En 1941, JAVAUX Norbert est négociant en céréales à Waremme. Il est installé à la rue de Huy. Il peut conserver l’usage de son véhicule et ne pas le céder aux Allemands.
En 1941, JAVAUX Norbert est négociant en céréales à Waremme. Il est installé à la rue de Huy. Il peut conserver l’usage de son véhicule et ne pas le céder aux Allemands.
En 1941, MOES Edouard, industriel à Waremme, est autorisé à conserver sa luxueuse Chevrolet et à ne pas la céder aux occupants allemands, au motif que lui-même et son personnel de maîtrise doivent visiter les chantiers où les moteurs fabriqués par son entreprise sont en service.
En raison de la pénurie de carburant, il sera obligé d’équiper son véhicule d’un gazogène, monté sur une remorque tractée.
En 1944, HEYNE Jules, fils du cafetier de la rue Joseph Wauters à Waremme, possède une voiture.
En novembre 1943, le lieutenant JAMAR Ambroise, commandant de gendarmerie du district de Waremme, réside avec sa famille, dans la maison des époux JOASSIN, à côté de l’église de Grand-Axhe.
Il dispose d’une voiture « Renault », qui a appartenu à NAVEAU Lucie. Il l’utilise pour les besoins du service et pour les déplacements de son domicile à Grand-Axhe, jusqu’à son bureau à Waremme.
En 1940, habitent Pousset:
En 1940, habitent Haneffe:
En 1940, habitent Bergilers:
En 1969, lors d’une manifestation d’étudiants ingénieurs-techniciens, qui réclament un statut adéquat, une voiture est incendiée sur le marché hebdomadaire de Waremme.
En mars 1960, le fontainier de Waremme, DOCK Pol, décède dans un accident à Waremme. Sa voiture est happée par un train à l’un des passage à niveaux non gardés de la ville.
Le 11 (12 ?) mai 1940, à 14 h 30, un train bondé de voyageurs, en provenance de Liège, est attaqué en gare de Fexhe-le-Haut-Clocher. Quatre « Stuka » surgissent en rase-motte et larguent leurs bombes en direction de la gare et du train. La plupart des engins tombent dans les alentours de la gare, pulvérisant les vitres les maisons du quartier, mais le fourgon de queue et la dernière voiture du train sont touchés de plein fouet.
Il y a beaucoup de victimes. Des dizaines de blessés sont transportés au cabinet du docteur DEFFET Gaston, à proximité de la gare. Des corps s’alignent sur sa pelouse. Le docteur DEFFET reçoit l’aide d’un médecin militaire de passage. A deux, ils prodiguent les premiers soins et organisent le transfert vers les hôpitaux de la région.
Ce qui reste du convoi poursuit sa route vers Waremme, où les blessés graves seront pris en charge.
Les gendarmes de la brigade de Fexhe-le-Haut-Clocher doivent intervenir pour arrêter le pillage des décombres du train et obliger certains villageois à restituer des objets volés.