 1867, le Conseil Communal de Waremme constate, qu’en 1866, la voirie empierrée de la commune et les chemins de grande communication qui traversent son territoire, ont été fortement dégradés par:

  • le charroi des transports de briques nécessaires à la construction de la sucrerie « MOMMENS »;
  • par le transport des betteraves vers les sucreries de Waremme et des environs;
  • par le transport du charbon nécessaire au fonctionnement de ces entreprises .

 

La commune a supporté une augmentation des frais d’entretien des chemins empierrés et pavés de la commune pour un montant de 427,45 francs en 1865 et de 448, 63 francs en 1866. Cette augmentation étant causée par l’augmentation du charroi vers les sucreries de Waremme, le Conseil Communal décide de les taxer comme suit:

  • Sucrerie LAURENTY: 427, 45 francs pour 1865 et 348,63 francs pour 1866
  • Sucrerie MOMMENS: 100 francs pour 1866

Ces impositions prennent en considération les droits de péage payés par ces entreprises.

 

La commune a supporté une augmentation des frais d’entretien des chemins de grande communication traversant son territoire, pour un montant de 1.220,80 francs en 1865 et de 1.464,96 francs en 1866. Cette augmentation étant causée par l’augmentation du charroi vers les sucreries de la région, le Conseil Communal de Waremme décide de les taxer comme suit:

  • Sucrerie de Les Waleffes: 404 francs pour 1865 et 485 francs pour 1866
  • Sucrerie de Hollogne-sur-Geer: 816 francs pour 1865 et 980 francs pour 1866

La voirie de Waremme

En 1957, le réseau routier de Waremme s’étend sur:

  • 41 km 400 de chemins communaux
  • 13 km 100 de voirie de l’Etat
  •   1 km 500 de chemins de grande communication

Le « Complexe Tumulus » (Waremme)

En 1957, 40 nouvelles habitations sont achevée, à Waremme, par la section locale des « Sociétés Nationales de la Petite Propriété Terrienne » (PPT). Elles forment une partie du « Complexe Tumulus » (qui en comptera 180) qui sera situé entre la Plate Tombe et la rue de Huy.

Le réseau de voirie, d’égouts, d’eau, d’éclairage et de plantations est aménagé en même temps.

Extension du réseau d’égouts (Waremme)

En (?), le réseau d’égouts de Waremme est étendu lors de la création de la voirie dans l’avenue du Prince Régent et l’avenue de la Résistance. A cette occasion, les égouts sont également installés rue de Huy et rue Stanislas Fleussu.

Réfection de la rue Remikette (Faimes)

En mai 2016, le conseil communal de Faimes débloque 583.000 euros pour les travaux d’égouttage et de réfection de la voirie de la rue Remikette.

La Haute-Wegge mieux desservie (Waremme)

En 1983, le ministre du logement, BERTOUILLE André, inaugure la nouvelle voirie desservant la quartier de la Haute Wegge à Waremme.