En mai 1802 et mars 1803, LHOEST Jean est charron. Il sait écrire. Son épouse est SIMONET Marie-Joseph. Ils habitent à Waremme. Il est voisin de FALLA(Z) Anne-Marie, célibataire âgée d’environ 60 ans. Il est le neveu de LHOEST Anne-Marie, épouse de BOTTIN Arnold.
En décembre 1802 et janvier 1804, FRAIPONT Philippe est âgé d’environ 31/32 ans. Il est marguillier. Il sait écrire. Il habite à Waremme. Il est voisin du couple MONJOIE Matthieu-Balthasar, fermier, et MISSOTTEN Marie-Catherine, et de STAS Dieudonné, âgé d’environ 70 ans. Il est l’oncle par alliance de FRAIPONT Dieudonné (âgé d’environ 27 ans) et le neveu de STAS Marie-Agnès, veuve de FRAIPONT Guilhaume.
En juin 1803, PETRY Lambert est journalier. Il ne sait pas écrire. Il habite à Longchamps, hameau de Waremme. Il est voisin de RAICK Jean-Joseph, âgé d’environ 24 ans.
En juin 1803, POUSSET Jean-Toussaint est manœuvre. Il sait écrire (signer). Il habite à Longchamps, hameau de Waremme. Il est voisin de RAICK Jean-Joseph, âgé d’environ 24 ans.
En juin 1803, GOUETTE Gérard est journalier. Il ne sait pas écrire. Il habite à Waremme. Il est voisin du couple BOTTIN Jacques, manœuvre, et HENNIN Marie-Joseph.
En juillet 1803, VROENEN Pierre est manœuvre. Il ne sait pas écrire. Il habite à Mouhin, hameau de Waremme. Il est voisin du couple REC(K)OM Matthieu, cultivateur, et BODEN(NE) Marie-Cécile.
En août 1803, HOUBREXHE (HAUBREXHE ?) Lambert est manœuvre. Il ne sait pas écrire. Il habite à Petit-Axhe, hameau de Waremme. Il est voisin de JACQUES Marie, veuve de VAVAL Gilles.
En 1909, VANDERGEETEN Herman est cabaretier à Fize-le-Marsal. Il est voisin de GENOT Lambert.
Vers 1910, le magasin de la Coopérative « La Justice » est installé rue de la Station (qui deviendra plus tard l’avenue Reine Astrid) à Waremme. Il est voisin immédiat de la Maison du Peuple.
Vers 1952 (?), DELISSE Félix relance l’activité de cinéma dans sa salle à Remicourt. Il lui donne le nom de « Cinéma Lucky ». Le chauffage de la salle est assuré par un poêle à charbon en fonte. Le premier projectionniste est PIROTTE Joseph. Il sera rapidement rejoint par HAUGEN Florent. Les comptes sont tenus par un jeune voisin, PIROTTE Léon, qui perçoit les entrées